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napoléon ier Délivrance de Dantzig28 mai 1807Tête laurée de lempereur à droite. R/. Lempereurdebout à gauche relève la ville de Dantzig à demiagenouilléeà droite. Andrieu F. et Denon D. Alexergue : LIBERTAS DANTISCO RESTITVTAet MDCCCVII. Bramsen 652 ; Essling 1179médaille en bronze 1807.Ø 40. 64mm (35.78g)Superbe.collection comtesse pelletier de chambure (1902-1975)
Lot de quatre médailles en bronze du XiXe siècleMariage du duc de Berry et de Caroline de Bourbon-Sicile 1816Ø 50mmCharles Emmanuel Joseph Pierre, marquis de Pastoret (1755-1840) : devise « Nulli impar fortunæ» 1830Visite des hôpitaux général, civil et militaire de Charles x à Amiens 18 et 19 sept.1827Rétablissement en 1817 de la statue dHenri IV au Pont Neuf qui avait été fondue pour faire des canons.Beaux. T.B.Très beaux.
Une médaille du Pacte Fédératif14 juillet 1790.Bronze doré, ruban.- Deux médaille rondes « confédération des françois» dont une attribuée à « JB clere ».Bronze doré.- Un bouton duniforme « république française »en laiton doré.On y joint une médaille en bronze « mérite reconnu ».« membres des Académies françaises et Belles lettres etdes sciences morales de paris le 15 juillet 1783 ».
175-RARE ET MYTHIQUE AIGLE REGLEMENTAIRE DE DRAPEAU MODELE 1804. Aigle en bronze doré, à tête tournée vers la gauche, à bec légèrement ouvert, et aux ailes déployées. La patte droite reposant sur le fuseau maintenu par ses serres. Montée sur un caisson rectangulaire prolongé dune douille. Bien conforme dans ses principales mesures, portant sous le foudre les lettres et chiffres « CLXXXII » de repère que lon retrouve également sur le caisson et sous lAigle ainsi que les points et poinçons. Ht à larrière : 22 cm. Largeur à la base des ailes : 24,2 cm. B.E. Epoque Premier Empire. Cette aigle, ayant été montée sur une horloge, porte trois petits trous, un sur la tête, les deux autres sur les côtés du caisson, qui ont été réparés sans être cachés. Le fond du caisson et la douille ont été refaits au modèle vers 1960. Provenance : Collection Laissus. Historique : Le 28 Floréal An 12 (18 mai 1804), le Sénat proclame le général Bonaparte Empereur des Français. Très rapidement, le Conseil dEtat travaille à la mise au point dun nouvel emblème de la Nation. Après une proposition sans succès du lion au repos, Napoléon adopte lAigle aux ailes déployées. Le 27 juillet 1804 au QG du Pont aux Briques, lEmpereur décide que cette Aigle en bronze doré sera désormais placée désormais en haut de la hampe des nouveaux drapeaux et étendards. Les Aigles en bronze doré à lor moulu destinées à lArmée et à la Marine sont executées par Thomire. Luvre originale est due au sculpteur Chaudet. IL faut souligner le souci constant qua eu lEmpereur à remettre personnellement les Aigles. La distribution la plus célèbre est celle du 14 frimaire An XIII. Sous le Premier Empire, on distingue trois modèles dAigles : le modèle 1804, le modèle 1810-1811 dit allégé et le modèle 1815 des Cent jours. Le modèle 1804 est le plus remarquable tant par lallure que par léxecution soignée avec reprise au ciseau. Bibliographie : Les Aigles françaises (1804-1815), par Pierre Charrié.
