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A pair of French gilt bronze mounted marmo cipollino urn cassolettes, second half 19th century, the domed covers with foliate and berry cast finials, the ovoid bodies each with twin Bacchic mask handles united by grapevine swags, on waisted and foliate cast socles and square bases with concave cast angles; the covers inverting as candle holders, 30.5cm high
Chasse et art animalier Antoine Louis BARYE (1795-1875) Panthère de Tunis Bronze à patine brun clair signé Barye. Hauteur : 9,5 cm - Largeur : 19 cm Bibliographie : - Michel Poletti et Alain Richarme, Barye. Catalogue raisonné des sculptures, Gallimard, 2000, p. 222, A85, ill. 207 - O. Gabet, Un marchand entre deux Empires-Elie Fabius et le monde de l’art, Paris, 2011, p. 59 (ill.)
Chasse et art animalier Antoine Louis BARYE (1795-1875) Lion dévorant une biche Bronze à patine médaille signé et daté Barye 1837, estampille Barye numérotée 3. Hauteur : 11,5 cm - Largeur : 30,2 cm Bibliographie : Michel Poletti et Alain Richarme, Barye. Catalogue raisonné des sculptures, Gallimard, 2000,p. 163, A42.
XE Chasse et art animalier Louis de MONARD (1873-1939) Lad retenant un étalon cabré Rare et important groupe en bronze à patine médaille, signé sur la terrasse. Modèle créé en 1902. Fonte au sable, d’époque, sans marque ni cachet de fondeur. Hauteur : 58 cm - Largeur : 51 cm Profondeur : 30 cm Modèle similaire vendu le 8 novembre 1995, étude Libert-Castor : « Collection de bronzes de chevaux », lot 114
JCP Ordres et décorations Souvenirs d’un baron du Gaullisme Indonésie Ordre de l’Étoile de la République d’Indonésie (fondé en 1959) Ensemble de deuxième classe comprenant : un bijou, une plaque et une miniature en métal doré, argenté et laqué, une écharpe. Présentés dans un spectaculaire coffret en bois exotique sculpté, le couvercle chargé d’un Garuda héraldique de la République d’Indonésie en bronze doré. Bijou : Hauteur : 52 mm - Largeur : 49 mm Plaque : Diamètre : 72 mm TTB à SUP
LF Objets d’art Mobilier Buste en albâtre représentant l’Apollon du Belvédère. Belle copie d’une bonne fidélité du marbre antique dont le sculpteur n’a retenu que la partie supérieure. Italie, seconde moitié du XVIe siècle Hauteur : 45,5 cm - Largeur : 38,5 cm (Réparations visibles) Provenance : ancienne collection Mosley Cet albâtre de belle qualité d’exécution témoigne de l’engouement que le chef d’oeuvre romain a exercé auprès des artistes italiens dès la Renaissance. Mentionné au Belvédère en 1511, il avait déjà fait l’objet d’une copie en bronze assez libre de l’Antico en 1498. Les historiens s’accordent à penser que l’Apollon du Belvédère serait lui-même inspiré d’un original grec en bronze qui représenterait ainsi la « beauté idéale » pour la Rome antique (voir Francis Haskell, Nicholas Penny et François Lissarague, Pour l’amour de l’antique, La statuaire gréco-romaine et le goût européen 1500-1900, Hachette, Paris, 1988, p. 175-177)
PFD Objets d’art Mobilier Important cartel à musique en marqueterie d’écaille brune et de laiton gravé, à motifs de rinceaux, feuillagés et fleurs ; le cadran en bronze doré à cartouches émaillés bleu et noir sur fond blanc contenant des chiffres romains et arabes surmonté d’un tertre rocaille surplombé d’une figure de Chinois ; la partie inférieure ornée aux angles de figures de putti avec au centre un masque sinisant dans un entourage de guirlandes, feuillages et palmettes stylisées ; le cul-de-lampe à têtes de bélier et grenade éclatée ; un ressort signé Buzot 1738. Le cadran et le mouvement signés GOHIER A PARIS. Probablement par François Gohier Époque Louis XV, vers 1735-1740 Hauteur : 148,5 cm (Petits accidents et manques, un petit cartouche manquant) Référence bibliographique : J.