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A Wedgwood Fairyland lustre coral and bronze 2046 vase and 2308 vase, c.1924, the baluster vase decorated in the Rainbow pattern, gilt printed mark and inscribed pattern number Z5349, 7.9in., the globular vase in the Woodland Elves IV - Big Eyes pattern, gilt printed mark, 4.5in., both lacking covers and other faults
A large Chinese bronze censer, Gui, 19th century, cast and chased with battle scenes to one side and figures in a pavilion and on a boat to the other, zoomorphic handles, fruiting vine and key fret borders, six character mark cast to the base surrounded by four claw dragons chasing a flaming jewel, 17in. (43.3cm)
ARMAN, Pierre FERNANDEZ ARMAND, dit (Nice,1928 - New York, 2005) UNDIVIDED ATTENTION, 1978 Accumulation de clés anglaises Bronze Patine brune Edition à 8 exemplaires HC 1/1 Un seul réalisé à ce jour H. 106, L. 35 cm, P. 22 cm Patinated bronze Numbered HC 1/1 41.73 x 13.78 x 8.66 in. Réalisé en 1954 en fer soudé 40 x 52 x 48 cm Reproduit et répertorié dans le Catalogue raisonné de l’artiste, volume I 1947-1964 par Denyse Durand-Ruel, éd. de la différence, 1994, p. 70-71, n° 64 EXPOSITION : César, Pavillon des Arts, Musées de la ville de Paris, 23 février-7 avril 1983, reproduit au catalogue. Puis édité en bronze par différents fondeurs : En 1978, Fonte Valsuani, n° 1/8 à 4/8 et E.A. 1/2 En 1979, Fonte Susse, n°4/8- 5/8 et 7/8 + EA 2/2 En 1990, Fonte Bocquel : n°6/8 et 8/8 + 2 HC (Suite à une erreur il a été probablement fondu deux exemplaires du 4/8) Dans les années 1953-1954, César apprend la soudure et choisit, pour des raisons essentiellement économiques, la ferraille comme matériau de sculpture. « Dès le début, mon idée était de réaliser des sculptures dont on se rendrait compte qu’elles ne pouvaient pas être réalisées selon une technique te un matériau différents de ceux que j’avais précisément employés ». « Une sorte d’agressivité, de violence me soulevait. Je prenais la matière, je l’écrasais, je la pliais, je la tordais. Elle me résistait, je me débattais… Je la sentais, je la vivais. Je faisais ce que je voulais » (extrait de César par César, par Pierre Cabanes, éd. Denoël, 1971). Aucun des fers soudés n’a été destiné à l’origine à la fonte en bronze. Des années pus tard, certaines oeuvres furent déclinées en bronze : « Je les ai reprises et travaillées une à une, parce qu’en bronze c’est différent ». (extrait Musée Rath, Genève 1986) Cette oeuvre est répertoriée dans les archives Studio Arman à New York sous le n°APA no.8001.7.013. Certificat de Madame Corice Canton Arman en date du 1/10/2012 BIBLIOGRAPHIE Reproduit et répertorié p. 48 dans le catalogue de l’exposition Rétrospectives, Lund Konsthall, Editions Gkm Siwert Bergström, Malmö, 1989 EXPOSITION : Arman, Retrospectives, Lund konsthall en collaboration avec Galleri GKM, Malmö , du 10 juin au 27 août 1989, Lund, Suède
ARMAN, Armand Fernandez, dit (Nice, 1928 - New York, 2005) VIOLON, 2004 Bronze Signé et numéroté 1/8 58,5 x 33 x 14 cm Bronze Signed and numbered 1/8 23.03 x 12.99 x 5.51 in. Cette oeuvre est répertoriée dans les archives de Madame Corice Canton Arman sous le n° APA no. 8028.97.003 Certificat de Madame Corice Canton Arman en date du 1/10/2012 «â€¦Chaque accumulation représente dans sa clôture l’approche d’un seuil quantitatif situé entre la négation de la numération, c’est-à-dire l’impossibilité de dénombrer les objets accumulés, et la dispersion de l’objet dans un ensemble flou qui lui dénierait toute caractéristique au profit d’un continuum abstrait (…). Arman, Nouveau Réaliste, est un pur abstrait. Car il s’agit bien d’une abstraction que de concevoir les objets sous la forme d’un objet, l’œuvre elle-même n’étant que le seuil d’identification d’un processus par quoi les Å“uvres ne forment plus qu’un objet » ; Extrait de Bernard Lamarche-Vadel, Arman, éd. de la Différence, Paris. Cette oeuvre est répertoriée dans les archives de Madame Corice Canton Arman sous le n° APA no.8202.04.003
