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Lot 1809

An Afghan medal 1842 a scarce bronze 'specimen' example for natives

Lot 1845

A German WW2 Mothers crosses x 2, in bronze

Lot 1823

Two Russian Order of the Red Star badges together with a conforming bronze medallion

Lot 14

napoléon ier Délivrance de Dantzig28 mai 1807Tête laurée de l’empereur à droite. R/. L’empereurdebout à gauche relève la ville de Dantzig à demiagenouilléeà droite. Andrieu F. et Denon D. Al’exergue : LIBERTAS DANTISCO RESTITVTAet MDCCCVII. Bramsen 652 ; Essling 1179médaille en bronze 1807.Ø 40. 64mm (35.78g)Superbe.collection comtesse pelletier de chambure (1902-1975)

Lot 18

Lot de trois médailles en bronze du XiXe siècle cerclées de laiton :Henri IV et les augustes membres de la famille royale victimes de la Révolution 1820Baptême du duc de Bordeaux 1821Charles Ferdinand duc de Berry à la mémoire des Bourbons 1820.Très beaux.

Lot 19

Lot de quatre médailles en bronze du XiXe siècleMariage du duc de Berry et de Caroline de Bourbon-Sicile 1816Ø 50mmCharles Emmanuel Joseph Pierre, marquis de Pastoret (1755-1840) : devise « Nulli impar fortunæ» 1830Visite des hôpitaux général, civil et militaire de Charles x à Amiens 18 et 19 sept.1827Rétablissement en 1817 de la statue d’Henri IV au Pont Neuf qui avait été fondue pour faire des canons.Beaux. T.B.Très beaux.

Lot 85

Edmé BOUCHAR DON (1698-1762) suiveur de.Ecole française de la fin du XVIIIème siècle« Le Roi Louis XV à l’antique. »Profil en demi ronde bosse, en bronze doré. Présentésur un médaillon ovale à suspendre en marbresurmonté de rubans, en bronze doré.Ht : 11 cm. Médaillon : 17 x 13 cm.B.E.

Lot 91

Une médaille du Pacte Fédératif14 juillet 1790.Bronze doré, ruban.- Deux médaille rondes « confédération des françois» dont une attribuée à « JB clere ».Bronze doré.- Un bouton d’uniforme « république française »en laiton doré.On y joint une médaille en bronze « mérite reconnu ».« membres des Académies françaises et Belles lettres etdes sciences morales de paris le 15 juillet 1783 ».

Lot 133

CHAUDET, d’après.« L’Empereur Napoléon Ier portant les insignes dela Légion d’honneur et de la Couronne de fer ».Buste en bronze sur piédouche. Socle rectangulairecarré en marbre noir, à base en bronze.Ht. : 26 cm. B.E.

Lot 136

« L’Empereur Napoléon Ier de profil enuniforme »Médaillon en bronze patiné.Beau cadre à suspendre à bronze doré mat et brillant,à décor de frise de feuilles de laurier.B.E.Fin du XIXè siècle.

Lot 137

Henri Etienne DUMANGE (1830-1882).Ecole française.« Avant le combat. Volontaire de 1792. »Epreuve en bronze à patine brune, signée sur laterasse à droite, avec cartouche en laiton.Ht : 66 cm.B.E.

Lot 140

Georges OMERTH (1895-1925). Ecole française.« Chasseur à cheval de la Garde, sur son cheval cabré. »Bronze patiné, signé sur le socle.19 x 34 x Ht 54 cm.B.E.

