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An 18th Century patinated bronze medallion decorated with portrait bust of a gentleman in armour inscribed "Iohann Campbell", inscribed below bust "I A Dassier (F) (one of Jacques-Antoine Dassier's London Series of Medals depicting celebrated contemporary men)", and verso inscribed "Dux de Argyle et de Greenwich MDCCXLIII" (1743)
A box of assorted pictures and prints to include a hand-coloured engraved map of Northumberland, a pair of coloured lithographic bird prints inscribed "Eared Greeb" and "Carcaney" AFTER STEWART "A study of three eagles", coloured engraved print by J Brown, a humorous dog print, a limited edition coloured print inscribed "Friends", No'd. 224/850, 19TH CENTURY ENGLISH SCHOOL W LANGFORD "Spaniel's head", pencil, signed and dated 1852, Beryl King Two still life study of flowers, a set of three portrait head studies, crayons, etc
A collection of silver comprising two napkin rings, Sheffield 1940 and Birmingham 1925, a circular trinket box with engine turned decoration, Birmingham 1918, two pill boxes, a Continental rectangular matchbox slide, and a circular base metal trinket box, the cover decorated with a portrait of a lady in an Art Nouveau style.
A COLLECTION OF FOUR ORIGINAL HAND PAINTED PORTRAITS RELATING TO THE BIRD`S CUSTARD FAMILY, THE BIRD FAMILY BEING THE ORIGINATORS OF BIRD`S CUSTARD POWDER. INCLUDED IN THIS LOT ARE A PORTRAIT OF GEOFFREY BIRD IN MILITARY UNIFORM SIGNED WEIR TO BOTTOM RIGHT 12 X 17 CMS, HIS WIFE ELSIE BIRD SIGNED WEIR, 12 X 17 CMS, A MINIATURE PORTRAIT OF `GIRLIE` ELEANOR BIRD` SITTING ON A GILT WINDOW SEAT SIGNED `WHITLOCK - BIRMINGHAM` TO BOTTOM RIGHT SET IN A 9 CT GOLD HALLMARK FRAME, MM E. M & S, 14 X 10 CMS AND A 1920`S OVAL MINIATURE PORTRAIT OF `GIRLIE` BIRD IN AN ENAMEL FRAME 7 X 5 CMS. ( 4 )
SICILE (faïence) Deux albarelli légèrement cintré à décor polychrome l`un d`un portrait d`homme en buste de profil coiffé d`une tiare, l`autre d`une tête de mort dans un médaillon à fond jaune sur fond "a trofei" bleu vert et manganèse formé de masque et boucliers, galons d`entrelacs et motifs géométriques sur les bords. XVIIe siècle. (Quelques éclats). HAUT. 24 cm
ADÈLE d’AFFRY, DUCHESSE DE CASTIGLIONE-COLONNO DITE MARCELLO (1836-1879) Buste d’arabe Épreuve en bronze à patine brune inscrite sur la terrasse et numérotée A820. HAUT. 68,5 cm Femme sculpteur et peintre, Adèle Affry de son vrai nom, choisit le pseudonyme d’un compositeur Italien du XVIIIe siècle "Marcello" afin d’éviter que son art ne soit déprécié en raison de son nom ou de son sexe. Vivant entre la Suisse, Rome et Paris, elle fréquente alors un large cercle d’artiste dont Jean Baptiste Carpeaux, Auguste Clésinger, Mérimée ou bien encore Eugène Delacroix qui peindra son portrait en 1870. C’est au Salon de 1863, qu’elle exposera pour la première fois ses créations dont un célèbre buste de la Vénitienne Bianca Capello. La plupart de ses Å“uvres se trouvent désormais au Musée d’art et d’histoire en Suisse, ainsi qu’à la fondation Marcello à Fribourg crée en 1963 afin de sauvegarder et de promouvoir son art.
