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Los 26

Attribué à Henry MONNIER (1799-1877) Portrait d’un homme Plume et encre noire. 7 x 6,8 cm Porte en bas à gauche le cachet de la collection Nicos Dhikeos (Lugt n° 3529).

Los 37

Alexandre Jean Baptiste HESSE (Paris 1806-1879) Portrait présumé de Camille Conneau, médecin de Napoléon III Lavis brun sur traits à la pierre noire. 19 x 14,5 cm, ovale Signé en bas à droite Hesse.

Los 58

école FRANçAISE du XIXe siècle Portrait de femme debout Crayon noir. 30,8 x 21 cm Titré en haut Mme aline / 11, rue ambroise Paré. école FRANçAISE du XIXe siècle Tête de jeune femme de profil d’après un bas - relief antique Crayon noir. 24 x 20 cm Porte une signature et une date illisibles en bas à droite R… A… / 1813.

Los 66

école FRANçAISE vers 1870, entourage de Franz Xaver WINTERHALTER Portrait présumé de l’impératrice Eugénie Pastel. 72 x 58,5 cm (Déchirure).

Los 67

William DUNK (actif au XIXe siècle) Portrait présumé de Guillaume Gaspart Gouache. 16,5 x 12 cm Signée en bas à droite William / Dunk.

Los 71

école ITALIENNE du XIXe siècle Portrait d’une jeune femme portant un turban Pierre noire, crayons de couleur, aquarelle et gouache. 23,5 x 19 cm, ovale Porte en bas à gauche le cachet de la collection Nicos Dhikeos (Lugt n° 3529). Porte au verso une attribution à Francesco Bartolozzi.

Los 86

Marie de CHEVARRIER (Paris, avant 1834 - Biarritz, 1899) Portrait en buste d’une fillette blonde aux yeux bleus coiffée d’anglaises Miniature sur ivoire signée à droite en rouge Marie de Chevarrier. Ovale, 4,8 x 4,6 cm Fente verticale à gauche du portrait. Montée en broche en or et métal doré, entourée de 48 demi-perles, fond en nacre (manque l’épingle), 5,4 x 4,5 cm. On y joint un portrait de Femme brune en robe bleue à guimpe blanche tuyautée, début du XIXe siècle, miniature sur ivoire, 5,8 x 4,9 cm, cerclée de laiton.

Los 153

Henry MONNIER (1805-1877) Portrait de Monsieur Prud’homme, 1858 Dessin à la plume. Signé et daté. Taches. 16,3 x 13,7 cm

Los 186

Charles LéANDRE (1862-1934) Le Joueur d’échecs (portrait présumé d’Arsène Alexandre) Dessin au lavis d’encre de chine sur vélin. Dédicacé “ à Arsène Alexandre / bien affectueusement / C. Léandre / mars 1900 “ 20,2 x 31,3 cm

Los 201

Lucien-Victor GUIRAND de SCEVOLA (1871-1950) Portrait de femme, vers 1930 Pastel. Signé en haut à droite. 46 x 38 cm

Los 245

Günther Friedrich REIBISCH [allemand] (1816-1899) Portrait d’homme, 1851 Dessin à l’aquarelle et encre. Signé et daté en bas à droite. 19 x 15 cm

Los 95

A quantity of uncirculated Iraqi banknotes including some with the portrait of Saddam Hussein

Los 246

A superb silver and enamel necklace comprising a central shaped portrait image of a winged maiden with auburn hair and further enamelled in colours of lilac,turquoise,yellow and red the image flanked either side by large,sinuous flower heads

Los 5

napoléon ierPendentif en or composé de deux plaques maintenuespar un cercle en or fermé par une bélière etreprésentant le portrait de l’empereur lauré à gaucheen repoussé par le graveur George. Au revers,légende :« TOUT POUR L’EMPIRE ».Ø 27.63mm (13.88g)Très beau.collection comtesse pelletier de chambure (1902-1975)