Lot 175

175-RARE ET MYTHIQUE AIGLE REGLEMENTAIRE DE DRAPEAU MODELE 1804. Aigle en bronze doré, à tête tournée vers la gauche, à bec légèrement ouvert, et aux ailes déployées. La patte droite reposant sur le fuseau maintenu par ses serres. Montée sur un caisson rectangulaire prolongé d’une douille. Bien conforme dans ses principales mesures, portant sous le foudre les lettres et chiffres « CLXXXII » de repère que l’on retrouve également sur le caisson et sous l’Aigle ainsi que les points et poinçons. Ht à l’arrière : 22 cm. Largeur à la base des ailes : 24,2 cm. B.E. Epoque Premier Empire. Cette aigle, ayant été montée sur une horloge, porte trois petits trous, un sur la tête, les deux autres sur les côtés du caisson, qui ont été réparés sans être cachés. Le fond du caisson et la douille ont été refaits au modèle vers 1960. Provenance : Collection Laissus. Historique : Le 28 Floréal An 12 (18 mai 1804), le Sénat proclame le général Bonaparte Empereur des Français. Très rapidement, le Conseil d’Etat travaille à la mise au point d’un nouvel emblème de la Nation. Après une proposition sans succès du lion au repos, Napoléon adopte l’Aigle aux ailes déployées. Le 27 juillet 1804 au QG du Pont aux Briques, l’Empereur décide que cette Aigle en bronze doré sera désormais placée désormais en haut de la hampe des nouveaux drapeaux et étendards. Les Aigles en bronze doré à l’or moulu destinées à l’Armée et à la Marine sont executées par Thomire. L’œuvre originale est due au sculpteur Chaudet. IL faut souligner le souci constant qu’a eu l’Empereur à remettre personnellement les Aigles. La distribution la plus célèbre est celle du 14 frimaire An XIII. Sous le Premier Empire, on distingue trois modèles d’Aigles : le modèle 1804, le modèle 1810-1811 dit allégé et le modèle 1815 des Cent jours. Le modèle 1804 est le plus remarquable tant par l’allure que par l’éxecution soignée avec reprise au ciseau. Bibliographie : Les Aigles françaises (1804-1815), par Pierre Charrié.

Lot 179

SUPERBE ET RARE SABRE DE RECOMPENSE NATIONALE DE LA MANUFACTURE DE VERSAILLES.Monture en bronze doré, ciselé.Poignée en ébène sculpté d’écailles sur les deux faces, cannelée sur les côtés.Importante garde à une branche. Pommeau en tête de lion à jupe courte, cou ciselé d’un bouquet de feuillages, d’écailles et d’une fleur.Garde à une branche incurvée travaillée à jours, ornée sur la partie haute d’un flambeau ailé et d’un bouquet de fleurs raccordé au pommeau par un plateau orné d’une étoile rayonnante sur fond amati, encadré d’ailes, à deux oreillons en navette ciselés en fort relief de trophées, trompettes, couronne de feuilles de chêne et raisins. Quillon recourbé vers le bas et enroulé.Gravé sous la garde « Boutet Directeur Artiste Manufacture de Versailles ».Superbe lame cintrée, en damas, à dos plat gravé « Klingenthal », à contre tranchant et pans creux, joliment gravée à l’eau forte de trophées, couronne et feuillages, en partie dorée, avec banderolle gravée « Récompense » sur une face et, « Nationale », sur l’autre face ,sur fond d’or entourant une massue. Talon joliment doré sur les deux faces.Fourreau en tôle de fer bleui à quatre riches garnitures en bronze découpé, doré et ciselé, travaillé à jours.Chape avec anneau de suspente à décor de feuilles de chêne et, dans un médaillon ovale d’un casque l’antique.Premier bracelet à anneau de suspente orné de feuilles de laurier, couronne de feuilles de chêne et haches croisées.Second bracelet à tête de gorgone au centre d’un clavier d’épées feuillagés.Bouterolle en forme de carquois avec flèches, protégée par un dard assymétrique en fer poli blanc.B.E. (Très légère oxydation sur le bleui du fourreau), le reste en parfait état dans sa dorure d’origine.N.B. : Ce sabre est l’un, sinon le plus beau, des modèles de la Manufacture de Versailles, fabriqué sous le Directoire sous la direction du célèbre Nicolas Noël Boutet, Directeur Artiste de la dite Manufacture.Ce modèle fût notamment distribué lors des journées du 18 brumaire.On y joint un dossier relatif au Général Hardy comprenant : - Deux portraits au physionotrace du Général Hardy et de sa femme Calixte.- une photographie ancienne (9 x 6 cm) du sabre sur une gaine portant le buste du Général.-Copie de l’ «Inventaire après le décès du Citoyen Hardy, fait le 15 Thermidor An 10, par le citoyen Cabal Notaire. » dont lequel il est fait mention des armes du Général Hardy : « Boïte plaquée en acajou doublée en dedans en drap vert à différents compartiments venant de la Manufacture de Versailles et contenant deux pistolets d’arçon bronzé et doré sous garde et bellière en argent et sculpté, deux pistolets de poche en acier poli en Lasse couverte de chagrin et garnie de petits clous d’argent, un moule à balle en acier un tire balle une poire un maillet en bois de Ste Lucie et quatre ustensiles nécessaires à ces armes et compléttant la boïte. Une carabine aussi de la Manufacture de Versailles à canon bronze et doré sous garde et bellière en argent. Baterie en acier poli Le fut en bois sculpté. (Il s’agit de la superbe carabine conservée de nos jours au Musée de l’Armée) . Un sabre aussi de la Manufacture de Versailles à Tête de Lyon garde Belliere et bas du fourreau en cuivre doré Le fourreau bronzé prisé le tout trois mille francs…. ».Il est à noter que dans une lettre du 31 octobre 1799, après avoir remarqué que la femme de Bernadotte « paraît fort gentille et point bégueule. », il signale « J’ai vu, au dépôt des armes, mon armure, qui est superbe. »Une note de bas de page détaille cette armure : Une carabine, quatre pistolets (deux d’arçon, deux de ceintures), un sabre, une épée). Sur chacune de ces armes est inscrit : « Le gouvernement français au général Hardÿ ».

