Pendule cageen bronze ciselé et doré ; la partie supérieure cintrée, décorée de colonnettes feuillagées à chapiteaux.Le cadran signé : « Thonissen à Paris ».Elle repose sur une base rectangulaire ornée de rais de coeur.Epoque Consulat-EmpireH : 38 L : 22,5 cm (accidents au cadran, manque des aiguilles, quelques usures)Provenance : Vente Cornette de St Cyr, Hôtel Drouot, 12 décembre 1986, n° 77
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Commodede forme rectangulaire, en placage dacajou, citronnier amarante et ébène ; les montants à mufles de lion et jarrets terminés par des griffes en bois patiné imitant le bronze. Elle ouvre à quatre tiroirs décorés de losanges, cygnes affrontés, palmettes et des moulures en acajou. Dessus de petit granit reposant sur une gorge moulurée. Par Georges Jacob ou Jacob Frères (non signée) Epoque Directoire vers 1792-1795 (fentes, petits manques, petites usures) H : 90,5 L : 115 P : 59,5 cmProvenance : Ancienne collection Jacob-Desmalter et restée dans sa descendance jusquà ce jour.Cette commode a été exécutée daprès un dessin de Charles Percier1Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français Directoire Consulat Empire » Marie-Noëlle de Grandry, Paris, 1996, Massin Ed., p. 46. et dans : « Meubles et ensembles Epoque Directoire et Empire » YvonneBruhammer et Monique du Fayet, Paris 1965, Massin Ed., p.17, fig. 17.Elle est à rapprocher du secrétaire à abattant, au décor identique de losanges en placage de citronnier marqueté en amarante de libellules et reproduit dans le même ouvrage p.41, °15.Biographie :Georges II Jacob (1768-1803) et François-Honoré-Georges Jacob (1770-1841), fils du menuisier Georges Jacob, sassocient en 1796 sous la raison sociale Jacob Frères. Dans cette association, laîné gère ladministration et François-Honoré-Georges, dessinateur talentueux, assure la partie technique. La créativité et la qualité dexécution de cette commode atteste de la parfaite complémentarité et collaboration entre les architectes Charles Percier, Pierre-Léonard Fontaine et les ateliers Jacob. Ils fournissent des croquis de meubles. La maison familiale, grâce à la reprise économique au lendemain de la Révolution et à la faveur dont elle jouit auprès des Bonaparte, connaît à cette époque un important essor. En effet, les frères Jacob décorent et aménagent plusieurs hôtels particuliers. En 1797, Joséphine commande lameublement de la maison de Bonaparte, rue Chantereine. Madame Récamier reçoit pour sa chambre lun des ensembles les plus célèbres de lassociation des deux frères. On compte également parmi leurs clients les citoyens : Pottier, Fournier, Gaudin ou lactrice Mademoiselle Mars. A partir de 1800, Georges II et François-Honoré-Georges sont chargés de remeubler le château de Malmaison, et à la même époque, ils livrent de nombreux meubles pour linstallation du Palais de gouvernement le la République française aux Tuileries. A lexposition industrielle de lan IX, ils remportent la médaille dor pour les meubles quils exposent. Au décès de son frère, François-Honoré-Georges continue seul lactivité jusquen 1825, date à laquelle il cède lentreprise à son fils. Linfluence ou plus exactement la « Régence » de Percier et Fontaine sur lArt français ne peut se comprendre quen considérant la partie décorative de leurs réalisations consignée dans le « Recueil de décorations intérieures 1801-18122, véritable manifeste et illustration de lart antique, auquel disaient-ils, il faut toujours revenir :On retrouve dans cette commode les principes qui leurs sont chers3 :-« on se flatterait en vain de trouver des formes préférables à celles que les Anciens nous ont transmises »-Lameublement se lie de trop près à la décoration des intérieurs, pour que larchitecte puisse y être indifférent . - La beauté des matériaux est par elle-même le plus beau des décors- Le nécessaire ne doit jamais être sacrifié à lagréable- On doit épurer les formes dictées par les convenancesLeur fantaisie est notable dans les motifs décoratifs, ils ont puisé aux sources de lart antique et réussi une prodigieuse assimilation. Conservé dans une collection privéeCharles Percier, Pierre François Léonard Fontaine Didot, 1812:Recueil de décorations intérieures: comprenant tout ce qui a rapport a lameublement, comme vases, trépieds, candélabres, cassolettes, lustres, girandoles, lampes, chandeliers, cheminées, feux, poêles, pendules, tables, secrétaires, lits, canapés, fauteuils, chaises, tabourets, miroirs, écrans, etc Journal de 1799 à 1853, Pierre-François-Léonard Fontaine Paris en 1987 lÉcole nationale supérieure des beaux-arts et lInstitut français darchitecture.