Los 24

BONA PARTE (Famille). Ensemble d’environ 80 pièces concernant des membres de la famille Bonaparte.– 12 Portraits photographiques : le prince Victor Napoléon (dont un dédicacé, encadré sous verre), la princesseClémentine de Belgique, le prince Louis Bonaparte (légende avec légende manuscrite, datant le portrait de 1883), LouisBonaparte (dont un portrait signé et daté de 1928, en état médiocre), etc.– Environ 70 cartes , feuillets et enveloppe à en-tête du Prince impérial, du prince Roland Bonaparte,du prince Victor Napoléon, de la princesse Clémentine de Belgique, du duc de Morny, etc.Joint , une lettre de Napoléon Bonaparte-Wyse, 2 lettres du secrétaire du prince Roland Bonaparte, deux faire-part dedécès.

Los 47

RÉVOLUTION ET PREMIER EMPIRE . – Ensemble de 20 lettres et pièces.Les généraux Boisserolle -Boisvilliers (Zara, dans les provinces Illyriennes, 1810), Caffin (Chemillé,1795), Campredon (Naples, 1807), Chemineau (Zara, dans les provinces Illyriennes, 1811), Donzelot(à Corfou, dans les îles Ioniennes), Duhesme (Kanne près de Maestricht, 1794), Eblé (Bâle, 1800), Gaspard AmédéeGardanne (Paris, 1801), Gouvion Saint -Cyr (Barletta, sur la côte italienne de la mer Adriatique, 1804,avec apostille du maréchal Berthier, concernant Corfou), Mainoni (s.l., 1798), Marescot (Paris, 1801), Marmont(Paris, janvier 1815, avec apostille du maréchal Bessières), Hugues Alexandre Joseph Meunier (Paris, 1799),Quiot du Passage (La Haye, 1803, concernant la Guyane), Rampon (Paris, 1803 et Paris, 1820), Santerre(Paris, 1793), Vial (s.l., sous l’Empire, provenance Crawford).Le ministre de la Justice Abrial , le prince de Talleyrand (comme président du Conseil de Louis XVIII, septembre1815).Joint , un certificat signé par le commandant du bataillon de Popincourt (Paris, 1793, en-tête gravé rehausséde couleurs « Section des citoyens armés de Popincourt », mouillures et taches), une lettre, une signature dugénéral Boisserolle-Boisvillier découpée dans un document, et un portrait gravé du général Duhesme.

Los 51

GAULLE (Charles de). Portrait avec dédicace autographe signée. Cliché Henri Manuel à Paris, tirage de format225 x 165 mm, coins avec accrocs et manques, encadrement sous verre.RARE PORTRAIT DÉDICACÉ à UN FIDèLE DE LA PREMIèRE HEURE : « à Jules muracciole, fi dèle compagnon... »LE JOURNALISTE MARSEILLAIS JULES MURACCIOLE (1906-1995) SERVIT à L’ATTAQUE DE NARVIKET à LA DÉFENSE DE LA BRETAGNE, AVANT DE GAGNER LONDRES DèS LE 21 JUIN 1940. Ils’engagea dans les Forces françaises libres et fut aff ecté à l’état-major du général de Gaulle comme chef du secrétariat.Après sa participation à l’expédition de Dakar, il revint à Londres où il publia le premier Journal offi ciel de la france libre.Il servit ensuite jusqu’à la fi n de la guerre dans des unités opérationnelles, principalement au sein des états-majors : enÉrythrée, en Syrie (notamment auprès du général Koenig), en Lybie (à Bir-Hakeim et El-Alamein), en Italie (où il futblessé à Pontecorvo à la tête de sa compagnie), et en France. Il s’impliqua par la suite dans la vie politique au sein dumouvement gaulliste, et assura de 1962 à 1981 la revue de presse à Matignon.JOINT :LATTRE DE TASSIGNY (Jean de). Portrait photographique avec envoi autographe signé. S.l., 5 août 1949. 238 x 188 cm,quelques piqûres marginales. « à madame maxime-Th omas dont le talent a si souvent distrait les blessés de la Ire Armée française... »

Los 62

CASSA GNA C Paul Granier de. Histoire populaireillustrée de l’Empereur Napoléon III. [Paris, 1874] ;2 tomes en un vol. très grand in-8 de 400 et 390 pp.,demi-chagrin vert Empire, dos orné du chiffre doréde Napoléon III. Récit orné de près de 100 gravures sur bois.- Sans le portraitni les pages de titre.- Plaisante reliure.

