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Wunderlich, Paul—Paar Torsi—(Eberswalde 1927-2010 Saint-Pierre-de-Vassols) Weiblicher und männlicher Torso, der weibliche mit Medaillon. Bronze, goldbraun patiniert, rücks. montierter Eisenstab zur Aufstellung an rechteckiger Schieferplatte. Vorderseite monogr. u. „83“ dat., sowie Auflagenstempel „89/250“, rücks. mit dem gravierten Namenszug des Künstlers. H. mit Sockel 36 cm.
Statuette votive représentant le poisson Oxyrhynque. Il est juché sur un traîneau et coiffé de la couronne hathorique et de l’uræus. Son cou est gravé d’un collier ousekh. À l’arrière de la couronne, anneau de suspension. Bronze Égypte, Basse Époque,époque ptolémaïque Longueur : 14,5 cm (Oxydations) Oxyrhynque est le poisson tutélaire de la ville d’Oxyrhynchos, l’actuelle Behnasa. Son nom, donné par les grecs, signifie « nez pointu », du faitde la morphologie de sa tête terminée par un museau effilé. Il est étroitement lié à trois déesses : Hathor dontil peut être son image, Thouéris,et surtout Isis. Dans le mythe Osirien, il est le poisson qui a avalé le phallus du dieu dépecé. Les deux déesses Isis et Nephtys, avec l’aide d’Anubis, confectionnèrent alors la première momie ; Isis réanima le corps de son mari défunt et conçut avec lui Horus qu’elle protégea des envies meurtrières de son oncle Seth.
Brûle-parfum ottoman Panse hémisphérique sur piédouche en métal et couvercle en dôme ajouré d’une frise de fleurons et de rinceaux en arabesques, surmonté d’une prise en bouton. Anse arquée à pans coupés. Turquie, XVIIe siècle Hauteur : 21,5 cm (Redoré entièrement et prise plus tardive) Il existe peu d’exemplaires de cette forme de brûle-parfum à anse arquée. Deux modèles ont été publiés, l’un dans le catalogue, Anatolian Civilisations, Istanbul, 1983, vol.III,n° E 261, conservé au Top Kapi Museum, et le second dans Y. Petsopoulos, Tulips, Arabesques and Turbans, Decorative Arts from the Ottoman Empire, Londres, 1982, n° 50, collection privée ; repris aussi par M. Zebrowski, Gold, Silver and bronze from Mughal India, Londres, 1997, n° 144, pour le rapprocher des modèles indiens au Pendjab de la même époque. Voir aussi un exemplaire, au décor différent, mis en vente à Paris, Ader, Arts d’Orient,24 mai 2011, lot 205.
Ensemble de 11 cachets de cire et à l’encre d’époque Ancien Régime et Restauration dont juge de Paix, tribunal civil de Limoges, juge d’instruction, mairie etc. Bronze (Assez bon état) On y joint un fer pour reliure de l’établissement royale des chevaliers de Saint Louis et une plaque en cuivre gravée pour carte de visite d’un abbé.
Statue équestre en bronze à patine brune représentant Louis XIV d’après Pierre Cartellier (1757-1831) reposant sur une base rectangulaire à doucineen marqueterie d’ébène et cuivre gravé à motifs de rinceaux feuillagés. XIXe siècle Hauteur : 96 cm - Largeur : 68 cm Profondeur : 35 cm (Accidents à la base) Cette statue équestre de Louis XIV correspond à la réduction de la célèbre statue commencée par Pierre Cartellier et achevée en 1838 par Louis Petitot (1794-1862), son élève et son gendre, aujourd’hui installée devant la cour d’honneur du château de Versailles.La fonte, très spectaculaire par sa taille, avait été réalisée par Charles Crozatier.
Petit cartel d’appliqueen bronze ciselé et anciennement doré, à décor à l’amortissement, de constructions à l’Antique, dans des encadrements à rinceaux et feuillages. Le cadran indique les heures en chiffre romain et les minutes en chiffre arabe, par tranche de cinq. Époque Louis XV Hauteur : 54 cm - Largeur : 28 cm (Mouvement incomplet)
Vase à col légèrement évasé,en céladon gaufré vert de la Chine, à décor de branchages fleuris dans des encadrements à palmettes. XVIIIe siècle Belle monture de bronze ciselé et doré à base présentant un piétement tripode à agrafes et rinceaux. Le col imitant des flots coulants (rapporté). Époque Louis XV Hauteur : 18 cm - Diamètre : 24 cm
Pendule aux sphinx en bronze ciselé et doré, le cadran à chiffres romains et arabes émaillés noirs flanqué de deux sphinx allongés supportés par un entablement étoilé reposant sur quatre colonnes jumelées ; la base ornée de palmettes, lyre et griffons. Époque Consulat, vers 1800 (Avec son balancier, petites usuresà la dorure)
Deux candélabres formant pendant, à six lumières,en bronze finement ciselé et doréet opaline bulle de savon. Les bras supportés par des cols de cygne à rinceaux, rosaces et palmettes. Les fûts à côtes torses, soulignés de chapiteaux à palmes et légers godrons. Bases quadrangulaires, ornées d’un décor rayonnant. Époque Charles X Hauteur : 74 cm - Largeur : 34 cm (Montés à l’électricité et légères restaurations)
Bureau de pente marqueté sur toutes ses faces, sur des fonds de bois de rose, de fleurs et de feuillages, dans des encadrements à filet. Il ouvre par un abattant qui dissimule cinq tiroirs et trois casiers, dont un à secret. Trois tiroirs en ceinture, en commode. Montants et pieds cambrés. Époque Louis XV Ornements de bronze ciseléet doré à chutes, sabots,entrées de serrure et poignées. Hauteur : 94 cm - Largeur : 83 cm - Profondeur : 49,5 cm (Éclats et restaurationsà la marqueterie)