Jeanne Louise Genet, Madame CAMPAN. L.A.S. « G.C. », [vers 1798-1799, au comte Trophime-Gérard de LALLY-TOLENDAL] ; 3 pages et demie in-4.Elle lui adresse une lettre de sa chère Eliza, une autre de l’élève Virginie CHURCHILL ; son mari propose de faire le portrait d’Eliza, et a fait « un croquis qui a les avantages suivans, l’attitude qui est parfaite ainsi que l’expression des yeux. Le visage est un peu trop long, et en tout Eliza est infiniment plus belle »â€¦ Ses études vont bien, et Mme Campan cherche à corriger ses petits défauts : « j’ai soin de l’en punir exactement mais avec une douce séverité, elle m’aime et me craint beaucoup. Si elle étoit gâtée et négligée, elle seroit disposée à une coquetterie extrême, à beaucoup de vanité, et quelquefois à faire de très vilains mensonges, ce dernier cas bien plus grave que les autres, vient de la priver pour cette année de faire sa premiere communion, j’ai saisi ce moyen de la punir essentiellement parce que je la trouvois trop jeune pour cet acte important, et que je n’étois pas sur ce point de l’avis de la Douce Religieuse que j’ai particulièrement chargée des soins religieux dans ma maison, la pénitence me convenoit donc et a produit un très grand effet sur Eliza. […] on a versé tant de larmes touchantes, que j’ai donné ma parole de ne vous en point faire part ; et vous jugez que pour faire respecter les engagemens sacrés, il faut qu’une institution soit bien fidele aux siens »â€¦
Jeanne Louise Genet, Madame CAMPAN. L.A., 28 décembre 1800, [au comte Trophime-Gérard de LALLY-TOLENDAL] ; 8 pages petit in-4.Ayant été dans une grande incertitude, elle est ravie de savoir qu’elle gardera Eliza encore plusieurs mois : « cette enfant qui a toujours dénotté de l’intelligence, et une parfaite organisation, qui ne s’est trouvée un peu retardée que par une sorte d’indolence, de non émulation qui tient à la paresse n’a besoin souvent que d’un moment décisif pour employer tout ce qu’elle sait ; faire usage de ce qu’elle doit à la nature et prendre en quelque sorte un élan qui en peu de temps lui fait franchir un grand espace »â€¦ Elle fait le portrait de l’enfant, petite, gracieuse, aux mains et bras charmants, soigneuse de son apparence… « Elle danse à merveille non pas cependant comme à Paris où depuis quelques années on danse beaucoup trop bien puisqu’un nombre infini de jeunes personnes rivalisent avec nos meilleurs figurantes de l’Opéra. En soignant beaucoup la danse chez moi j’ai mis un soin persévérant à en éloigner ce mauvais goût »â€¦ On applaudit ses élèves dans les assemblées les plus brillantes, pour leur talent et leur maintien : « Mlle de BEAUHARNAIS qui ne se borne pas à ce seul avantage possédant tous les genres de talens unis au meilleur ton, à la plus constante modestie est une de celles qui me fait le plus d’honneur »â€¦ Eliza parle français aussi bien que l’anglais, mais « silentieuse lorsqu’il faut converser, et jabotteuse tout bas avec ses compagnes elle employe peu ce qu’elle sait »â€¦ Mme Campan passe en revue son jeu de piano, son chant, son italien, ses connaissances de l’histoire ancienne et moderne, de la mythologie e de la géographie. Elle lui reproche une certaine indolence ; il est « essentiel » qu’Eliza passe directement de ses mains, à celles de son père…
François- Félix de Berton des Balbes, duc de CRILLON (1748-1820) lieutenant général, député de la Noblesse aux États Généraux, pair de France. 