Los 71

LÉGER Charles. Redouté et son temps. Paris, GalerieCharpentier, 1945 ; in-4, demi-chagrin vert, dos à nerfs orné demotifs dorés et mosaïqués (palettes et roses), couverture conservée.Frontispice, portrait, nombreuses reproductions en noir et blanc inet hors texte, 5 planches en couleurs contrecollées et une suite souschemise montée sur onglet de 12 lithographies représentant les célèbresvélins de Redouté.Tirage à 980 exemplaires numérotés.- Exemplaire bien relié.

Los 86

Ecole française du xviiième siècle« Portrait de Charles Stuart dit « Bonnie PrinceCharlie » portant la grande plaque de l’ordre de lajarretièreHuile sur toile, anciennement réentoilée.44.5 x 38 cmCadre doréBiographie :Charles Édouard Stuart (1720-1788), surnomméBonnie (« beau » en scots) Prince Charlie, était le fils aînédu prince Jacques François Stuart (lui-même fils du roiJacques II d’Angleterre qui avait perdu son trône en 1688)et le prétendant Stuart aux couronnes anglaise et écossaise.La mère de Charles, Marie Clementine Sobieska était lapetite-fille du roi polonais Jean III Sobieski. Charlesnaquit à Rome, dans le palais Muti Papazzurri, et passa sonenfance en Italie. Il participa au siège de Gaète en 1734.En décembre 1743, le père de Charles le nomma Princerégent, lui donnant l’autorité d’agir en son nom. Dix-huitmois plus tard, il mena un soulèvement pour tenter derendre le trône à son père. Il débarqua à Eriskay le 23 juillet1745 avec sept compagnons de « Moidart » espérant lesoutien d’une flotte française menée par Antoine Walsh,mais la route des navires français fut barrée par la flotteanglaise. La flotte endommagée a été obligé de faire demitour.Il dut essayer de lever une armée en Écosse.De nombreux clans des Highlands, aussi bien catholiquesque protestants, étaient d’allégeance jacobite et Charles,bien que catholique, s’attendait à un accueil chaleureuxde ces clans. Mais la réaction se fit attendre. Charles futcapable de lever une troupe suffisante pour marcher surÉdimbourg, qui se rendit rapidement. Il défit ensuitela seule armée gouvernementale anglaise à la bataille dePrestonpans, le 21 septembre 1745, et en novembre setrouvait à la tête d’une armée de 6 000 hommes.La RévolutionLouis Xv - Louis XviiLouis Xviii, Le Duc De Berry,Le Duc de Bordeaux Et Louise D’ArtoisIl décide alors de marcher sur Londres et atteint Derby à deux centkilomètres de la capitale début décembre mais ses conseillers leconvainquent de se retirer dans les Highlands. Poursuivi par le ducde Cumberland, fils du roi George II, il subit une défaite écrasante àla bataille de Culloden, le 16 avril 1746. Bien que sa tête soit mise àprix 30.000 livres le prince erre pendant cinq mois dans les Highlandsde l’ouest et dans les Hébrides extérieures escorté de deux ou troiscompagnons avant de pouvoir se réembarquer le 13 septembre sur unnavire français « L’Heureux » qui le ramène en France déguisé enfemme pour échapper à ces poursuivants. La cause des Stuart étantperdue, Charles se réfugia d’abord en France, et passa le reste de savie en exil. Il épousa en 1772 une princesse de Stolberg de 30 ans sacadette. L’union ne fut pas heureuse et le Prétendant sombra dansl’alcoolisme. Il mourut à Rome, le 31 janvier 1788, et fut enterré dansla Cathédrale San Pietro de Frascati où son frère, Henri Benoît Stuartétait cardinal-évêque. À la mort de ce dernier en 1807, sa dépouilleest transférée dans la basilique Saint-Pierre, et seul son coeur est laissédans la cathédrale.