Lot 203

BAROMETRE ET CARTEL En forme de bouclier en bronze patiné et bronze doré. Signés « Le Roy à Paris », décoré de guirlandes d’olivier, cariatides ailées et palmettes. Le cartel porte le n°1028 au revers Epoque Empire(quelques usures, manque le mouvement du baromètre un élément à refixer)H: 41 cm L : 29 cm H : 46 cm. Un cartel de modèle identique, est livré au Grand Trianon par l’horloger Le Paute en 1810 pour le cabinet topographique Cf : « Le Grand Trianon, meubles et objets d’art », par Denise Ledoux-Lebard, 1975, p.137.

Lot 204

LITEn forme de nacelle, en acajou, placage d’acajou à ramages et bronze doré, orné de têtes de cygnes, palmettes, personnages à l’antique surmontés d’amours, flanqué de torches enflammées et de rosaces. Il repose sur des pieds en gaine. Attribué à JACOB-DESMALTEREpoque EmpireH : 111 - L : 237,5 - P : 140,5 cmCet exemplaire est à rapprocher d’un lit conservé au Musée Carnavalet également à col de cygne, provenant des Collections de la Duchesse de Gaete 1. Un autre lit en nacelle autrefois dans la Collection Grognot et Joinel est reproduit dans « Meubles et Ensembles Epoque Directoire » 2.1. « Le Mobilier du Musée Carnavalet », Anne Forray-Carlier, 2000, p.243, n°892. Y. Brunhammer et Monique de Fayet, Paris 1965, Massin Ed., p.37, pl. 47

Lot 207

PENDULE EN BISCUIT BLANC ET BLEU, à l’imitation de la porcelaine de Wedgwood et bronze doré, représentant une femme accoudée à une sphère symbolisant l’Astronomie.et assise sur une borne contenant le cadran émaillé avec indication des heures et des minutes signé « Gaston Jolly a Paris ». Elle repose sur un socle à l’imitation du marbre vert de mer, supporté par des patins en bronze doréFin du XVIIIème – début du XIXème siècle(petits éclats au cadran, petits manques, restaurations) H : 48 - L : 35,5 cm - Un exemplaire identique, le cadran de : Schmit à Paris, a été vendu en 1990 1. - Une pendule réalisée en bronze doré et illustrant le même sujet, a été vendue en 200121. Vente paris, Hôtel Drouot, le 19 décembre 1990, n°332. Vente Zurich, les 26-28 juin 2001, n°4086