SUPERBE ET RARE SABRE DE RECOMPENSE NATIONALE DE LA MANUFACTURE DE VERSAILLES.Monture en bronze doré, ciselé.Poignée en ébène sculpté décailles sur les deux faces, cannelée sur les côtés.Importante garde à une branche. Pommeau en tête de lion à jupe courte, cou ciselé dun bouquet de feuillages, décailles et dune fleur.Garde à une branche incurvée travaillée à jours, ornée sur la partie haute dun flambeau ailé et dun bouquet de fleurs raccordé au pommeau par un plateau orné dune étoile rayonnante sur fond amati, encadré dailes, à deux oreillons en navette ciselés en fort relief de trophées, trompettes, couronne de feuilles de chêne et raisins. Quillon recourbé vers le bas et enroulé.Gravé sous la garde « Boutet Directeur Artiste Manufacture de Versailles ».Superbe lame cintrée, en damas, à dos plat gravé « Klingenthal », à contre tranchant et pans creux, joliment gravée à leau forte de trophées, couronne et feuillages, en partie dorée, avec banderolle gravée « Récompense » sur une face et, « Nationale », sur lautre face ,sur fond dor entourant une massue. Talon joliment doré sur les deux faces.Fourreau en tôle de fer bleui à quatre riches garnitures en bronze découpé, doré et ciselé, travaillé à jours.Chape avec anneau de suspente à décor de feuilles de chêne et, dans un médaillon ovale dun casque lantique.Premier bracelet à anneau de suspente orné de feuilles de laurier, couronne de feuilles de chêne et haches croisées.Second bracelet à tête de gorgone au centre dun clavier dépées feuillagés.Bouterolle en forme de carquois avec flèches, protégée par un dard assymétrique en fer poli blanc.B.E. (Très légère oxydation sur le bleui du fourreau), le reste en parfait état dans sa dorure dorigine.N.B. : Ce sabre est lun, sinon le plus beau, des modèles de la Manufacture de Versailles, fabriqué sous le Directoire sous la direction du célèbre Nicolas Noël Boutet, Directeur Artiste de la dite Manufacture.Ce modèle fût notamment distribué lors des journées du 18 brumaire.On y joint un dossier relatif au Général Hardy comprenant : - Deux portraits au physionotrace du Général Hardy et de sa femme Calixte.- une photographie ancienne (9 x 6 cm) du sabre sur une gaine portant le buste du Général.-Copie de l «Inventaire après le décès du Citoyen Hardy, fait le 15 Thermidor An 10, par le citoyen Cabal Notaire. » dont lequel il est fait mention des armes du Général Hardy : « Boïte plaquée en acajou doublée en dedans en drap vert à différents compartiments venant de la Manufacture de Versailles et contenant deux pistolets darçon bronzé et doré sous garde et bellière en argent et sculpté, deux pistolets de poche en acier poli en Lasse couverte de chagrin et garnie de petits clous dargent, un moule à balle en acier un tire balle une poire un maillet en bois de Ste Lucie et quatre ustensiles nécessaires à ces armes et compléttant la boïte. Une carabine aussi de la Manufacture de Versailles à canon bronze et doré sous garde et bellière en argent. Baterie en acier poli Le fut en bois sculpté. (Il sagit de la superbe carabine conservée de nos jours au Musée de lArmée) . Un sabre aussi de la Manufacture de Versailles à Tête de Lyon garde Belliere et bas du fourreau en cuivre doré Le fourreau bronzé prisé le tout trois mille francs . ».Il est à noter que dans une lettre du 31 octobre 1799, après avoir remarqué que la femme de Bernadotte « paraît fort gentille et point bégueule. », il signale « Jai vu, au dépôt des armes, mon armure, qui est superbe. »Une note de bas de page détaille cette armure : Une carabine, quatre pistolets (deux darçon, deux de ceintures), un sabre, une épée). Sur chacune de ces armes est inscrit : « Le gouvernement français au général Hardÿ ».
BAROMETRE ET CARTEL En forme de bouclier en bronze patiné et bronze doré. Signés « Le Roy à Paris », décoré de guirlandes dolivier, cariatides ailées et palmettes. Le cartel porte le n°1028 au revers Epoque Empire(quelques usures, manque le mouvement du baromètre un élément à refixer)H: 41 cm L : 29 cm H : 46 cm. Un cartel de modèle identique, est livré au Grand Trianon par lhorloger Le Paute en 1810 pour le cabinet topographique Cf : « Le Grand Trianon, meubles et objets dart », par Denise Ledoux-Lebard, 1975, p.137.