Los 98

Ecole française du xixème siècle« Portrait de Louis XVII»Miniature ovale sur ivoire signée « Langlais »(Couleur légèrement passées)Diam : 9.5 cm

Los 100

Ecole française du début du XIXème siècle,d’après Jean NAI GEON.« Portrait d’Athanase Clément de Ris, en buste, enuniforme du 16ème Dragons ».Huile sur toile, marquée « 1805 » en bas à gauche.23 x 18 cm. B.E.Cadre en bois doré à décor de feuilles d’acanthe.Biographie :Athanase CLEMENT de RIS (1782-1837), fit la campagnede 1805 à l’armée d’Italie comme aide de camp du maréchalMasséna, celle de Prusse (1806) comme adjudant-major au16e dragons où il reçut la décoration de la Légion d’honneur. Ilfut blessé d’un coup de lance au combat de Deppen le 4 février1807, se trouva aux batailles d’Eylau et de Friedland, et passa enEspagne en qualité d’aide de camp du maréchal Lefebvre. Le 27juillet 1808, Clément de Ris fils fut créé chevalier de l’Empire.Il fit encore les campagnes de Bavière, à la suite de laquelle ilfut créé chevalier de l’ordre militaire de Maximilien-Joseph deBavière, du Tyrol et d’Autriche (1809), et fut promu capitaineau dragons de la garde impériale. Après la retraite de Russie, ilobtint le grade chef d’escadron dans la Vieille Garde et la croixd’officier de la Légion d’honneur. Chevalier de Saint-Louis en1814, et colonel, il reprit du service pendant les Cent-Jourscomme adjudant-commandant du chef d’état-major d’une divisionde cavalerie légère, fut blessé à la poitrine le 9 juillet, sousles murs de Strasbourg, quitta l’armée au licenciement, et rentradans ses foyers. Il poursuivit sa carrière durant la Restaurationcomme Pair de France.OEuvre en rapport :Jean Naigeon, « Portrait d’ Athanase CLEME NT de RIS, en uniformed’adjudant major du 16ème Dragons ».Musée de l’Armée, Paris.

Los 101

Désiré Adélaïde MAI GNEN DE SAINTE -MARIE . Ecole française du débutdu XIXème siècle. »« Le Général Darricau en uniforme de général de divisionportant les insignes de la Légion d’honneur et de lacouronne de fer ».Huile sur toile (réentoilée), signée et datée « MaignenPixit 1805 ».96 x 70 cm. A.B.E. (petites usures et accidents).Cadre doré à décor de palmettes.Nota :Comme souvent, le Général a fait modifié son portraitau gré de ses nominations et promotions, ainsile Grand cordon de la Légion d’honneur fut probablementpeint à l’occasion de sa nomination commegrand officier en 1815. A noter que sur la seule autrereprésentation connue de lui, il porte également cegrand cordon.Biographie :Augustin Baron DARRICAU (né en 1773).Engagé à dix huit ans, capitaine le 17 octobre 1791, ilpassa en cette qualité à l’armée des Alpes, fit les campagnesde 1792 et 1793, assista au siège de Toulon,puis servit avec la 77e demi-brigade, pendant les ansII, III, IV et V, aux armées d’Italie et d’Allemagne.Porti pour l’expédition d’Orient, et remarqué par Kléberpour son sang froid, Darricau est nommé chef debataillon en octobre 1799. Revenu colonel en Franceen 1801, chevalier de la Légion d’honneur (1803), ilmontre sa bravoure durant la campagne d’Allemagneet notamment au perilleux combat de Durrenstein,où il charge à la baïonnette à la tête de son régimentcontre les Russes. Général de brigade en 1807, il combatà Friedland, et est anobli Baron de l’Empire en1808. A partir de 1809, il va se distinguer en Espagnenotamment à Alcantara et Talavera. Il est divisionnaireen 1811. Toujours extrêmement courageux, ilse distingue à Vitoria et Toulouse (1813 et 1814).Commandant de Perpignan c Il occupait encore ceposte lorsque Napoléon Ier revint de l’île d’Elbe. Lemaréchal Pérignon, qui commandait à Toulouse, luidonna presque aussitôt l’ordre de livrer la citadellede Perpignan aux troupes royales qui se présentèrentpour en prendre possession. Le général Darricau, aulieu de suivre les ordres du maréchal, fit arborer ledrapeau tricolore dans tout le département des Pyrénées-Orientales. Pour lui témoigner sa reconnaissanced’avoir préservé cette ville de la guerre civile, le conseilmunicipal de Perpignan lui offrit une épée riche etsuperbe, portant cette inscription : « La ville de Perpignanau lieutenant-général baron Darricau. »Darricause retira par la suite à Dax, d’où il était originaire.Il meurt en 1819. Il était Grand officier de la Légiond’honneur (1815) et chevalier de la Couronne de fer.