Lot 209

ECRITOIRE de forme rectangulaire à double gorge en placage de thuya, et ébène ; il repose sur quatre chimères en bronze doré. Non signé vers 1803(petites fentes, petits manques, manque un tiroir latéral en acajou, un écoinçon, (lion) à refixer) H : 9,5 L : 35 P : 24 cmExpositions :Cette écritoire a figuré à l’exposition : « Chefs-d’œuvre des Grands Ebénistes 1790-1850, de G. Jacob à Giroux » Paris, Musée des Arts Décoratifs, Janvier-février 1951 p.22 n°37.Elle est aussi reproduite dans l’ouvrage: « Empire Furniture 1800-1825 » Serge Grandjean, conservateur au Louvre, Londres 1966, Faber Ed, n° 69 a. Œuvres en rapport :Cet exemplaire est à rapprocher de l’écritoire livrée par Biennais le 29 brumaire an XIII (1805) pour le pape aux Tuileries.Elle a aussi vraisemblablement servi de modèle pour réaliser celle que la reine Hortense1 offre à Napoléon en 1808 pour son anniversaire le 15 août et celle au chiffre de l’Impératrice Marie-Louise2.Biographie :Martin-Guillaume Biennais3 (1764-1843), tabletier reçu maître en 1788, achète la même année le fond modeste du tabletier Claude-Louis Anciaux qu’il développe. Sous le Consulat, il accepte de fournir le 1er Consul Bonaparte à crédit. Ce dernier devenu Empereur se montre reconnaissant et fait de lui son orfèvre. La Révolution ayant aboli le système des corporations, Biennais en profite pour étendre son activité à l’orfèvrerie offrant ainsi à sa clientèle des objets de luxe dont il maîtrise toutes les étapes de fabrication. En 1806, il obtient une médaille d’or à l’Exposition des Produits de l’Industrie dans la section orfèvrerie. Son entreprise connaît alors un essor considérable et emploie jusqu’à 200 ouvriers. Biennais compte parmi sa clientèle les familles Bonaparte, Beauharnais et des grands dignitaires. Les nécessaires et coffrets révèlent l’habileté et la dextérité de tabletier de Martin Guillaume Biennais Sous la Restauration, son attachement à l’Empereur le prive de commandes royales mais il reçoit plusieurs commandes de l’étranger. En 1821, il cède son fonds de commerce à Jean-Charles Cahier, en faveur auprès des Bourbons. Biennais partage alors son temps entre ses résidences de Paris et du château de La Verrière, et meurt en 1843.1 - Collection de la Fondation Napoléon : Cf : Trésors de la Fondation Napoléon, dans l’intimité de la cour impériale, Exposition 28 septembre 2004-3 avril 2005, Paris musée Jacquemart-André, p.108, n°872- Bibliothèque de l’Union Centrale des Arts Décoratifs, Album Maciet, vol 348-13 - « L’Orfèvre de Napoléon, Martin-Guillaume Biennais » Musée du Louvre 15 octobre 2003 - 19 janvier 2004 p.25.

Lot 210

Pendule cageen bronze ciselé et doré ; la partie supérieure cintrée, décorée de colonnettes feuillagées à chapiteaux.Le cadran signé : « Thonissen à Paris ».Elle repose sur une base rectangulaire ornée de rais de coeur.Epoque Consulat-EmpireH : 38 L : 22,5 cm (accidents au cadran, manque des aiguilles, quelques usures)Provenance : Vente Cornette de St Cyr, Hôtel Drouot, 12 décembre 1986, n° 77

Lot 211

Paire de vasesen bronze patiné orné de personnages à l’antique.Les anses décorées de volutes et de têtes de cygne stylisées.Ils reposent sur des bases à piédouche et des soclesen marbre jaune de Sienne mouluré.Première moitié du XIXème siècle(accidents au marbre)H : 31,5 cm