Chaise en acajou, à dossier bandeau ajouré décoré dun médaillon et des flammes dans un losange. Elle repose sur des pieds fuselés ornés de godrons et des pieds postérieurs arqués. Estampillée G. Iacob. Vers 1790-1796Marque en creux de Fontainebleau et marque du mobilier de Louis XVIII ovale chiffre sous Charles X : F 4910, chiffre rouge (sous Louis Philippe) 143 F 5789 F 6505, deux F qui saffrontent (sous Napoléon III) 2511, en dessous (379) 443 40 ? (379) étant effacé et restauréH : 97 L : 52 P : 46 cmG. Iacob, menuisier reçu maître en 1765.Lensemble auquel appartient cette chaise entre en 1807 sous lEmpire au château de Fontainebleau dans un appartement de suite au 2e étage, au dessus de la galerie François Ier en provenance du Garde-Meuble, « un canapé acajou, garni à la partie supérieure et orné de palmettes sculptées par le bas, accotoirs à têtes de lions, et queue de poissons, têtes de clous carrés en bronze sur les coins, pieds tournés à gaudrons, étoffe gourgouran vert , encadrement en galon et crête noire et aurore, 2 oreillers avec glands et rondinsHuit fauteuilsDix chaisesUn écran acajou pieds à patins roulettes en cuivreFeuille taffetas vert plisséDe 96c de haut 1 » LInventaire de 1833 2 le décrit dans le salon sous le n° 5789 « 10 chaises bois et étoffes idem .200f (composant le même ensemble : 8 fauteuils et un canapé)3En 1855 ce mobilier se trouve dans un salon de lappartement n°8, Cour des Princes, les chaises sont décrites sous le n° F2511 :« 10 chaises bis idem (acajou) dossier à planche avec losange découpé à jour »4. Quatre sont sorties du Palais : en 1869 et six en 1882, pour une vente par les domaines.-Une chaise se trouvait dans la collection Grognot-Joinel5 exposée aux Arts Décoratifs en janvier-février 1951, p.33, n°80. Elle faisait partie dune suite de dix chaises-Une paire de chaises identiques, estampillées G.Iacob avec la marque du palais des Tuileries et le n° B 633 a été vendue à Paris, Palais Galliera, le 16 mars 1967, n°106.1- Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 1994.2-, inv 1833 A.N AJ 19252 folio353 Sous le n°143 dont dépend le salon,sont regroupés : la salle à manger, le passage, Première cgambre à coucher, Cabinet de toilette, la garde-robe, deuxième chambre à coucher et chambre de domestique.4 - Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 19945- Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français du XIXe siècle » Denise Ledoux- Lebard, Paris 1989, Lamateur Ed. p 289.
Paire de bougeoirsen bronze ciselé et doré, le fût orné de foudres et surmonté dune sphère avec une tête dEole. Les binets en forme de nuées. Base décorée de foudres. Par Galle. Epoque EmpireH : 29 cm. (restauration, quelques usures)Une paire de bougeoirs similaires a été livrée en 1805 par le bronzier Galle pour le Palais de Fontainebleau. Elle se trouvait en 1807 dans le deuxième salon de lImpératrice 1. 1- Musée national du château de Fontainebleau « Pendules et bronzes dameublement entré sous le premier Empire », par Jean-Pierre Samoyault, RMN, 1989, p. 201, n°189
Paire dappliquesen bronze patiné et bronze ciselé et doré représentant un bras supportant trois branches de lumière ornées de reptiles. La base de lapplique est surmontée dun aigle et décorée de branchages de laurier et de carquois.Style Empire(montées à lélectricité)H : 48 - P : 21 cm800 / 1 200 Provenance : Collection René Vassel.
Important lot de neuf médailles sur Napoléon et lEmpire : -Bataille de Montenotte par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,8 cm.-« Napoléoni Bonaparte. Primario R.P.G. Consuli Perpetuo », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,1 cm. -« Retablissement du Culte. Le XVIII Germinal An X », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,9 cm.-« Les trois consuls », par Jeuffroy. Bronze patiné. Diam : 6,7 cm.-« De Germanis. Roxolanicus Maximus. », par Galle. Bronze patiné. Diam : 6,8 cm.-« Mémorial de Sainte-Hélène. » par Bovy. Bronze patinéDiam : 4 cm. -« Maréchal Macdonald Duc de Tarente. » par Dieudonné. Argent. Diam : 4,9 cm. -« La France et Napoléon III inaugurent le tombeau de lEmpereur Napoléon. » Uniface. Bronze patiné. Diam : 7,5 cm.-Deux médailles de naissance du Duc de Bordeaux par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,5 cm.T.T.B. On y joint trois profils en plomb de Napoléon, Marie Louise et Joséphine.
Glaive de lEcole de Mars crée en 1794. Monture en bronze ciselé. Garde à une branche, deux quillons en fer et deux demi oreillons aux « bonnets phrygiens ». Lame droite à arête médiane poinçonnée au talon du faisceau de licteur Fourreau en bois recouvert de laiton à deux crevées. Bouterolle et dard à palmettes (garnitures en peau ancienne mais postérieure).B.E.
Emmanuel FREMIET (1824-1910).« LEmpereur Napoléon III à cheval, en grand uniforme de général de division ».27 x 8 cm. Ht : 37 cm.Bronze signé sur la terrasse « E. Fremiet ».B.E. Historique :« lEmpereur eu la bonté de poser pour moi au sortir de la messe des Tuileries, à laquelle il assistait en tenue. Javais préparé pour cette séance un mannequin de cheval, sans têtes et sans jambes, mais avec la selle impériale. Sa Majesté me permit très gracieusement de prendre quelques mesures nécessaires à mon travail »
Sellette en acajou et placage d’acajou, piétement à quatre colonnettes réunies par une entretoise terminé par des pieds griffes. Ornementation de bronze ciselé doré. Dessus de marbre vert veiné compris dans une galerie de bronze figurant un panier ajouré. XIXe siècle Haut. : 78 cm - Diam. : 26 cm
[PIERRUGUES (Pierre)]. Glossarium eroticum linguæ latinæ, sive theogoniæ, legum et morum nuptialium… Paris : Aug.-Fr. et Pr. Dondey-Dupré, 1826. — In-8, (3 ff.), 518 pp. Demi-maroquin bronze à coins, dos à faux nerfs orné de motifs dorés et à froid, non rogné (reliure de l’époque). Bon exemplaire, à toutes marges, imprimé sur papier vélin. Début de fente à la charnière du second plat, frottements aux charnières et aux coins.

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