Los 116

J.L DaViD, d’après.« Napoléon le grand d’après le portrait en pied de S.M.Empereur et Roi fait par M. David son premier peintre.Gravure aquarellée.74 x 53 cm. A.B.E. (rousseurs).Sous verre. Cadre en bois doré à palmettes.

Los 126

École française du XIXème SIèCLE« Portrait du général Kosciuszko.»Gravure rehaussée de gouache et de papier.42 x 34 cmSous verre.Historique:Issu d’une famille d’aristocrate polonais, Tadeusz Kosciuskos’est illustré comme partisan des libertés. Engagé à partir de 1776aux côtés des insurgés Américains, il s’investit, à son retour enPologne, contre le démembrement de son pays par la Prusse etla Russie. Ses relations avec Napoléon, qu’il rencontre en 1799,sont glaciales : il l’accusera continuellement d’oeuvrer en faveurde ses intérêts au détriment de ceux des Polonais.

Los 156

Ecole française du XIXème siècle. Veron. « Portrait de Madame Reine Schmaltz, épouse du gouverneur général. »Miniature ovale sur ivoire. Signée et datée « 1819 » en haut à droite. 8 x 6,2 cm. B.E. Cerclée de laiton doré, sous verre. Cadre en bois à suspendre. Epoque Restauration.

Los 157

Ecole française du début du XIXème siècle ; « Portrait de Mademoiselle Elisza Schmaltz, fille du gouverneur général. » Miniature ovale sur ivoire (fêle). A.B.E. Cerclée de laiton doré, sous verre. Cadre en bois à suspendre a garnitures découpé à décor de plamettes et feuillages. Epoque Restauration.

Los 160

Théodore Baron GUDIN (1802-1880). Ecole française. « Portrait de Son Excellence Mustapha Reschid Pacha, représenté assis. » Dessin d’après nature au crayon noir, signé, daté «26 nov 1839 » et situé « Constantinople » en bas à droite.33 x 24 cm. Marqué en dessous « Réchid », bordé de filets noir et rouge. Cadre d’époque en bois, à motif d’arabesques. B.E. Biographie : Théodore Baron Gudin (1802-1880). Elève de l’Ecole des Beaux-Arts, Théodore Gudin fut formé par Girodet. Il connut le succès en tant que peintre officiel de la Marine, il reçut une commande de 70 tableaux pour compléter le cycle commencé par Joseph Vernet à Versailles. Il participa au Salon dès 1822. A côté de ses vastes compositions, il n’a cessé de transcrire des vues prises sur les côtés de la Manche, de la Méditerranée, en Italie, en Ecosse et à Constantinople, où il se rend vers 1839-1840. C’est à cette occasion qu’il exécute ce portrait d’après nature. Mustafa Rechid Pacha (1800-1858), l’inspirateur du rescrit de Gülkhâne et le chef de file des réformes des Tanzimât est une personnalité de premier plan, tantôt admirée, tantôt critiquée. Il fut six fois ambassadeur extraordinaire en France (1834-1836) et à Londres, ministre des affaires étrangères et cinq fois grand vizir après 1839. Il est représenté ici à Constantinople alors qu’il est ministre des affaires étrangères, revenant d’une mission à Londres, tout juste confirmer dans son poste par le nouveau sultan Abdul-Medjid