Lot 213

Commodede forme rectangulaire, en placage d’acajou, citronnier amarante et ébène ; les montants à mufles de lion et jarrets terminés par des griffes en bois patiné imitant le bronze. Elle ouvre à quatre tiroirs décorés de losanges, cygnes affrontés, palmettes et des moulures en acajou. Dessus de petit granit reposant sur une gorge moulurée. Par Georges Jacob ou Jacob Frères (non signée) Epoque Directoire vers 1792-1795 (fentes, petits manques, petites usures) H : 90,5 L : 115 P : 59,5 cmProvenance : Ancienne collection Jacob-Desmalter et restée dans sa descendance jusqu’à ce jour.Cette commode a été exécutée d’après un dessin de Charles Percier1Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français Directoire Consulat Empire » Marie-Noëlle de Grandry, Paris, 1996, Massin Ed., p. 46. et dans : « Meubles et ensembles Epoque Directoire et Empire » YvonneBruhammer et Monique du Fayet, Paris 1965, Massin Ed., p.17, fig. 17.Elle est à rapprocher du secrétaire à abattant, au décor identique de losanges en placage de citronnier marqueté en amarante de libellules et reproduit dans le même ouvrage p.41, °15.Biographie :Georges II Jacob (1768-1803) et François-Honoré-Georges Jacob (1770-1841), fils du menuisier Georges Jacob, s’associent en 1796 sous la raison sociale “Jacob Frères”. Dans cette association, l’aîné gère l’administration et François-Honoré-Georges, dessinateur talentueux, assure la partie technique. La créativité et la qualité d’exécution de cette commode atteste de la parfaite complémentarité et collaboration entre les architectes Charles Percier, Pierre-Léonard Fontaine et les ateliers Jacob. Ils fournissent des croquis de meubles. La maison familiale, grâce à la reprise économique au lendemain de la Révolution et à la faveur dont elle jouit auprès des Bonaparte, connaît à cette époque un important essor. En effet, les frères Jacob décorent et aménagent plusieurs hôtels particuliers. En 1797, Joséphine commande l’ameublement de la maison de Bonaparte, rue Chantereine. Madame Récamier reçoit pour sa chambre l’un des ensembles les plus célèbres de l’association des deux frères. On compte également parmi leurs clients les citoyens : Pottier, Fournier, Gaudin ou l’actrice Mademoiselle Mars. A partir de 1800, Georges II et François-Honoré-Georges sont chargés de remeubler le château de Malmaison, et à la même époque, ils livrent de nombreux meubles pour l’installation du Palais de gouvernement le la République française aux Tuileries. A l’exposition industrielle de l’an IX, ils remportent la médaille d’or pour les meubles qu’ils exposent. Au décès de son frère, François-Honoré-Georges continue seul l’activité jusqu’en 1825, date à laquelle il cède l’entreprise à son fils. L’influence ou plus exactement la « Régence » de Percier et Fontaine sur l’Art français ne peut se comprendre qu’en considérant la partie décorative de leurs réalisations consignée dans le « Recueil de décorations intérieures 1801-18122, véritable manifeste et illustration de l’art antique, auquel disaient-ils, il faut toujours revenir :On retrouve dans cette commode les principes qui leurs sont chers3 :-« on se flatterait en vain de trouver des formes préférables à celles que les Anciens nous ont transmises »-L’ameublement se lie de trop près à la décoration des intérieurs, pour que l’architecte puisse y être indifférent…. - La beauté des matériaux est par elle-même le plus beau des décors- Le nécessaire ne doit jamais être sacrifié à l’agréable- On doit épurer les formes dictées par les convenancesLeur fantaisie est notable dans les motifs décoratifs, ils ont puisé aux sources de l’art antique et réussi une prodigieuse assimilation. Conservé dans une collection privéeCharles Percier, Pierre François Léonard Fontaine Didot, 1812:Recueil de décorations intérieures: comprenant tout ce qui a rapport a l’ameublement, comme vases, trépieds, candélabres, cassolettes, lustres, girandoles, lampes, chandeliers, cheminées, feux, poêles, pendules, tables, secrétaires, lits, canapés, fauteuils, chaises, tabourets, miroirs, écrans, etc…Journal de 1799 à 1853, Pierre-François-Léonard Fontaine Paris en 1987 l’École nationale supérieure des beaux-arts et l’Institut français d’architecture.