3 L.A. et 1 L.A.S., Paris et Crillon 1807-1818, au comte puis marquis de LALLY-TOLENDAL ; 6 pages in-4 ou in-8, 3 adresses.Paris 21 février 1807. Félicitations sur le mariage de sa fille Élisabeth (avec Henri d’Aux de Lescout) : « vous alles etre aussi heureux père que vous etes fils respectable ». Mais le projet des futurs mariés de vivre sur leurs terres et à Bordeaux fait craindre que Paris ne soit plus pour Lally « qu’un interest bien secondaire. Vous n’oublieres pas cependant qu’il renferme plusieurs personnes qui vous aiment tendrement, et j’espere bien que vous me placeres à la tete de cette liste d’élus »â€¦ Crillon 31 juillet [1817]. Ils ont perdu un excellent ami avec Jean-Baptiste SUARD : « Vous aures éprouvé de la peine par la mort de Made de STAËL et de la douleur par celle de Mr Suard »... Il l’entretient aussi des titres des CRILLON, et de sa décision de ne pas réclamer l’ancienneté de la nomination de son père : « Je ne tournerais pas la main pour etre le premier duc plutôt que le dernier, tout cela me paraît égal. Au surplus quoique mon père eut les honneurs de duc, ce n’était que comme grand d’Espagne, et je prefere beaucoup etre duc français »â€¦ Il joint la copie des lettres de duc données par Louis XVIII (12 juillet 1817). Dimanche 25 [janvier 1818]. Il lui envoie la copie de lettres patentes confirmant son duché-pairie, « ouvrage où votre cÅ“ur et votre esprit ne sont pas étrangers »â€¦ Dimanche 3 [1818] : « si votre proposition pour le duc de RICHELIEU est combattue, je serai un de vos soldats. Ce ne sera pas votre parole éloquente, mais un homme de bien de plus qui n’a jamais loué que ce qui était digne de l’etre »â€¦ON JOINT une proclamation imprimée (30 mai 1789) et son faire-part de décès (27 janvier 1820) ; 2 L.A.S de son fils Félix : 8 février [1820], sur la mort et l’éloge de son père, et [1830], au marquis d’Aux-Lally, après le legs par le marquis de Lally d’un portrait d’Henri IV ; plus une L.A.S. de CUVILLIER relative aux lettres de pairie du duc de Crillon (1825) ; et 2 imprimés relatives au père, 1789-1820.
Élie, duc DECAZES (1780-1860) ministre et homme politique. 27 L.A.S., 1817-1822, au marquis de LALLY-TOLENDAL (avec 3 minutes de ce dernier) ; 53 pages in-4 ou in-8, quelques adresses avec cachets aux armes (qqs lignes déécoupées à la fin d’une lettre).BELLE CORRESPONDANCE AMICALE ET POLITIQUE « AU MEILLEUR DES HOMMES, DES AMIS, DES FRANÇAIS ET DES ROYALISTES ».20 février 1817, au sujet d’un sous-préfet auquel on a « reproché de n’avoir pas déployé assez de fermeté »â€¦ 31 [décembre 1818]. Réponse à la proposition de Lally (minute jointe) que la Chambre des Pairs supplie le Roi d’accorder une récompense héréditaire, « honorifique et utile », au duc de RICHELIEU, « premier auteur, après le Roi, de la libération du sol français »â€¦ Decazes trouve que « le mot utile est facheux », et recommande de remplacer cette proposition par celle déposée à la Chambre des Députés par Benjamin Delessert… – Lally réplique (minute jointe) : « pourquoi donc le mot utile est-il facheux, quand c’est un hommage de plus au désintéressement, au dévouement, quand précisément on ne se souvient de la fortune de Mr de Richelieu que parce qu’il l’oublie toujours lui-même ? […] Racheter Richelieu faire reconstruire Richelieu y joindre des domaines [...] voilà qui serait royal, national aussi beau et aussi grand que les services rendus »â€¦ 17 octobre 1819, Decazes pense que M. de BONNECHOSE « n’est pas capable d’être un bon Préfet », mais il promet de plaider la cause de Mme d’ARBLAY auprès du Roi… 1er novembre, pour remettre l’honneur que le duc d’ORLEANS veut bien lui faire : dimanche, il a le cardinal de Périgord et 32 évêques… 21 novembre : « Je vous laisse le plaisir d’annoncer au D. de BASSANO [Hugues MARET] que le Roi autorise sa rentrée »â€¦ 7 février 1820. Bonnes nouvelles de Madrid, « & du 27 de Cadix qui n’étoit pas au pouvoir des rebelles. Ceux-ci désertoient & alloient être attaqués par le gal Freire »â€¦ 14 février, ASSASSINAT DU DUC DE BERRY : « vous savez quel crime horrible vient de nous frapper. Les amis du Roi ont besoin de se voir et déplorer ensemble un tel malheur. Tâchez de venir avant midi chez moi où les Mres sont réunis »â€¦ [Copie jointe par Lally-Tolendal d’une lettre anonyme du 18 février, transmise à Decazes, sur la défaveur de ce dernier près de Louis XVIII et de la « malheureuse Princesse ».] 