-D. Augarde, Les Ouvriers du temps, éd. Antiquorum, Genève, 1996. Les Goyer sont une dynastie d’artisans bien connus au XVIIIe siècle. Dans un ordre chronologique, on répertorie François Goyer, reçu maître ébéniste en 1740 puis son fils Jean, reçu maître en 1760. Ce dernier a été formé à la fois dans l’atelier de son père pour apprendre l’ébénisterie mais aussi dans celui de Jean-Joseph Saint-Germain où il apprit le métier de fondeur-ciseleur. Quelques années plus tard il opta comme on le lui proposait pour l’activité de ciseleur qu’il cumula après 1776 avec celle de doreur. Ce cartel très original par la richesse de son décor de bronze est également l’illustration de la continuité de l’usage de la marqueterie Boulle dans les années 1730 et 1740. On y retrouve notamment la tête de Chinoise au chapeau également utilisée par Charles Cressent dans les mêmes années (voir A. Pradère, Charles Cressent, Sculpteur, ébéniste du roi, éd. Faton, Dijon, 2003, p. 173) ainsi que les têtes de béliers que Jean Goyer reprit sur ses célèbres petits régulateurs (S. Eriksen, Early Neo-classicism in France, Londres, 1974, no 107). L’étude de ce cartel nous fait entrer de plain-pied dans la dimension conflictuelle des relations entre les différentes corporations au XVIIIe siècle. Le cas des horlogers est assez intéressant à ce titre. Le maître horloger n’intervenait qu’au moment de l’assemblage des multiples pièces d’un mouvement, réalisées par un grand nombre d’ouvriers libres n’appartenant à aucune corporation. Jean-Dominique Augarde mentionne de plus la vente de mouvement « en blanc », signifiant que l’horloger qui se chargeait de sa commercialisation avait tout le loisir d’inscrire son propre nom. Dans ce contexte et connaissant l’agressivité professionnelle des Goyer, il semble parfaitement envisageable de considérer que l’un des Goyer, probablement François, ait pu réaliser ce cartel entre 1735 et 1740, marqueterie et bronzes (avant même sa maîtrise), fait fabriquer le mouvement, apposer ses signatures et le vendre directement. Cette hypothèse est renforcée par deux événements. Un document conservé aux Archives nationales à Paris rapporte un conflit entre François Goyer et Claude-Joseph Desgodets, lequel obtint gain de cause après avoir accusé Goyer d’avoir acheté une pendule, fait surmouler les bronzes et les avoir exploités. On sait également que Jean Goyer disposait d’un atelier d’horlogerie (vente de l’atelier à son fils). D’autre part, on relève l’existence de deux pendules portant au cadran le nom de Goyer et datant du milieu du XVIIIe siècle, l’une d’entre elles, un cartel, entièrement réalisée en bronze (vente Sotheby’s Monaco, les 14 et 15 juin 1981, lot 201 et vente Christie’s New York, le 13 juin 1985, lot 22). Ces deux objets viennent donc à l’appui de la théorie selon laquelle les Goyer prenaient de grandes libertés avec la stricte observance des règles en vigueur. François Goyer profitait ainsi très vraisemblablement d’un certain flottement dans l’organisation et le contrôle des corporations qui ne se structurèrent que progressivement dans le courant du XVIIIe siècle. En effet, l’enregistrement des nouveaux statuts des professions de menuisier et d’ébéniste, instaurant l’obligation d’estampiller et le contrôle de la jurande, n’intervint qu’en 1751. Par ailleurs rappelons qu’un ouvrier libre avait toujours le recours de vendre directement au client final ou à un marchand mercier, les contrôles n’existant qu’au stade de la revente. Il est donc très probable que Goyer réalisât complètement ce cartel au mépris des usages de la profession en s’inspirant directement des plus belles réalisations de son époque, notamment les oeuvres très abouties de Noël Gérard ou de Jean-Pierre Latz.