Lot 217

Chaise en acajou, à dossier bandeau ajouré décoré d’un médaillon et des flammes dans un losange. Elle repose sur des pieds fuselés ornés de godrons et des pieds postérieurs arqués. Estampillée G. Iacob. Vers 1790-1796Marque en creux de Fontainebleau et marque du mobilier de Louis XVIII ovale chiffre sous Charles X : F 4910, chiffre rouge (sous Louis Philippe) 143 F 5789 F 6505, deux F qui s’affrontent (sous Napoléon III) 2511, en dessous (379) 443 40 ? (379) étant effacé et restauréH : 97 L : 52 P : 46 cmG. Iacob, menuisier reçu maître en 1765.L’ensemble auquel appartient cette chaise entre en 1807 sous l’Empire au château de Fontainebleau dans un appartement de suite au 2e étage, au dessus de la galerie François Ier en provenance du Garde-Meuble, « un canapé acajou, garni à la partie supérieure et orné de palmettes sculptées par le bas, accotoirs à têtes de lions, et queue de poissons, têtes de clous carrés en bronze sur les coins, pieds tournés à gaudrons, étoffe gourgouran vert , encadrement en galon et crête noire et aurore, 2 oreillers avec glands et rondinsHuit fauteuilsDix chaisesUn écran acajou pieds à patins roulettes en cuivreFeuille taffetas vert plisséDe 96c de haut 1 » L’Inventaire de 1833 2 le décrit dans le salon sous le n° 5789 « 10 chaises bois et étoffes idem….200f (composant le même ensemble : 8 fauteuils et un canapé)3En 1855 ce mobilier se trouve dans un salon de l’appartement n°8, Cour des Princes, les chaises sont décrites sous le n° F2511 :« 10 chaises bis idem (acajou) dossier à planche avec losange découpé à jour »4. Quatre sont sorties du Palais : en 1869 et six en 1882, pour une vente par les domaines.-Une chaise se trouvait dans la collection Grognot-Joinel5 exposée aux Arts Décoratifs en janvier-février 1951, p.33, n°80. Elle faisait partie d’une suite de dix chaises-Une paire de chaises identiques, estampillées G.Iacob avec la marque du palais des Tuileries et le n° B 633 a été vendue à Paris, Palais Galliera, le 16 mars 1967, n°106.1- Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 1994.2-, inv 1833 A.N AJ 19252 folio353 –Sous le n°143 dont dépend le salon,sont regroupés : la salle à manger, le passage, Première cgambre à coucher, Cabinet de toilette, la garde-robe, deuxième chambre à coucher et chambre de domestique.4 - Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 19945- Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français du XIXe siècle » Denise Ledoux- Lebard, Paris 1989, L’amateur Ed. p 289.

Lot 218

Paire de bougeoirs.En bronze doré . Le fût cylindrique surmonté de mufles de lion repose sur des griffes. Base ronde ciselée de palmettes.Epoque EmpireH : 30 cm(usures à la dorure)Provenance : Vente Paris, Hôtel Drouot 26 juin 2001 n°17

Lot 219

Paire de bougeoirsen bronze doré, le fût à pans coupés, ils reposent sur une base ronde ciselée de palmettes.Epoque Empire(usures)H : 27,5 cm

Lot 220

Encrieren bronze ciselé et doré, l’anse en forme d’abeille. Il est orné de palmettes et de pampres de vigneEpoque Restauration-Louis Philippe(manques)H : 10,5 cm