Los 162

Martin DROLLING (1752-1817) Ecole de« Portrait en buste de Napoléon 1er en uniforme des chasseurs à cheval de la Garde impériale »Fin 1803 début 1804 Huile sur toile (Petites craquelures et repeint sur la grande plaque de la Légion d’Honneur)60 x 50 cmTrès beau cadre en bois et stuc doré à palmettes et couronnes de laurier dans les écoinçons.Biographie :Martin Drolling, né le 19 septembre 1752 à Bergheim, alors appelé Oberbergheim, et mort à Paris le 16 avril 1817, est un peintre français de portraits et de scènes de genre. D’origine alsacienne, Martin DROLLING naît dans une famille nombreuse dont le père, Martin Drölling, clerc du tabellion local, a épousé Catherine Schobler. Il découvre la peinture par hasard et décide d’en faire l’apprentissage. Malgré quelques réticences son père signe le contrat pour quatre années avec un peintre local. Un conflit éclate bientôt entre le maître et l’élève qui n’a plus rien à apprendre de son patron. Il le quitte pour poursuivre son apprentissage à Strasbourg où il partage l’atelier avec le peintre Maratti. Il s’installe à Paris, où il entre à l’école des beaux-arts le 4 juin 1779. Il obtient un contrat chez un marchand qui lui offre 30 sous par tableaux. Lorsqu’il achève sa formation artistique vers 1780, il épouse Madeleine Welker, qui meurt peu après. Il se remarie le 4 mai 1785 avec Louise Elisabeth Belot, fille d’un marchand de couleurs pour peintres, avec laquelle il a trois enfants. L’aîné, Michel Martin Drolling, naît en 1789 et sera également peintre. Le deuxième, Marius, naît le 27 février 1794, et sa benjamine, Louise-Adéone Drölling, dite « Madame Joubert », naît en 1797. Le couple emménage rue de Seine. Il reçoit les conseils d’Élisabeth Vigée Le Brun qui l’emploie comme assistant pour la peinture d’objets dans ses toiles. Elle le présente à Jean-Baptiste Greuze. Il montre de l’habileté pour les scènes d’intérieur, les copies et les portraits. Il commence par travailler à la Manufacture de Dilh et Guérhard, associés de la Manufacture du duc d’Angoulême, au 22 rue de Bondy à Paris 10e arrondissement, dans l’ancien Hôtel de la marquise de Ferrières. C’est là qu’il rencontre Alexandre Brongniart, qui fut nommé directeur de la Manufacture nationale de Sèvres en 1800. De 1802 à 1813, il œuvre en qualité de peintre-décorateur à la Manufacture nationale de Sèvres. Il lutte toute sa vie contre la pauvreté. En 1816, il met un tableau en loterie pour payer son logeur. Il meurt à Paris le 16 avril 1817, à quelques jours de l’ouverture du Salon qui verra la foule se presser - enfin ! - devant ses tableaux.

Los 245

A. KÜBLER (1804-1846) Portrait de Napoléon 1er en uniforme de colonel des Grenadiers de la GardeHuile sur toile dans un ovale peint signé en bas à gauche.Réentoilée.60 x 73 cmCadre en bois et stuc doré.

Los 246

Jacques Louis DAVID (1748-1825), école de« Portrait de Laetitia Ramolino, Mère de l’Empereur Napoléon 1er.»Huile sur toile. Porte une ancienne étiquette manuscrite à l’encre sur la toile ainsi qu’un cachet de cire rouge de collection sur le châssis.Cadre en bois et stuc doré.75 x 60 cmŒuvres en rapport:Léopold BOILLY, Portrait de Laetitia Ramolino, huile sur toile, 22 x 26, The Bowes Museum.Jean Antoine LAURENT, Portrait de Madame Mère en buste de face, aquarelle et gouache, 16.5 x 13, Vente Osenat, 7 décembre 2008, collection Gérard Souham.

Los 247

ECOLE FRANÇAISE DU DEBUT DU XIXème SIèCLEPortrait présumé de Madame Le Fèvre dite Madame Sans-GèneHuile sur toile, cadre doré à palmettes.22 x 16 cm

Los 261

Ecole française du XVIIIème siècle« Portrait de Monsieur de Boëry, président à l’Election de Châteauroux, député de la province du Berry à l’Assemblé Nationale de 1789. »Miniature ovale dans un médaillon en métal doré.6 x 5.5 cmProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand.