3 [mars], disant « ma tendre & inviolable amité & ma reconnaissance pour tout l’att[achemen]t dont vous m’avez donné tant de preuves pendant ma carrière politique »â€¦ Le Gibaud-Figeac 30 mars, expression de fidèle amitié du ministre déchu : « Vous aurez attiré sur vous bien des haines, mais votre belle âme trouvera en elle-même un dédomagement et une consolation. J’ai été heureux de celles que le Roi vous a données d’avance & ce m’a été la plus douce récompense de ma fidélité & de mon dév[ouemen]t à sa personne »â€¦ Londres 14 septembre. Remarques sur la situation politique critique avant les élections : « Jamais le Roi & le pays n’eurent tant besoin d’hommes qui sachent allier la sagesse & la force, la fermeté des principes & les ménagemens que commandent les circonstances et les hommes. Vous êtes depuis la restauration celui qui avoit le moins compris & le plus franchement suivi cette ligne qui est la seule pour le salut »â€¦ La politique française suscite l’incompréhension chez les Anglais de tout parti ; Decazes s’indigne devant « le nouveau tour qu’a pris le procès de la Reine » Caroline… 14 novembre. Longue lettre politique de conseils de modération jusqu’au baptême [du duc de Bordeaux] ; il parle également du duc d’ORLEANS : « Combien j’aurois voulu qu’on eut saisi celle de cette naissance innesperée pour rappeller que cet auguste rejetton [le duc de Bordeaux] n’est point isolé et que ce n’est pas sur lui seul que reposent les esperances de la France et la durée de la dinastie »â€¦ 24 novembre, sur la politique anglaise, un entretien avec CANNING, la vie mondaine à Londres… 9 janvier 1821, relation d’une fête à Londres en l’honneur de Sir David DUNDAS, pour lui remettre son vase [voir n° 136] et le portrait « donné par le Roi »â€¦ 12 janvier. Longues réflexions sur la question de compétence, à propos de l’arrêt rendu par la Cour des Pairs contre les conjugés de 1820 : il est de l’intérêt de la Chambre des Pairs « de ne pas rejetter loin d’elle l’importance et le pouvoir que lui donneront à l’avenir la connoissance des grands crimes d’état […] et de ne pas déjuger le Mal Ney & Louvel »â€¦ Sans « se suicider », elle ne peut permettre à une autre autorité à se prononcer sur sa compétence ; et d’évoquer l’affaire de VAUVERSIN, « la honte des espions », les conspirations, et le texte « formel » de la Charte… La Grave 1er octobre, sur un séjour de VILLEMAIN chez lui, et leur visite à Montaigne, où la librairie est dans un triste état… 30 octobre, nouvelles familiales. 6 janvier 1822. Craintes sur les conséquences d’une guerre, et félicitations à Lally pour son discours sur le budget, et surtout ses notes : « Il y en a une qu’on citera dans 10 ans, comme la condamnation du sistême actuel & l’indication prophétique de la nécessité de revenir à celui auquel on sera certainement revenu alors »â€¦ 9 octobre, il se réjouit à l’idée d’une visite de Lally à son château dans la Gironde ; au début de la semaine, avec son beau-père, « nous aurions fait ensemble un pèlerinage à Montaigne & au tombeau du grand Talbot, que le vandalisme a renversé ou laissé détruire et que je me propose de faire réparer »â€¦ 7 décembre, sur la prochaine guerre d’Espagne : « Où la mène-t-on cette chère France avec cette guerre insensée ? & quelle ne sera pas notre position, nous autres serviteurs loyaux du Roi, qui comprendrons que tout en déplorant cette guerre, nous devrons éviter que des jacobins ne s’en fassent un moyen de destruction et que notre devoir sera, d’abord d’éviter qu’une fois déclarée elle ne soit trop impopulaire, ensuite de fournir au gouvernement tous les moyens de la faire avec avantage de quelque blame que nous accablions les Ministres pour une aussi inconcevable conduite ! »â€¦ Etc.ON JOINT la minute autographe d’une note de LALLY-TOLENDAL (juin 1821), vibrante défense de son vieil ami MADIER DE MONTJAU, et de son fils Paulin [auteur d’une pétition à la Chambre des Députés dénonçant la violence de la réaction royaliste dans le Midi, mais refusant de nommer les coupables], transmise par Decazes au Roi.
