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école FRANçAISE du XIXe siècle Portrait de femme debout Crayon noir. 30,8 x 21 cm Titré en haut Mme aline / 11, rue ambroise Paré. école FRANçAISE du XIXe siècle Tête de jeune femme de profil d’après un bas - relief antique Crayon noir. 24 x 20 cm Porte une signature et une date illisibles en bas à droite R… A… / 1813.
Marie de CHEVARRIER (Paris, avant 1834 - Biarritz, 1899) Portrait en buste d’une fillette blonde aux yeux bleus coiffée d’anglaises Miniature sur ivoire signée à droite en rouge Marie de Chevarrier. Ovale, 4,8 x 4,6 cm Fente verticale à gauche du portrait. Montée en broche en or et métal doré, entourée de 48 demi-perles, fond en nacre (manque l’épingle), 5,4 x 4,5 cm. On y joint un portrait de Femme brune en robe bleue à guimpe blanche tuyautée, début du XIXe siècle, miniature sur ivoire, 5,8 x 4,9 cm, cerclée de laiton.
napoléon ierPendentif en or composé de deux plaques maintenuespar un cercle en or fermé par une bélière etreprésentant le portrait de lempereur lauré à gaucheen repoussé par le graveur George. Au revers,légende :« TOUT POUR LEMPIRE ».Ø 27.63mm (13.88g)Très beau.collection comtesse pelletier de chambure (1902-1975)
BONA PARTE (Famille). Ensemble denviron 80 pièces concernant des membres de la famille Bonaparte. 12 Portraits photographiques : le prince Victor Napoléon (dont un dédicacé, encadré sous verre), la princesseClémentine de Belgique, le prince Louis Bonaparte (légende avec légende manuscrite, datant le portrait de 1883), LouisBonaparte (dont un portrait signé et daté de 1928, en état médiocre), etc. Environ 70 cartes , feuillets et enveloppe à en-tête du Prince impérial, du prince Roland Bonaparte,du prince Victor Napoléon, de la princesse Clémentine de Belgique, du duc de Morny, etc.Joint , une lettre de Napoléon Bonaparte-Wyse, 2 lettres du secrétaire du prince Roland Bonaparte, deux faire-part dedécès.
RÉVOLUTION ET PREMIER EMPIRE . Ensemble de 20 lettres et pièces.Les généraux Boisserolle -Boisvilliers (Zara, dans les provinces Illyriennes, 1810), Caffin (Chemillé,1795), Campredon (Naples, 1807), Chemineau (Zara, dans les provinces Illyriennes, 1811), Donzelot(à Corfou, dans les îles Ioniennes), Duhesme (Kanne près de Maestricht, 1794), Eblé (Bâle, 1800), Gaspard AmédéeGardanne (Paris, 1801), Gouvion Saint -Cyr (Barletta, sur la côte italienne de la mer Adriatique, 1804,avec apostille du maréchal Berthier, concernant Corfou), Mainoni (s.l., 1798), Marescot (Paris, 1801), Marmont(Paris, janvier 1815, avec apostille du maréchal Bessières), Hugues Alexandre Joseph Meunier (Paris, 1799),Quiot du Passage (La Haye, 1803, concernant la Guyane), Rampon (Paris, 1803 et Paris, 1820), Santerre(Paris, 1793), Vial (s.l., sous lEmpire, provenance Crawford).Le ministre de la Justice Abrial , le prince de Talleyrand (comme président du Conseil de Louis XVIII, septembre1815).Joint , un certificat signé par le commandant du bataillon de Popincourt (Paris, 1793, en-tête gravé rehausséde couleurs « Section des citoyens armés de Popincourt », mouillures et taches), une lettre, une signature dugénéral Boisserolle-Boisvillier découpée dans un document, et un portrait gravé du général Duhesme.