Los 262

Ecole française du XVIIIème siècle« Portrait de Guillaume Barthélémy Boëry »Gravure ovale rehaussée d’aquarelle, cadre en bois doré.Diam : 6 cmPortrait de Anne Louise Cadet de Limay (1777-1845), épouse de Hugues Félix Ranqui (1775-1847).Gravure. Diam : 6 cmProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand.

Los 263

Ecole française du XIXème siècle« Portrait de Guillaume Barthélémy BOËRY » Miniature rectangulaire5.5 x 4 cm Cadre en bois noirci.Provenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand.

Los 264

ecole française du xviiième siècle«Portrait de Monsieur Raguenet de la Perrière époux de Suzanne Sophie Paule Guillot des Bordeliers »Miniature ronde signée en bas à droite « G. Godeau, Août 1799 »« Portrait de Sophie Guillot des Bordelier (1758 – 1821) et de son fils Achille tenant dans sa main un médaillon de son défunt père.»Miniature ronde signée à gauche « Bertrand ».Diam : 8 cmBeaux cadres en bois doréProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand. Biographies :Vincent Bertrand (1770- ?), miniaturisteG. Godeau (XVIIIe siècle)

Los 265

Ecole française du XVIIIème siècle« Portrait présumé de la première femme du Général Granjean »Miniature ronde sur papier, cadre en bois noirci. (Petites tâches)Diam : 6.5 cmProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand. Biographie : Balthazar grandjean (1760-1824), général de brigade, chevalier des Grands-Chenets par lettres patentes du 23 juin 1810. Incorporé comme soldat au régiment de Rouergue. Sous les ordres de d’Estaing à l’armée de Cadix, lors de l’expédition de la Jamaïque en 1782-1783. Congédié par ancienneté le 28 juillet 1785, il revint en Lorraine et reprit ensuite du service à l’armée de Moselle en 1793-1794, puis à l’armée de Sambre-et-Meuse. Général de brigade le 29 août 1803, il fut employé à l’armée de Hanovre en 1804-1805, à l’armée du Nord et à la division Michaud en 1806. Il commanda la 3e brigade de la 1re division en 1807 et servit en Espagne de 1808 à 1811. Il prit sa retraite dans le Loiret et devint maire d’Orléans en 1815. Armoiries : D’azur, à deux étoiles en bande d’or ; bordure de gueules du tiers de l’écu, au signe des chevaliers posé au deuxième point en chef ; pour livrées : les couleurs de l’écu.

Los 365

FLANDRIN Hippolyte (1809-1864) Ecole de« L’Empereur Napoléon III, Empereur des Français en uniforme de Général de Brigade dans son grand cabinet des Tuileries en 1861.»Huile sur toile204.5 x 140 cm(réentoilé, usures)Cadre en bois et stuc doré à palmettes Œuvre en rapportMusée National du Château de Versailles Bibliographie :Constans 1980, n° 1592 Historique :Le prince-président est devenu Empereur des Français sous le nom de Napoléon III. Dès 1853, il confie l’exécution de son portrait à Hippolyte Flandrin, un élève d’Ingres spécialisé dans la peinture religieuse. Flandrin brosse un admirable portrait psychologique qui, en dépit de son caractère officiel, révèle de façon pénétrante la personnalité complexe de l’homme. L’artiste a même su saisir le regard trouble de l’empereur. « C’est assurément le premier portrait « vrai » que nous ayons de S.M. » déclare T. Gautier. Cette vérité déplut à Napoléon III au point que la commande fut dans un premier temps annulée. L’empereur préférait le portrait en pied de Winterhalter, tableau aujourd’hui disparu, à l’allure plus noble et à l’idéalisation flatteuse. Napoléon III finit par accepter la toile de Flandrin. Présentée à l’Exposition universelle de Londres en 1862 puis au Salon de 1863, elle rencontra un grand succès auprès du public.