AUTEL PORTATIF : L’ANNONCIATION Prague, vers 1600 MATÉRIAUX :Bâti de bois tendre, ébène, cire, améthyste, pierres dures, marbre et bronzes dorés Marques : PRAGA au sommet du cartouche central de la base/AC, monogramme en lettres cursives visible sur une petite étiquette au dos de l’autel H. 62 cm, L. 57 cm, P. 17 cm AN EBONY AND PIETRA DURA PORTABLE ALTAR DEPICTING THE ANNUNCIATION, PRAGUE, C. 1600 24.41 in. high, 22.44 in. wide, 6.69 in. deep Ce rare autel portatif est attribué à un atelier de la ville de Prague dont le plus célèbre fut celui des Castrucci fondé par l’Empereur Rodolphe II qui vouait une grande passion pour le travail de la marqueterie de pierres dures. De forme très architecturale, cet autel cintré en partie supérieure présente en façade une scène de l’Annonciation en cire. Cette représentation se détache sur un très élégant fond de rinceaux et d’arabesques ajourés en bronze doré. La partie basse se divise en trois registres soulignés d’ébène à la manière d’un escalier. Chaque marche est divisée par des cartouches incrustés de pierres dures de différentes couleurs où domine le violet produit par l’améthyste. On retrouve cette pierre dans les montants de l’autel, encadrée de marbre rouge. Les côtés du dernier gradin sont flanqués de vases en bronze incrustés de pierres que l’on retrouve au faîte de l’objet. L’ensemble de la composition repose sur six pieds en bronze ciselé de feuillages. On peut ainsi comparer notre Å“uvre à celle de la collection Lobkowitz au château de Raudnitz . Cette dernière, attestée de la main de Giovanni et Cosimo Castrucci, fut réalisée à Prague vers 1603. L’autel présente également une forme très architecturée, parcourue d’ébène avec au centre une scène de Sainte Marguerite entièrement réalisée en pierres dures. L’influence florentine se fait parfaitement ressentir sur ces ateliers pragois au regard de la proximité stylistique et décoratives qui existent entre ces deux villes et 3). On retrouve également un décor similaire d’arabesques entourant le panneau central dans un coffret à jeux en buis et marqueterie de pierres dures exécutés en Allemagne avant 1683 .
EX VOTO OU BÉNITIER Italie, Naples ?, XVIIe siècle MATÉRIAUX Argent, bronzes dorés et marbre H. 41 cm, L. 31 cm AN ITALIAN 17th CENTURY SILVER AND GILT BRONZE EX-VOTO OR STOUP 16.14 in. high, 12.20 in. wide Au centre de cet objet de dévotion apparaît une jeune femme, en argent, émergeant de nuées se détachant sur un fond de marbre. Cette scène est encadrée par un large cartouche mouvementé en bronze ciselé et doré à motifs de rinceaux et d’enroulements. Tout le pourtour est parcouru par des tiges et des fleurs en argent traitées au naturel. Une coquille fait office de réceptacle et destinée à recueillir l’eau bénite. Ce type d’objet, aux décors riches et foisonnants, mêlant différents matériaux, se retrouvent très fréquemment dans les productions napolitaines aux XVIIe et XVIIIe siècles comme le montrent les exemples de la collection Giancarlo Alisio et celui du Musée Duca di Martina de Naples .
PENDULE « ALLÉGORIE DE L’ASTRONOMIE » Par Antoine-Henri VOISIN ( ?-1781) Reçu Maître Horloger en 1755 Paris, époque Louis XVI MATÉRIAUX : Bronzes dorés et émail Cadran et mouvement signé HENRI VOISIN A PARIS H. 40 cm, L. 27,5 cm, P. 16 cm A LOUIS XVI ORMOLU PENDULE « ALLEGORIE DE L’ASTRONOMIE » By Antoine-Henri VOISIN ( ?-1781), Master in 1755 15.75 in. high, 10.83 in. wide, 6.30 in. deep Fortement inspirée par les modèles créés par le grand bronzier Robert Osmond (1711-1789), cette pendule en bronze ciselé et doré est caractéristique de l’art néoclassique du règne de Louis XVI. Un garçonnet, vêtu d’un simple linge noué autour des hanches, tient dans ses mains un compas et une tablette. Il prend appui sur une borne aux montants à cannelures enfermant le mouvement et le cadran sommé d’un noeud de ruban. Une sphère armilière ponctue le sommet. L’ensemble de la composition repose sur une base de section rectangulaire rythmée par une frise de grecques et terminée par quatre pieds boule. L’influence de Robert Osmond est ici très présente, au regard de ce putto, de sa position et de la caisse contenant le mouvement, très architecturé et qui atteste du soin des artistes à s’imprégner de l’univers de l’Antiquité.
PAIRE DE CANDÉLABRES « AUX JEUNES SATYRES » Paris, époque Louis XVI MATÉRIAUX : Bronzes dorés et marbre blanc H. 33 cm, L. 25 cm A PAIR OF LOUIS XVI ORMOLU AND WHITE MARBLE CANDELSTICKS 12,99 in. high, 9,84 in. wide Cette paire de candélabres à deux lumières est agrémentée de la figure de jeunes satyres arborant des pieds fourchus, la taille entourée de feuilles de vigne. Visages rieurs et mains posées sur leur ventre rebondi amènent vie et réalisme dans ces représentations artistiques. Du creux de leurs bras s’échappent deux cornes d’abondance terminées par un bouquet fleuri d’où émergent les binets. Ils reposent sur une base cylindrique en marbre blanc agrémentée de drapés en bronze ciselé et doré. Le thème abordé dans cette oeuvre est tout à fait représentatif du goût de la clientèle de la seconde moitié du XVIIIe siècle où l’on souhaite associer un peu de désinvolture à la rigueur antique. Notons que ce sujet du putto bedonnant, la tête baissée, n’est pas sans rappeler les travaux de l’ornemaniste et bronzier Jean-Louis Prieur.