GAULLE (Charles de). Portrait avec dédicace autographe signée. Cliché Henri Manuel à Paris, tirage de format225 x 165 mm, coins avec accrocs et manques, encadrement sous verre.RARE PORTRAIT DÉDICACÉ à UN FIDèLE DE LA PREMIèRE HEURE : « à Jules muracciole, fi dèle compagnon... »LE JOURNALISTE MARSEILLAIS JULES MURACCIOLE (1906-1995) SERVIT à LATTAQUE DE NARVIKET à LA DÉFENSE DE LA BRETAGNE, AVANT DE GAGNER LONDRES DèS LE 21 JUIN 1940. Ilsengagea dans les Forces françaises libres et fut aff ecté à létat-major du général de Gaulle comme chef du secrétariat.Après sa participation à lexpédition de Dakar, il revint à Londres où il publia le premier Journal offi ciel de la france libre.Il servit ensuite jusquà la fi n de la guerre dans des unités opérationnelles, principalement au sein des états-majors : enÉrythrée, en Syrie (notamment auprès du général Koenig), en Lybie (à Bir-Hakeim et El-Alamein), en Italie (où il futblessé à Pontecorvo à la tête de sa compagnie), et en France. Il simpliqua par la suite dans la vie politique au sein dumouvement gaulliste, et assura de 1962 à 1981 la revue de presse à Matignon.JOINT :LATTRE DE TASSIGNY (Jean de). Portrait photographique avec envoi autographe signé. S.l., 5 août 1949. 238 x 188 cm,quelques piqûres marginales. « à madame maxime-Th omas dont le talent a si souvent distrait les blessés de la Ire Armée française... »
CASSA GNA C Paul Granier de. Histoire populaireillustrée de lEmpereur Napoléon III. [Paris, 1874] ;2 tomes en un vol. très grand in-8 de 400 et 390 pp.,demi-chagrin vert Empire, dos orné du chiffre doréde Napoléon III. Récit orné de près de 100 gravures sur bois.- Sans le portraitni les pages de titre.- Plaisante reliure.
LÉGER Charles. Redouté et son temps. Paris, GalerieCharpentier, 1945 ; in-4, demi-chagrin vert, dos à nerfs orné demotifs dorés et mosaïqués (palettes et roses), couverture conservée.Frontispice, portrait, nombreuses reproductions en noir et blanc inet hors texte, 5 planches en couleurs contrecollées et une suite souschemise montée sur onglet de 12 lithographies représentant les célèbresvélins de Redouté.Tirage à 980 exemplaires numérotés.- Exemplaire bien relié.
Ecole française du xviiième siècle« Portrait de Charles Stuart dit « Bonnie PrinceCharlie » portant la grande plaque de lordre de lajarretièreHuile sur toile, anciennement réentoilée.44.5 x 38 cmCadre doréBiographie :Charles Édouard Stuart (1720-1788), surnomméBonnie (« beau » en scots) Prince Charlie, était le fils aînédu prince Jacques François Stuart (lui-même fils du roiJacques II dAngleterre qui avait perdu son trône en 1688)et le prétendant Stuart aux couronnes anglaise et écossaise.La mère de Charles, Marie Clementine Sobieska était lapetite-fille du roi polonais Jean III Sobieski. Charlesnaquit à Rome, dans le palais Muti Papazzurri, et passa sonenfance en Italie. Il participa au siège de Gaète en 1734.En décembre 1743, le père de Charles le nomma Princerégent, lui donnant lautorité dagir en son nom. Dix-huitmois plus tard, il mena un soulèvement pour tenter derendre le trône à son père. Il débarqua à Eriskay le 23 juillet1745 avec sept compagnons de « Moidart » espérant lesoutien dune flotte française menée par Antoine Walsh,mais la route des navires français fut barrée par la flotteanglaise. La flotte endommagée a été obligé de faire demitour.Il dut essayer de lever une