LITEn forme de nacelle, en acajou, placage dacajou à ramages et bronze doré, orné de têtes de cygnes, palmettes, personnages à lantique surmontés damours, flanqué de torches enflammées et de rosaces. Il repose sur des pieds en gaine. Attribué à JACOB-DESMALTEREpoque EmpireH : 111 - L : 237,5 - P : 140,5 cmCet exemplaire est à rapprocher dun lit conservé au Musée Carnavalet également à col de cygne, provenant des Collections de la Duchesse de Gaete 1. Un autre lit en nacelle autrefois dans la Collection Grognot et Joinel est reproduit dans « Meubles et Ensembles Epoque Directoire » 2.1. « Le Mobilier du Musée Carnavalet », Anne Forray-Carlier, 2000, p.243, n°892. Y. Brunhammer et Monique de Fayet, Paris 1965, Massin Ed., p.37, pl. 47
PENDULE EN BISCUIT BLANC ET BLEU, à limitation de la porcelaine de Wedgwood et bronze doré, représentant une femme accoudée à une sphère symbolisant lAstronomie.et assise sur une borne contenant le cadran émaillé avec indication des heures et des minutes signé « Gaston Jolly a Paris ». Elle repose sur un socle à limitation du marbre vert de mer, supporté par des patins en bronze doréFin du XVIIIème début du XIXème siècle(petits éclats au cadran, petits manques, restaurations) H : 48 - L : 35,5 cm - Un exemplaire identique, le cadran de : Schmit à Paris, a été vendu en 1990 1. - Une pendule réalisée en bronze doré et illustrant le même sujet, a été vendue en 200121. Vente paris, Hôtel Drouot, le 19 décembre 1990, n°332. Vente Zurich, les 26-28 juin 2001, n°4086
ECRITOIRE de forme rectangulaire à double gorge en placage de thuya, et ébène ; il repose sur quatre chimères en bronze doré. Non signé vers 1803(petites fentes, petits manques, manque un tiroir latéral en acajou, un écoinçon, (lion) à refixer) H : 9,5 L : 35 P : 24 cmExpositions :Cette écritoire a figuré à lexposition : « Chefs-duvre des Grands Ebénistes 1790-1850, de G. Jacob à Giroux » Paris, Musée des Arts Décoratifs, Janvier-février 1951 p.22 n°37.Elle est aussi reproduite dans louvrage: « Empire Furniture 1800-1825 » Serge Grandjean, conservateur au Louvre, Londres 1966, Faber Ed, n° 69 a. uvres en rapport :Cet exemplaire est à rapprocher de lécritoire livrée par Biennais le 29 brumaire an XIII (1805) pour le pape aux Tuileries.Elle a aussi vraisemblablement servi de modèle pour réaliser celle que la reine Hortense1 offre à Napoléon en 1808 pour son anniversaire le 15 août et celle au chiffre de lImpératrice Marie-Louise2.Biographie :Martin-Guillaume Biennais3 (1764-1843), tabletier reçu maître en 1788, achète la même année le fond modeste du tabletier Claude-Louis Anciaux quil développe. Sous le Consulat, il accepte de fournir le 1er Consul Bonaparte à crédit. Ce dernier devenu Empereur se montre reconnaissant et fait de lui son orfèvre. La Révolution ayant aboli le système des corporations, Biennais en profite pour étendre son activité à lorfèvrerie offrant ainsi à sa clientèle des objets de luxe dont il maîtrise toutes les étapes de fabrication. En 1806, il obtient une médaille dor à lExposition des Produits de lIndustrie dans la section orfèvrerie. Son entreprise connaît alors un essor considérable et emploie jusquà 200 ouvriers. Biennais compte parmi sa clientèle les familles Bonaparte, Beauharnais et des grands dignitaires. Les nécessaires et coffrets révèlent lhabileté et la dextérité de tabletier de Martin Guillaume Biennais Sous la Restauration, son attachement à lEmpereur le prive de commandes royales mais il reçoit plusieurs commandes de létranger. En 1821, il cède son fonds de commerce à Jean-Charles Cahier, en faveur auprès des Bourbons. Biennais partage alors son temps entre ses résidences de Paris et du château de La Verrière, et meurt en 1843.1 - Collection de la Fondation Napoléon : Cf : Trésors de la Fondation Napoléon, dans lintimité de la cour impériale, Exposition 28 septembre 2004-3 avril 2005, Paris musée Jacquemart-André, p.108, n°872- Bibliothèque de lUnion Centrale des Arts Décoratifs, Album Maciet, vol 348-13 - « LOrfèvre de Napoléon, Martin-Guillaume Biennais » Musée du Louvre 15 octobre 2003 - 19 janvier 2004 p.25.