Lot 223

Paire de candelabres en bronze ciselé et doré sculpté de godrons et palmettes à trois branches de lumière terminées par des têtes de corbins. Le fût surmonté d’une urne. Il repose sur une base ronde.Epoque Empire(quelques usures)H : 49,5 cm

Lot 226

Encrieren bronze patiné et doré représentant à la partie supérieure un guerrier. La partie inférieure ornée de trophées militaires et d’une frise de palmettesEpoque Empire-Restauration(usures) H : 17,5 L : 19 P : 11 cm

Lot 227

Paire de bougeoirsen bronze ciselé et doré, le fût orné de foudres et surmonté d’une sphère avec une tête d’Eole. Les binets en forme de nuées. Base décorée de foudres. Par Galle. Epoque EmpireH : 29 cm. (restauration, quelques usures)Une paire de bougeoirs similaires a été livrée en 1805 par le bronzier Galle pour le Palais de Fontainebleau. Elle se trouvait en 1807 dans le deuxième salon de l’Impératrice 1. 1- Musée national du château de Fontainebleau « Pendules et bronzes d’ameublement entré sous le premier Empire », par Jean-Pierre Samoyault, RMN, 1989, p. 201, n°189

Lot 228

Paire d’appliquesà deux branches de lumière, en bronze ciselé et doré, ornées de guerrier en armure et de trophées militaires.Epoque RestaurationH : 20,5 L : 18,5 cm

Lot 229

Paire de bougeoirs en bronze ciselé et doré, orné de palmettes, godrons et rosaces. Ils reposent sur une base ronde.Epoque EmpireH : 34 cm

Lot 236

Paire d’appliquesen bronze patiné et bronze ciselé et doré représentant un bras supportant trois branches de lumière ornées de reptiles. La base de l’applique est surmontée d’un aigle et décorée de branchages de laurier et de carquois.Style Empire(montées à l’électricité)H : 48 - P : 21 cm800 / 1 200 €Provenance : Collection René Vassel.

Lot 237

LustreEn bronze doré à huit branches de lumière avec une pomme de pin à l’amortissementStyle EmpireMonté à l’électricitéH : 58,5 L : 53 cm

Lot 253

Elégant encrier en bronze ciselé et doré à décor de de papillon et de guirlandesDébut du XIXe siècleLong : 15.5 X L : 7 x h :10 cm

Lot 293

ORDRE DE LA LEGION D’HONNEUR, institué en 1802 Etoile d’officier au modèle de la Restauration. Bronze doré et émail. Ruban à rosette moderne. T.T.B. (Remontage composite).

Lot 295

ORDRE DE LA LEGION D’HONNEUR, institué en 1802. Etoile de commandeur d’époque Second Empire. Bronze doré et émail. Cravate. Ht : 90 mm. T.T.B.

Lot 298

Deux médailles de Sainte-Hélène. Bronze patiné. Une avec ruban. T.T.B.

Lot 303

Important lot de neuf médailles sur Napoléon et l’Empire : -Bataille de Montenotte par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,8 cm.-« Napoléoni Bonaparte. Primario R.P.G. Consuli Perpetuo », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,1 cm. -« Retablissement du Culte. Le XVIII Germinal An X », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,9 cm.-« Les trois consuls », par Jeuffroy. Bronze patiné. Diam : 6,7 cm.-« De Germanis. Roxolanicus Maximus. », par Galle. Bronze patiné. Diam : 6,8 cm.-« Mémorial de Sainte-Hélène. » par Bovy. Bronze patinéDiam : 4 cm. -« Maréchal Macdonald Duc de Tarente. » par Dieudonné. Argent. Diam : 4,9 cm. -« La France et Napoléon III inaugurent le tombeau de l’Empereur Napoléon. » Uniface. Bronze patiné. Diam : 7,5 cm.-Deux médailles de naissance du Duc de Bordeaux par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,5 cm.T.T.B. On y joint trois profils en plomb de Napoléon, Marie Louise et Joséphine.