armée en Écosse.De nombreux clans des Highlands, aussi bien catholiquesque protestants, étaient dallégeance jacobite et Charles,bien que catholique, sattendait à un accueil chaleureuxde ces clans. Mais la réaction se fit attendre. Charles futcapable de lever une troupe suffisante pour marcher surÉdimbourg, qui se rendit rapidement. Il défit ensuitela seule armée gouvernementale anglaise à la bataille dePrestonpans, le 21 septembre 1745, et en novembre setrouvait à la tête dune armée de 6 000 hommes.La RévolutionLouis Xv - Louis XviiLouis Xviii, Le Duc De Berry,Le Duc de Bordeaux Et Louise DArtoisIl décide alors de marcher sur Londres et atteint Derby à deux centkilomètres de la capitale début décembre mais ses conseillers leconvainquent de se retirer dans les Highlands. Poursuivi par le ducde Cumberland, fils du roi George II, il subit une défaite écrasante àla bataille de Culloden, le 16 avril 1746. Bien que sa tête soit mise àprix 30.000 livres le prince erre pendant cinq mois dans les Highlandsde louest et dans les Hébrides extérieures escorté de deux ou troiscompagnons avant de pouvoir se réembarquer le 13 septembre sur unnavire français « LHeureux » qui le ramène en France déguisé enfemme pour échapper à ces poursuivants. La cause des Stuart étantperdue, Charles se réfugia dabord en France, et passa le reste de savie en exil. Il épousa en 1772 une princesse de Stolberg de 30 ans sacadette. Lunion ne fut pas heureuse et le Prétendant sombra danslalcoolisme. Il mourut à Rome, le 31 janvier 1788, et fut enterré dansla Cathédrale San Pietro de Frascati où son frère, Henri Benoît Stuartétait cardinal-évêque. À la mort de ce dernier en 1807, sa dépouilleest transférée dans la basilique Saint-Pierre, et seul son coeur est laissédans la cathédrale.
Ecole française du début du XIXème siècle,daprès Jean NAI GEON.« Portrait dAthanase Clément de Ris, en buste, enuniforme du 16ème Dragons ».Huile sur toile, marquée « 1805 » en bas à gauche.23 x 18 cm. B.E.Cadre en bois doré à décor de feuilles dacanthe.Biographie :Athanase CLEMENT de RIS (1782-1837), fit la campagnede 1805 à larmée dItalie comme aide de camp du maréchalMasséna, celle de Prusse (1806) comme adjudant-major au16e dragons où il reçut la décoration de la Légion dhonneur. Ilfut blessé dun coup de lance au combat de Deppen le 4 février1807, se trouva aux batailles dEylau et de Friedland, et passa enEspagne en qualité daide de camp du maréchal Lefebvre. Le 27juillet 1808, Clément de Ris fils fut créé chevalier de lEmpire.Il fit encore les campagnes de Bavière, à la suite de laquelle ilfut créé chevalier de lordre militaire de Maximilien-Joseph deBavière, du Tyrol et dAutriche (1809), et fut promu capitaineau dragons de la garde impériale. Après la retraite de Russie, ilobtint le grade chef descadron dans la Vieille Garde et la croixdofficier de la Légion dhonneur. Chevalier de Saint-Louis en1814, et colonel, il reprit du service pendant les Cent-Jourscomme adjudant-commandant du chef détat-major dune divisionde cavalerie légère, fut blessé à la poitrine le 9 juillet, sousles murs de Strasbourg, quitta larmée au licenciement, et rentradans ses foyers. Il poursuivit sa carrière durant la Restaurationcomme Pair de France.OEuvre en rapport :Jean Naigeon, « Portrait d Athanase CLEME NT de RIS, en uniformedadjudant major du 16ème Dragons ».Musée de lArmée, Paris.