Los 382

DISDERI André-Adolphe-Eugène (1819-1889)« Portrait du Prince impérial en uniforme de grenadier de la Garde Impériale»Inscription au dos du cadre : « Photographie de Son Altesse le Prince Impérial (Napoléon IV) à l’âge de trois ans. Disderi, photographe de la famille impériale (illisible). »Sous verre. Cadre en bois doréPhotographie : 6 x 6 cm. Cadre 18,5 x 18, 5 cm

Los 18

Robert Lenkiewicz – pencil drawing – Portrait of a woman, 13”x 10” SEE ILLUSTRATION

Los 196

An oval enamel painted yellow metal miniature portrait brooch depicting 18thC couple

Los 134

A pair of named portrait busts inscribed on the bases Sir J. Jellicoe and Earl Kitchener, 139mm high, circa 1916 and another jug depicting Kitchener (3) military, naval, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 137

1919 Peace: a good set of four Royal Doulton blue glazed stoneware jugs, the barrel shaped bodies moulded with named portrait ovals of Beatty, Foch, Haig and Wilson, 187mm (4) military, naval, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 138

1965 Churchill: a pottery plate with named and dated portrait and a pottery character jug depicted seated, 230mm (2) military, naval, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 141

1837/38 Victoria: an unusual pearlware mug of large size printed in blue with a named portrait depicted on a balcony, Windsor Castle in the background, 130mm * See Victoria Remembered, plate 50 royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 142

1837/38 Victoria: a large pearlware mug printed in black with a named portrait at a window, Windsor Castle in the background, 129mm, cracked and stained * See Victoria Remembered, plate 47 royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 143

Victoria: a nursery plate the border moulded with the alphabet, printed in black with a named portrait, circa 1838, 156mm diameter, hairline crack * See Victoria Remembered, plate 90 royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 146

1858 Wedding: a pearlware mug, the waisted body printed in black with a named portrait and on the reverse a view of the palace, lined in pink lustre, 81mm * See Victoria Remembered, plate 244 royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 158

1926 Birth: a Paragon side plate with inscribed sepia portrait after Marcus Adams and another similar octagonal side plate, scratched (2) royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 159

1937 Edward VIII: a Royal Doulton porcelain curved sided beaker, the green ground with colour portrait within gilt curtained cartouche royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 172

1837 Proclamation: a good pottery flask, the circular body printed on both sides in black with a named and dated portrait after Hayter within a blue printed border, 150mm diameter * See Victoria Remembered, plates 21 and 22 royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 175

1897 Jubilee: a large circular plate by Minton printed in brown with an inscribed portrait, 381mm diameter royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 176

A brown glazed pottery portrait tile by Sherwin & Cotton depicting Victoria dated 1897, two other tiles both for 1897 and an oval Ridgway plaque with sepia portrait of Edward VII, circa 1910 (4) royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 180

1953 Coronation: a colourful portrait bust by Pelican Pottery, 170mm royal, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 101

Fred Archer: an octagonal pottery plate by Wallis Gimson printed in black with an inscribed portrait, circa 1886 commemorative, commemoratives, commemorate

Los 104

Sir Edward Elgar Bt: a white pottery portrait bust, 143mm, circa 1911 * Born in 1857, the Order of merit was conferred upon Elgar in 1911. commemorative, commemoratives, commemorate

Los 106

A brown glazed portrait plaque by Sherwin & Cotton depicting Pope Pius X and another similar of General Booth dated 1904, both 52mm wide (2) commemorative, commemoratives, commemorate

Los 108

1886 Gladstone: an octagonal pottery plate by Wallis Gimson printed in brown with portrait and inscriptions flanked by flowers in colours within a gilt rim political, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 111

A brown glazed portrait plaque depicting Gladstone by Sherwin & Cotton and another of Lloyd George by Barratt & Co., 52mm wide, both with frames (4) political, commemorative, commemoratives, commemorate

Los 112

A grey glazed portrait plaque depicting Theodore Roosevelt by Barratt & Co., 52mm wide and a Ridgway oval plaque with sepia portrait of Wilfred Laurier (2) * Laurier was Primeminister of Canada from 1896 until 1911 political, commemorative, commemoratives, commemorate

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