PFD Objets d’art Mobilier Pendule en bronze doré ciselé et marbre blanc, sommée d’un amour retenant par une guirlande fleurie les deux épagneuls sur lesquels repose le cadran ; base rectangulaire ornée d’une draperie et de paniers fleuris terminée par quatre pieds en faisceau. Le cadran signé « Lépine à Paris » Époque Louis XVI Hauteur : 43 cm - Largeur : 42 cm
GK Objets d’art Mobilier Pendule en marbre et bronze ciselé et doré figurant deux angelots chevauchant des boucs assis, portant un palanquin à draperies flanqué d’une guirlande de fleurs, surmonté du cadran émaillé. L’amortissement figure une bacchante drapée. Base à ressaut et côtés arrondis à frise, pieds toupie. Mouvement signé Berger, 8 rue de la Chaussée d’Antin à Paris. Époque Louis XVI Hauteur : 52 cm - Largeur : 40 cm Profondeur : 11 cm
GK Objets d’art Mobilier Pendule en bronze ciselé et doré figurant la déesse Minerve tournée vers le buste de Louis XVI. Un bouclier, une corne d’abondance et des branchages d’olivier agrémentent le cadran. Base en marbre. Pieds toupie Cadran signé Robin à Paris. Époque Louis XVI Hauteur : 45 cm - Largeur : 32,5 cm Profondeur : 15,5 cm. Robert Robin (1742-1799) fut l’horloger du roi Louis XVI. Il inventa en 1793 un échappement mixte ancre-détente, qui combinait les avantages de l’échappement à détente (hauts rendements) à ceux de l’échappement à ancre (meilleure sécurité de fonctionnement). Il fut l’un des premiers à utiliser en France l’échappement à ancre pour les monstres, et conçut de nombreux régulateurs de très grande qualité. Il fabriqua en 1785 l’horloge de Marie-Antoinette, horloge qui fut confisquée à la Révolution française et est actuellement exposée dans la Grande galerie de l’évolution du Muséum national d’histoire naturelle de Paris.
PFD Objets d’art Mobilier Pendule en bronze ciselé, doré et marbre blanc représentant Vénus jouant de la lyre flanquée d’une figure de l’Amour tenant un carquois à ses pieds, la base à décor de rinceaux de feuillages et guirlande de fleurs, le cadran signé Barancourt/A Paris. Époque Louis XVI Hauteur : 42 cm - Largeur : 26 cm Profondeur : 12 cm On y joint une paire de flambeaux en bronze doré et marbre blanc du début du XIXe siècle (montés pour l’électricité). Hauteur : 24 cm
PFD Objets d’art Mobilier Pendule au char de l’Amour, en bronze patiné et doré, le cadran à chiffres romains et arabes flanqué de deux pilastres en cariatide, dans des entourages de trophées d’amour surmontés d’un putto menant un char tiré par des colombes, le cadran signé Froidevaux/A Berne. Époque Restauration Hauteur : 46 cm - Largeur : 26 cm Profondeur : 10 cm (Petits manques)
PFD Objets d’art Mobilier Paire de candélabres en bronze doré à dix lumières supportées par deux figures de femmes drapées à l’Antique d’après James Pradier, reposant sur une base quadrangulaire à bas-relief à sujet antique. Portant la signature Pradier et le cachet du fondeur « Susse Frères ». Vers 1850 Hauteur : 79 cm Sur un socle en bois d’époque postérieure
PFD Objets d’art Mobilier Important surtout de table en bronze doré mat et brillant, ciselé et ajouré de feuilles de lotus, en cinq parties composées de plateaux à fonds de miroir et reposant sur douze pieds griffe à palmettes. Époque Consulat Longueur : 206 cm - Largeur : 55,5 cm Provenance : ancienne collection des marquis de Forbin au château de La Verdierre (Var). Le surtout ou chemin de table, en bronze doré ou en argent, était destiné à embellir et recevoir les différents candélabres, corbeilles, coupes de cristal ou de porcelaine. Ces éléments très luxueux se reflétaient dans les fonds de glaces éclairés à la lumière des bougies et créaient ainsi l’effet désiré.
PFD Objets d’art Mobilier Paire de candélabres en bronze patiné et doré, à trois lumières soutenues par une figure ailée reposant sur un fût en balustre à décor de feuillages et pampres de vigne. Époque Restauration, vers 1830 Hauteur : 57 cm (Manquent les ailes d’une figure, petites restaurations)
PFD Objets d’art Mobilier Pendule en cristal taillé et bronze verni, le cadran flanqué d’une figure féminine drapée à l’antique et d’un trophée pastoral symbolisant Cérès et l’Été, surmonté d’une coupe de fleurs et reposant sur une base à frise de motifs feuillagés. Époque Charles X Hauteur : 43 cm - Largeur : 26,5 cm Profondeur : 15 cm (Manques)
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