Désiré Adélaïde MAI GNEN DE SAINTE -MARIE . Ecole française du débutdu XIXème siècle. »« Le Général Darricau en uniforme de général de divisionportant les insignes de la Légion dhonneur et de lacouronne de fer ».Huile sur toile (réentoilée), signée et datée « MaignenPixit 1805 ».96 x 70 cm. A.B.E. (petites usures et accidents).Cadre doré à décor de palmettes.Nota :Comme souvent, le Général a fait modifié son portraitau gré de ses nominations et promotions, ainsile Grand cordon de la Légion dhonneur fut probablementpeint à loccasion de sa nomination commegrand officier en 1815. A noter que sur la seule autrereprésentation connue de lui, il porte également cegrand cordon.Biographie :Augustin Baron DARRICAU (né en 1773).Engagé à dix huit ans, capitaine le 17 octobre 1791, ilpassa en cette qualité à larmée des Alpes, fit les campagnesde 1792 et 1793, assista au siège de Toulon,puis servit avec la 77e demi-brigade, pendant les ansII, III, IV et V, aux armées dItalie et dAllemagne.Porti pour lexpédition dOrient, et remarqué par Kléberpour son sang froid, Darricau est nommé chef debataillon en octobre 1799. Revenu colonel en Franceen 1801, chevalier de la Légion dhonneur (1803), ilmontre sa bravoure durant la campagne dAllemagneet notamment au perilleux combat de Durrenstein,où il charge à la baïonnette à la tête de son régimentcontre les Russes. Général de brigade en 1807, il combatà Friedland, et est anobli Baron de lEmpire en1808. A partir de 1809, il va se distinguer en Espagnenotamment à Alcantara et Talavera. Il est divisionnaireen 1811. Toujours extrêmement courageux, ilse distingue à Vitoria et Toulouse (1813 et 1814).Commandant de Perpignan c Il occupait encore ceposte lorsque Napoléon Ier revint de lîle dElbe. Lemaréchal Pérignon, qui commandait à Toulouse, luidonna presque aussitôt lordre de livrer la citadellede Perpignan aux troupes royales qui se présentèrentpour en prendre possession. Le général Darricau, aulieu de suivre les ordres du maréchal, fit arborer ledrapeau tricolore dans tout le département des Pyrénées-Orientales. Pour lui témoigner sa reconnaissancedavoir préservé cette ville de la guerre civile, le conseilmunicipal de Perpignan lui offrit une épée riche etsuperbe, portant cette inscription : « La ville de Perpignanau lieutenant-général baron Darricau. »Darricause retira par la suite à Dax, doù il était originaire.Il meurt en 1819. Il était Grand officier de la Légiondhonneur (1815) et chevalier de la Couronne de fer.
École française du XIXème SIèCLE« Portrait du général Kosciuszko.»Gravure rehaussée de gouache et de papier.42 x 34 cmSous verre.Historique:Issu dune famille daristocrate polonais, Tadeusz Kosciuskosest illustré comme partisan des libertés. Engagé à partir de 1776aux côtés des insurgés Américains, il sinvestit, à son retour enPologne, contre le démembrement de son pays par la Prusse etla Russie. Ses relations avec Napoléon, quil rencontre en 1799,sont glaciales : il laccusera continuellement doeuvrer en faveurde ses intérêts au détriment de ceux des Polonais.
Ecole française du début du XIXème siècle ; « Portrait de Mademoiselle Elisza Schmaltz, fille du gouverneur général. » Miniature ovale sur ivoire (fêle). A.B.E. Cerclée de laiton doré, sous verre. Cadre en bois à suspendre a garnitures découpé à décor de plamettes et feuillages. Epoque Restauration.