Pendule cageen bronze ciselé et doré ; la partie supérieure cintrée, décorée de colonnettes feuillagées à chapiteaux.Le cadran signé : « Thonissen à Paris ».Elle repose sur une base rectangulaire ornée de rais de coeur.Epoque Consulat-EmpireH : 38 L : 22,5 cm (accidents au cadran, manque des aiguilles, quelques usures)Provenance : Vente Cornette de St Cyr, Hôtel Drouot, 12 décembre 1986, n° 77
Commodede forme rectangulaire, en placage dacajou, citronnier amarante et ébène ; les montants à mufles de lion et jarrets terminés par des griffes en bois patiné imitant le bronze. Elle ouvre à quatre tiroirs décorés de losanges, cygnes affrontés, palmettes et des moulures en acajou. Dessus de petit granit reposant sur une gorge moulurée. Par Georges Jacob ou Jacob Frères (non signée) Epoque Directoire vers 1792-1795 (fentes, petits manques, petites usures) H : 90,5 L : 115 P : 59,5 cmProvenance : Ancienne collection Jacob-Desmalter et restée dans sa descendance jusquà ce jour.Cette commode a été exécutée daprès un dessin de Charles Percier1Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français Directoire Consulat Empire » Marie-Noëlle de Grandry, Paris, 1996, Massin Ed., p. 46. et dans : « Meubles et ensembles Epoque Directoire et Empire » YvonneBruhammer et Monique du Fayet, Paris 1965, Massin Ed., p.17, fig. 17.Elle est à rapprocher du secrétaire à abattant, au décor identique de losanges en placage de citronnier marqueté en amarante de libellules et reproduit dans le même ouvrage p.41, °15.Biographie :Georges II Jacob (1768-1803) et François-Honoré-Georges Jacob (1770-1841), fils du menuisier Georges Jacob, sassocient en 1796 sous la raison sociale Jacob Frères. Dans cette association, laîné gère ladministration et François-Honoré-Georges, dessinateur talentueux, assure la partie technique. La créativité et la qualité dexécution de cette commode atteste de la parfaite complémentarité et collaboration entre les architectes Charles Percier, Pierre-Léonard Fontaine et les ateliers Jacob. Ils fournissent des croquis de meubles. La maison familiale, grâce à la reprise économique au lendemain de la Révolution et à la faveur dont elle jouit auprès des Bonaparte, connaît à cette époque un important essor. En effet, les frères Jacob décorent et aménagent plusieurs hôtels particuliers. En 1797, Joséphine commande lameublement de la maison de Bonaparte, rue Chantereine. Madame Récamier reçoit pour sa chambre lun des ensembles les plus célèbres de lassociation des deux frères. On compte également parmi leurs clients les citoyens : Pottier, Fournier, Gaudin ou lactrice Mademoiselle Mars. A partir de 1800, Georges II et François-Honoré-Georges sont chargés de remeubler le château de Malmaison, et à la même époque, ils livrent de nombreux meubles pour linstallation du Palais de gouvernement le la République française aux Tuileries. A lexposition industrielle de lan IX, ils remportent la médaille dor pour les meubles quils exposent. Au décès de son frère, François-Honoré-Georges continue seul lactivité jusquen 1825, date à laquelle il cède lentreprise à son fils. Linfluence ou plus exactement la « Régence » de Percier et Fontaine sur lArt français ne peut se comprendre quen considérant la partie décorative de leurs réalisations consignée dans le « Recueil de décorations intérieures 1801-18122, véritable manifeste et illustration de lart antique, auquel disaient-ils, il faut toujours revenir :On retrouve dans cette commode les principes qui leurs sont chers3 :-« on se flatterait en vain de trouver