Lot 316

Masque mortuaire de l’empereur napoléon 1erPetit bronze sur socle de velours rougeHauteur : 11, 5 cmXIXe siècle

Lot 339

Glaive de l’Ecole de Mars crée en 1794. Monture en bronze ciselé. Garde à une branche, deux quillons en fer et deux demi oreillons aux « bonnets phrygiens ». Lame droite à arête médiane poinçonnée au talon du faisceau de licteur Fourreau en bois recouvert de laiton à deux crevées. Bouterolle et dard à palmettes (garnitures en peau ancienne mais postérieure).B.E.

Lot 340

Hallebarde de suisse d’église. En bronze doré et ciselé, travaillé à jours à décor de palmes dans sa partie haute, et de gerbes de blé, de vignes et de têtes d’aigles dans sa partie basse. Embase à pans, vissable. Ht : 40 cm. B.E.Fin XIXè siècle.

Lot 362

Deux épées de fonctionnaire. Montures en bronze doré. Claviers ajourés :a) à motif au « X ».b) au faisceau de licteur sur drapeau.Lames triangulaires gravées de rinceaux feuillagés.B.E. SF. IIIè République. On y joint un sabre oriental moderne.

Lot 370

Emmanuel FREMIET (1824-1910).« L’Empereur Napoléon III à cheval, en grand uniforme de général de division ».27 x 8 cm. Ht : 37 cm.Bronze signé sur la terrasse « E. Fremiet ».B.E. Historique :« l’Empereur eu la bonté de poser pour moi au sortir de la messe des Tuileries, à laquelle il assistait en tenue. J’avais préparé pour cette séance un mannequin de cheval, sans têtes et sans jambes, mais avec la selle impériale. Sa Majesté me permit très gracieusement de prendre quelques mesures nécessaires à mon travail »

Lot 106

A Victorian bronze patinated centrepiece cast putti

Lot 156

After P. Wery – a patinated bronze bust - Study of mother & child, 10” on stepped two-colour marble base SEE ILLUSTRATION

Lot 786

A 19th Century bronze centrepiece with Roman figure to the base, base a/f, height 41cm

Lot 830

Three German Mothers Cross medals, bronze, silver and gold

Lot 506

AFTER REMINGTON - a reproduction bronze of `Rattondu`.

Lot 576

A set of Vickers Aviation playing cards in original box and a bronze medal awarded at The Chelsea Flower Show inscribed: J.T. Walker Coronation Show, July 1953.

Lot 34

P. MACÉ Portrait d’homme Épreuve en bronze, signée, cachet du fondeur Valsuani Haut. : 30 cm - Larg. : 15 cm

Lot 35

École Moderne Tête de jeune fille Épreuve en bronze, signé : « Indér », cachet du fondeur Valsuani Haut. : 20 cm - Larg. : 17 cm

Lot 36

René ICHÉ (1897-1954) Les lutteurs, 1928 Épreuve en bronze, signée et datée, cachet du fondeur Valsuani Haut. : 37 cm

Lot 37

École Moderne Tête d’homme, 1975 Épreuve en bronze, monogrammée MB et datée, édition 36, cachet Modern Art Gallery NY Haut. : 9 cm

Lot 39

Léon LEVKOVITCH (1936-) Personnages, 1994 Plaque de bronze, signée et datée 21,5 x 32 cm

Lot 153

Important vase en céramique rouge sang-de-bœuf ; monture en bronze doré ; monté à l’électricité.

Lot 155

Lustre en bronze argenté à huit bras de lumière.

Lot 159

Paire d’urnes à deux anses reposant sur des colonnes, en bronze ciselé doré. Époque Empire. Haut. : 33 cm

Lot 162

Ensemble de poids, vase, animal en bronze Asie ou Afrique

Lot 169

Vase ovoïde à pans coupés en bronze patiné. Japon.

Lot 175

Paire d’appliques à deux lumières en bronze doré.

Lot 180

Paire d’appliques en bronze doré à trois bras de lumière, décor feuillagé. Style Louis XV Haut. : 38 cm

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