Théodore Baron GUDIN (1802-1880). Ecole française. « Portrait de Son Excellence Mustapha Reschid Pacha, représenté assis. » Dessin daprès nature au crayon noir, signé, daté «26 nov 1839 » et situé « Constantinople » en bas à droite.33 x 24 cm. Marqué en dessous « Réchid », bordé de filets noir et rouge. Cadre dépoque en bois, à motif darabesques. B.E. Biographie : Théodore Baron Gudin (1802-1880). Elève de lEcole des Beaux-Arts, Théodore Gudin fut formé par Girodet. Il connut le succès en tant que peintre officiel de la Marine, il reçut une commande de 70 tableaux pour compléter le cycle commencé par Joseph Vernet à Versailles. Il participa au Salon dès 1822. A côté de ses vastes compositions, il na cessé de transcrire des vues prises sur les côtés de la Manche, de la Méditerranée, en Italie, en Ecosse et à Constantinople, où il se rend vers 1839-1840. Cest à cette occasion quil exécute ce portrait daprès nature. Mustafa Rechid Pacha (1800-1858), linspirateur du rescrit de Gülkhâne et le chef de file des réformes des Tanzimât est une personnalité de premier plan, tantôt admirée, tantôt critiquée. Il fut six fois ambassadeur extraordinaire en France (1834-1836) et à Londres, ministre des affaires étrangères et cinq fois grand vizir après 1839. Il est représenté ici à Constantinople alors quil est ministre des affaires étrangères, revenant dune mission à Londres, tout juste confirmer dans son poste par le nouveau sultan Abdul-Medjid
Martin DROLLING (1752-1817) Ecole de« Portrait en buste de Napoléon 1er en uniforme des chasseurs à cheval de la Garde impériale »Fin 1803 début 1804 Huile sur toile (Petites craquelures et repeint sur la grande plaque de la Légion dHonneur)60 x 50 cmTrès beau cadre en bois et stuc doré à palmettes et couronnes de laurier dans les écoinçons.Biographie :Martin Drolling, né le 19 septembre 1752 à Bergheim, alors appelé Oberbergheim, et mort à Paris le 16 avril 1817, est un peintre français de portraits et de scènes de genre. Dorigine alsacienne, Martin DROLLING naît dans une famille nombreuse dont le père, Martin Drölling, clerc du tabellion local, a épousé Catherine Schobler. Il découvre la peinture par hasard et décide den faire lapprentissage. Malgré quelques réticences son père signe le contrat pour quatre années avec un peintre local. Un conflit éclate bientôt entre le maître et lélève qui na plus rien à apprendre de son patron. Il le quitte pour poursuivre son apprentissage à Strasbourg où il partage latelier avec le peintre Maratti. Il sinstalle à Paris, où il entre à lécole des beaux-arts le 4 juin 1779. Il obtient un contrat chez un marchand qui lui offre 30 sous par tableaux. Lorsquil achève sa formation artistique vers 1780, il épouse Madeleine Welker, qui meurt peu après. Il se remarie le 4 mai 1785 avec Louise Elisabeth Belot, fille dun marchand de couleurs pour peintres, avec laquelle il a trois enfants. Laîné, Michel Martin Drolling, naît en 1789 et sera également peintre. Le deuxième, Marius, naît le 27 février 1794, et sa benjamine, Louise-Adéone Drölling, dite « Madame Joubert », naît en 1797. Le couple emménage rue de Seine. Il reçoit les conseils dÉlisabeth Vigée Le Brun qui lemploie comme assistant pour la peinture dobjets dans ses toiles. Elle le présente à Jean-Baptiste Greuze. Il montre de lhabileté pour les scènes dintérieur, les copies et les portraits. Il commence par travailler à la Manufacture de Dilh et Guérhard, associés de la Manufacture du duc dAngoulême, au 22 rue de Bondy à Paris 10e arrondissement, dans lancien Hôtel de la marquise de Ferrières. Cest là quil rencontre Alexandre Brongniart, qui fut nommé directeur de la Manufacture nationale de Sèvres en 1800. De 1802 à 1813, il uvre en qualité de peintre-décorateur à la Manufacture nationale de Sèvres. Il lutte toute sa vie contre la pauvreté. En 1816, il met un tableau en loterie pour payer son logeur. Il meurt à Paris le 16 avril 1817, à quelques jours de louverture du Salon qui verra la foule se presser - enfin ! - devant ses tableaux.