des formes préférables à celles que les Anciens nous ont transmises »-Lameublement se lie de trop près à la décoration des intérieurs, pour que larchitecte puisse y être indifférent . - La beauté des matériaux est par elle-même le plus beau des décors- Le nécessaire ne doit jamais être sacrifié à lagréable- On doit épurer les formes dictées par les convenancesLeur fantaisie est notable dans les motifs décoratifs, ils ont puisé aux sources de lart antique et réussi une prodigieuse assimilation. Conservé dans une collection privéeCharles Percier, Pierre François Léonard Fontaine Didot, 1812:Recueil de décorations intérieures: comprenant tout ce qui a rapport a lameublement, comme vases, trépieds, candélabres, cassolettes, lustres, girandoles, lampes, chandeliers, cheminées, feux, poêles, pendules, tables, secrétaires, lits, canapés, fauteuils, chaises, tabourets, miroirs, écrans, etc Journal de 1799 à 1853, Pierre-François-Léonard Fontaine Paris en 1987 lÉcole nationale supérieure des beaux-arts et lInstitut français darchitecture.
Chaise en acajou, à dossier bandeau ajouré décoré dun médaillon et des flammes dans un losange. Elle repose sur des pieds fuselés ornés de godrons et des pieds postérieurs arqués. Estampillée G. Iacob. Vers 1790-1796Marque en creux de Fontainebleau et marque du mobilier de Louis XVIII ovale chiffre sous Charles X : F 4910, chiffre rouge (sous Louis Philippe) 143 F 5789 F 6505, deux F qui saffrontent (sous Napoléon III) 2511, en dessous (379) 443 40 ? (379) étant effacé et restauréH : 97 L : 52 P : 46 cmG. Iacob, menuisier reçu maître en 1765.Lensemble auquel appartient cette chaise entre en 1807 sous lEmpire au château de Fontainebleau dans un appartement de suite au 2e étage, au dessus de la galerie François Ier en provenance du Garde-Meuble, « un canapé acajou, garni à la partie supérieure et orné de palmettes sculptées par le bas, accotoirs à têtes de lions, et queue de poissons, têtes de clous carrés en bronze sur les coins, pieds tournés à gaudrons, étoffe gourgouran vert , encadrement en galon et crête noire et aurore, 2 oreillers avec glands et rondinsHuit fauteuilsDix chaisesUn écran acajou pieds à patins roulettes en cuivreFeuille taffetas vert plisséDe 96c de haut 1 » LInventaire de 1833 2 le décrit dans le salon sous le n° 5789 « 10 chaises bois et étoffes idem .200f (composant le même ensemble : 8 fauteuils et un canapé)3En 1855 ce mobilier se trouve dans un salon de lappartement n°8, Cour des Princes, les chaises sont décrites sous le n° F2511 :« 10 chaises bis idem (acajou) dossier à planche avec losange découpé à jour »4. Quatre sont sorties du Palais : en 1869 et six en 1882, pour une vente par les domaines.-Une chaise se trouvait dans la collection Grognot-Joinel5 exposée aux Arts Décoratifs en janvier-février 1951, p.33, n°80. Elle faisait partie dune suite de dix chaises-Une paire de chaises identiques, estampillées G.Iacob avec la marque du palais des Tuileries et le n° B 633 a été vendue à Paris, Palais Galliera, le 16 mars 1967, n°106.1- Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 1994.2-, inv 1833 A.N AJ 19252 folio353 Sous le n°143 dont dépend le salon,sont regroupés : la salle à manger, le passage, Première cgambre à coucher, Cabinet de toilette, la garde-robe, deuxième chambre à coucher et chambre de domestique.4 - Nous remercions M. Jean-Pierre Samoyault de nous avoir communiqué cette information en 19945- Elle est reproduite dans « Le Mobilier Français du XIXe siècle » Denise Ledoux- Lebard, Paris 1989, Lamateur Ed. p 289.