Commode en bois de rose et bois de violette ouvrant à quatre tiroirs sur trois rangs ; dessus de marbre rouge du Languedoc (réparé). Estampille de Jean-Charles Ellaume. Époque Louis XV Hauteur : 84 cm - Largeur : 98 cm - Profondeur : 50 cm (Ornementation de bronze doré, restaurations au placage) Jean-Charles Ellaume, ébéniste reçu maître en 1754
Commode en bois de violetteà façade en arbalète ouvrantà quatre tiroirs sur trois rangs,les poignées de bronze doréà décor d’enfants luttant avec un dragon, chutes, sabots et tablier. Dessus de marbre rouge des Flandres. Époque Louis XV Hauteur : 83,5 cm - Largeur : 135 cm - Profondeur : 60,5 cm
- PFD Petit secrétaire à abattant en acajou ouvrant à un tiroir, deux vantaux et un abattant découvrant quatre tiroirs et deux compartiments, avec un coffre-fort en chêne dans la partie basse. Époque Louis XVI Chutes de bronze doré rapportées Hauteur : 124 cm - Largeur : 52 cm - Profondeur : 33 cm
Bureau plat, rectangulaire, en placage de bois de rose marqueté en feuilles dans des encadrements à filets. Il ouvre par deux tirettes latérales et trois tiroirs en façade, dont deux latéraux en caisson. Encadrements de bronze à perles. Style Louis XVI Hauteur : 75 cm - Largeur : 140 cm - Profondeur : 70 cm
Console à large ressaut central, en placage de citronnier marqueté en feuilles dans des encadrements d’amarante. Elle ouvre en façade par un tiroir, et deux casiers latéraux (rapportés). Montants tournés à bague, réunis par une entretoise à tablette. Pieds fuselés. Plateau de marbre blanc veiné gris, à galerie de bronze repercé. Fin du XVIIIe siècle Hauteur : 90 cm - Largeur : 111 cm - Profondeur : 44 cm
Rare jardinière de milieu à pans coupés, en acajou et placage d’acajou. Elle présente sur la base et sur les côtés des plaques en verre peint églomisé sur des fonds prune, présentant des scènes mythologiques ou à l’Antique, dans des encadrements à palmettes, coquilles et frise de postes. Montants à pans coupés. Elle repose par huit pieds en paire, se détachant des angles. Ils sont réunis par une baseà côtés incurvés. Bagues de bronze ciselé et doréà pampres, entrelacs et rosaces. Vers 1800-1820 Hauteur : 85 cm - Largeur : 101 cm - Profondeur : 69 cm (Une plaque détachée, légers éclatsà la peinture et légères restaurations dans les fonds, dues à l’humidité) Sous l’Empire deux types de meubles formant jardinières coexistent : le premier, mobile, peut être déplacé d’une pièce à l’autre ou à l’intérieur d’un même espace ; le second correspond aux jardinières fixes formant consoles. Le meuble que nous présentons est du premier type ; il offre une composition générale relativement élaborée à six colonnes servant de lien entre la partie supérieure et l’entrejambe et peut être comparé à d’autres meubles réalisés dans le même esprit mais souvent de dessin beaucoup moins abouti ; citons notamment une paire de jardinières anciennement dans les collections de la reine Hortensedans le boudoir de son hôtel de la rue Cerutti à Paris, maintenant conservée au château de Malmaison(illustrée dans Jean-Pierre Samoyault, Mobilier français Consulat et Empire, éd. RMN, Paris, 2009,p. 244, fig. 422) ; une jardinière passée en vente à Paris, Tajan, le 18 décembre 2007, lot 141 ;un guéridon livré par Marcion en 1806 pour le salon du Conseil au château de Fontainebleau(reproduit dans Jean-Pierre Samoyault, Musée national du château de Fontainebleau, Meubles entrés sous le Premier Empire, éd. RMN, 2004, p. 255, catalogue no 182) ; ainsi qu’un second guéridon livrépar Jacob-Desmalter en 1809 pour le salon de famille de Napoléon au Palais du Grand Trianon(voir Jean-Pierre Samoyault, op. cit., 2009, p. 218, fig. 378). L’originalité du meuble proposé qui en faitson exceptionnelle rareté est son ornementation de plaques en verre églomisé à décor « étrusque »de scènes inspirées librement de la mythologie classique, dans l’esprit des projets de décorationque réalisa Jean-Démosthène Dugourc pour la cour d’Espagne à partir du milieu des années 1780. La technique du verre églomisé remonte à l’Antiquité et consistait à fixer une fine feuille d’or ou d’argent sous le verre ; le dessin est quant à lui réalisé à la pointe sèche et maintenu par une seconde coucheou une plaque de verre. En France, au XVIIIe siècle, la réintroduction de ce procédé était due à Jean-BaptisteGlomy (vers 1711-1786), célèbre encadreur parisien, qui employa notamment cette technique pouragrémenter l’encadrement de ses gravures. De nos jours, rares sont les meubles répertoriés présentantce décor particulier ou de type similaire ; citons particulièrement un secrétaire récemment présentésur le marché de l’art parisien provenant des collections royales espagnoles ; un bureau plat passé en vente à Paris, Piasa, le 25 juin 2003, lot 39 ; une table à thé estampillée Schneider rehaussée de peintures en grisaille sous verre conservée au Petit Trianon (voir Francis John Bagott Watson, Le Meuble Louis XVI,éd. Beaux-Arts, Paris, 1963, fig. 129) ; enfin mentionnons un secrétaire rattaché à l’œuvre de Bernard Molitor, offrant des panneaux signés Degault, passé en vente à Zurich, Galerie Koller, le 22 septembre 2011, lot 1156.
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