PAIRE DE FLAMBEAUX Attribué à Etienne MARTINCOURT ( ? - après 1791) Reçu Maître Bronzier en 1762 France, époque Louis XVI, vers 1780-1785 MATÉRIAUX :Bronzes dorés H. 30,5 cm, Diam. 14 cm A PAIR OF LOUIS XVI ORMOLU CANDELABRAS Attributed to Etienne MARTINCOURT (?-after 1791), Master in 1762 12.01 in. high, 5.51 in. Diam. Une paire de flambeaux similaire, présentant seulement d’infimes variantes (au niveau du binet) fut vendue par Maître Marc-Arthur KOHN, le 15 septembre 2012 à l’Hôtel Le Bristol (lot 158) . Cette importante paire de flambeaux au fût en forme de trépied antique repose sur une base circulaire richement ornée de feuillages, de torches et de têtes d’aigles. Le binet est finement ciselé de côtes torses et de guirlandes dans un goût résolument marqué par le retour à l’antique tel qu’on le voit dans un dessin attribué à l’ornemaniste Richard de Lalonde, conservé au Musée des Arts Décoratifs de Paris ou peut-être plus encore dans un trépied dessiné par Jean-Charles Delafosse qui a sans doute influencé Martincourt. Trois têtes de chérubins ailés ornent le sommet du trépied, les joues gonflées comme s’ils soufflaient. Des guirlandes de fruits pendantes rythment le fût. Au centre du trépied prend place un carquois encadré de feuilles d’acanthe et de laurier en frise avec godrons et rangs de perles. Le socle est élégamment mouluré et comporte une frise de feuilles de palme. Les deux flambeaux sont composés d’éléments montés à vis. Les parties ont donc été fondues individuellement, ce qui dénote une grande qualité d’exécution. Ces importants flambeaux font partie d’une série dont certains portent l’inscription Étienne Martincourt gravée sous le pied dont une paire est conservée à la Wallace collection. Présentée en 1867 à l’exposition organisée au Palais de Trianon par l’Impératrice Eugénie, elle appartenait alors au Baron Double. Une autre paire se trouve au British Museum, une à la Frick Collection de New York et une au J. Paul Getty Museum (fig.7).Peu de choses sont actuellement publiées sur Etienne Martincourt, né à Paris à une date inconnue. Après avoir été reçu Maître Bronzier le 8 juillet 1762 puis à l’Académie de Saint-Luc le 26 novembre 1763, il put alors tant dessiner que réaliser des objets en bronze doré. Etienne Martincourt travailla pour le Garde-meuble royal, la Duchesse de Mazarin, pour Mesdames à Bellevue et pour le comte d’Artois à Bagatelle. Il fournit également ses confrères horlogers comme Jean-André Lepaute et Antide Janvier et produisit des bronzes d’ameublement pour des ébénistes comme Jean-Henri Riesener.
PORTRAIT EN BUSTE DE VOLTAIRE D’après un modèle de Jean Antoine HOUDON (1741-1828)Par Ferdinand BARBEDIENNE (1810-1892), Fondeur France, seconde moitié du XIXe siècle MATÉRIAU : Bronze Signé F. Barbedienne H. 47 cm, L. 22 cm, P. 25 cm A 2nd HALF OF 19th CENTURY PATINATED BRONZE DEPICTING THE PORTRAIT OF VOLTAIRE After a model by Jean Antoine HOUDON (1741-1828) By Ferdinand BARBEDIENNE (1810-1892) Stamped F. Barbedienne 18.50 in. high, 8.66 in. wide, 9.84 in. deep Ce portrait en bronze d’une très belle qualité de fonte et de patine représente l’un des plus célèbres philosophes français du Siècle des Lumières, François-Marie Arouet dit Voltaire (1694 - 1778). Le fondeur Ferdinand Barbedienne exécuta ce modèle au XIXe siècle en s’inspirant du portrait réalisé par l’un des meilleurs sculpteurs du XVIIIe siècle, Jean Antoine Houdon. L’artiste et le sujet se rencontrèrent à Paris en 1778 au moment où Voltaire, déjà très âgé, revient à Paris pour assister à la représentation d’Irène, qui connut un triomphe à la Comédie Française. Houdon a pris le parti de représenter le philosophe de manière très réaliste, les joues creusées, les cheveux retenus par un large bandeau en lui donnant un air sarcastique avec ce sourire ironique et ces yeux malicieux.
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