Paire de bougeoirsen bronze ciselé et doré, le fût orné de foudres et surmonté dune sphère avec une tête dEole. Les binets en forme de nuées. Base décorée de foudres. Par Galle. Epoque EmpireH : 29 cm. (restauration, quelques usures)Une paire de bougeoirs similaires a été livrée en 1805 par le bronzier Galle pour le Palais de Fontainebleau. Elle se trouvait en 1807 dans le deuxième salon de lImpératrice 1. 1- Musée national du château de Fontainebleau « Pendules et bronzes dameublement entré sous le premier Empire », par Jean-Pierre Samoyault, RMN, 1989, p. 201, n°189
Paire dappliquesen bronze patiné et bronze ciselé et doré représentant un bras supportant trois branches de lumière ornées de reptiles. La base de lapplique est surmontée dun aigle et décorée de branchages de laurier et de carquois.Style Empire(montées à lélectricité)H : 48 - P : 21 cm800 / 1 200 Provenance : Collection René Vassel.
Important lot de neuf médailles sur Napoléon et lEmpire : -Bataille de Montenotte par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,8 cm.-« Napoléoni Bonaparte. Primario R.P.G. Consuli Perpetuo », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,1 cm. -« Retablissement du Culte. Le XVIII Germinal An X », par Andrieu. Bronze patiné. Diam : 4,9 cm.-« Les trois consuls », par Jeuffroy. Bronze patiné. Diam : 6,7 cm.-« De Germanis. Roxolanicus Maximus. », par Galle. Bronze patiné. Diam : 6,8 cm.-« Mémorial de Sainte-Hélène. » par Bovy. Bronze patinéDiam : 4 cm. -« Maréchal Macdonald Duc de Tarente. » par Dieudonné. Argent. Diam : 4,9 cm. -« La France et Napoléon III inaugurent le tombeau de lEmpereur Napoléon. » Uniface. Bronze patiné. Diam : 7,5 cm.-Deux médailles de naissance du Duc de Bordeaux par Gayrard. Bronze patiné. Diam : 3,5 cm.T.T.B. On y joint trois profils en plomb de Napoléon, Marie Louise et Joséphine.
Glaive de lEcole de Mars crée en 1794. Monture en bronze ciselé. Garde à une branche, deux quillons en fer et deux demi oreillons aux « bonnets phrygiens ». Lame droite à arête médiane poinçonnée au talon du faisceau de licteur Fourreau en bois recouvert de laiton à deux crevées. Bouterolle et dard à palmettes (garnitures en peau ancienne mais postérieure).B.E.
Emmanuel FREMIET (1824-1910).« LEmpereur Napoléon III à cheval, en grand uniforme de général de division ».27 x 8 cm. Ht : 37 cm.Bronze signé sur la terrasse « E. Fremiet ».B.E. Historique :« lEmpereur eu la bonté de poser pour moi au sortir de la messe des Tuileries, à laquelle il assistait en tenue. Javais préparé pour cette séance un mannequin de cheval, sans têtes et sans jambes, mais avec la selle impériale. Sa Majesté me permit très gracieusement de prendre quelques mesures nécessaires à mon travail »
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