David DUNDAS (1749-1826) chirurgien, sergeant-surgeon de George III. 2 L.A.S. au marquis de LALLY-TOLENDAL (en anglais), et 12 lettres ou pièces le concernant, 1819-1821 ; 6 pages in-4 ou in-fol., 24 pages in-4 ou in-fol. et un cahier de 11 pages in-fol.A PROPOS D’UN VASE DE VERMEIL D’ODIOT OFFERT EN RECONNAISSANCE PAR D’ANCIENS EMIGRES FRANÇAIS A L’EMINENT CHIRURGIEN BRITANNIQUE. [Cette belle Å“uvre d’orfèvrerie fut vendue à New-York, chez Christie’s, le 19 octobre 2004, pour 109.940 $.]Richmond 9 septembre 1819. Le portrait gravé de son vieil et estimable ami fait espérer à Dundas que Lally vivra assez longtemps pour voir se réaliser son espoir d’un gouvernement monarchique et représentatif, avec une bonne part de liberté raisonnable et durable… Richmond 14 janvier 1821. Dundas remercie tous ses amis bienveillants : son seul regret est que le peu d’attention qu’il ait pu leur prêter fût si peu en rapport avec leurs mérites. Il s’est souvent rappelé le courage et la résignation, mêlés à la gaieté dont ils ont fait preuve… « Ma postérité, quand ils liront les noms distingués gravés sur cette monument durable de leur amitié, seront orgueilleux que leur père a possédé l’estime de tant de personnes illustres »â€¦ – Dans un post-scriptum écrit sur un feuillet séparé, il partage l’opinion de Lally sur la famille d’ORLEANS : aimable, excellente, princière, vraiment adorable et vertueuse…21 août [1820]. Le chevalier de THUISY fait le compte des souscriptions recueillies… [Novembre 1820]. Manuscrits autographes de LALLY-TOLENDAL : « Souscription pour le vase destiné à Sir David Dundas baronet » : liste des souscripteurs (princesses de Poix, d’Hénin, de Chalais, marquises de Thuisy, de Sommery, de Montagu, duc de Grammont, marquis de Lally, de La Tour du Pin, de Chabannes, de Suffren) avec le montant, et comptes ; « Sujet » : Sir David Dundas n’a cessé de répandre aux émigrés français « les soins de l’hospitalité la plus généreuse et la plus délicate, leur apportant jour et nuit non seulement tous les secours de sa profession et de ses lumières sans aucune rétribution, mais tous les remèdes », etc. ; « Description du vase » : description détaillée de ce chef-d’œuvre d’ODIOT, orné d’emblèmes de l’hospitalité, de la médecine et de la Grande-Bretagne, d’inscriptions, et des noms des donateurs… ; plus la copie d’un article du 5 décembre 1820 sur ce vase visible chez Odiot. [19 décembre 1820]. Brouillon de la lettre de Lally présentant à Dundas ce projet collectif consacré « à votre vertu personnelle & aux vertus publiques de votre pays »â€¦ Plus des copies et minutes de lettres (1820-1821) : Lally à Decazes, ambassadeur à Londres, exposant le projet (6 septembre) ; réponse de Decazes (24 novembre) ; lettre de Decazes relatant la fête de la remise du vase (9 janvier 1821) ; et un cahier, Actes de la reconnaissance française qui vient de se manifester envers une hospitalité généreuse…, belle copie des textes de Lally-Tolendal sur le vase, et des lettres.
A silver pocket watch, The Express English Lever , by J.G Graves, with key, together with a small quantity of jewellery including a large enamel mourning clasp set with plaited hair behind glass, a modernist silver and tiger`s eye agate set brooch of curved triangular form, a portrait miniature of the Madonna set in an .800 standard silver frame and a quantity of cufflinks. (lot)
Adge Baker, Irish/British, fl.1920-1980- Portrait of a woman, traditionally held to be a self-portrait; oil on panel, signed and dated 1937, 46.3x37.8cm., (unframed) Note: Adge Barker was an Anglo-Irish painter who had a well publicised relationship with the New York artist and gallerist Betty Parsons, 1900-1982. She is recorded as having exhibited at the Salon Nationale des Beaux-Arts in 1921, Salon d`Automne in 1926 and at the Salon des Independants in 1927 & 1929.

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