Jacques Louis DAVID (1748-1825), école de« Portrait de Laetitia Ramolino, Mère de lEmpereur Napoléon 1er.»Huile sur toile. Porte une ancienne étiquette manuscrite à lencre sur la toile ainsi quun cachet de cire rouge de collection sur le châssis.Cadre en bois et stuc doré.75 x 60 cmuvres en rapport:Léopold BOILLY, Portrait de Laetitia Ramolino, huile sur toile, 22 x 26, The Bowes Museum.Jean Antoine LAURENT, Portrait de Madame Mère en buste de face, aquarelle et gouache, 16.5 x 13, Vente Osenat, 7 décembre 2008, collection Gérard Souham.
Ecole française du XVIIIème siècle« Portrait de Guillaume Barthélémy Boëry »Gravure ovale rehaussée daquarelle, cadre en bois doré.Diam : 6 cmPortrait de Anne Louise Cadet de Limay (1777-1845), épouse de Hugues Félix Ranqui (1775-1847).Gravure. Diam : 6 cmProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand.
ecole française du xviiième siècle«Portrait de Monsieur Raguenet de la Perrière époux de Suzanne Sophie Paule Guillot des Bordeliers »Miniature ronde signée en bas à droite « G. Godeau, Août 1799 »« Portrait de Sophie Guillot des Bordelier (1758 1821) et de son fils Achille tenant dans sa main un médaillon de son défunt père.»Miniature ronde signée à gauche « Bertrand ».Diam : 8 cmBeaux cadres en bois doréProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand. Biographies :Vincent Bertrand (1770- ?), miniaturisteG. Godeau (XVIIIe siècle)
Ecole française du XVIIIème siècle« Portrait présumé de la première femme du Général Granjean »Miniature ronde sur papier, cadre en bois noirci. (Petites tâches)Diam : 6.5 cmProvenance : Famille du Grand Maréchal Bertrand. Biographie : Balthazar grandjean (1760-1824), général de brigade, chevalier des Grands-Chenets par lettres patentes du 23 juin 1810. Incorporé comme soldat au régiment de Rouergue. Sous les ordres de dEstaing à larmée de Cadix, lors de lexpédition de la Jamaïque en 1782-1783. Congédié par ancienneté le 28 juillet 1785, il revint en Lorraine et reprit ensuite du service à larmée de Moselle en 1793-1794, puis à larmée de Sambre-et-Meuse. Général de brigade le 29 août 1803, il fut employé à larmée de Hanovre en 1804-1805, à larmée du Nord et à la division Michaud en 1806. Il commanda la 3e brigade de la 1re division en 1807 et servit en Espagne de 1808 à 1811. Il prit sa retraite dans le Loiret et devint maire dOrléans en 1815. Armoiries : Dazur, à deux étoiles en bande dor ; bordure de gueules du tiers de lécu, au signe des chevaliers posé au deuxième point en chef ; pour livrées : les couleurs de lécu.
FLANDRIN Hippolyte (1809-1864) Ecole de« LEmpereur Napoléon III, Empereur des Français en uniforme de Général de Brigade dans son grand cabinet des Tuileries en 1861.»Huile sur toile204.5 x 140 cm(réentoilé, usures)Cadre en bois et stuc doré à palmettes uvre en rapportMusée National du Château de Versailles Bibliographie :Constans 1980, n° 1592 Historique :Le prince-président est devenu Empereur des Français sous le nom de Napoléon III. Dès 1853, il confie lexécution de son portrait à Hippolyte Flandrin, un élève dIngres spécialisé dans la peinture religieuse. Flandrin brosse un admirable portrait psychologique qui, en dépit de son caractère officiel, révèle de façon pénétrante la personnalité complexe de lhomme. Lartiste a même su saisir le regard trouble de lempereur. « Cest assurément le premier portrait « vrai » que nous ayons de S.M. » déclare T. Gautier. Cette vérité déplut à Napoléon III au point que la commande fut dans un premier temps annulée. Lempereur préférait le portrait en pied de Winterhalter, tableau aujourdhui disparu, à lallure plus noble et à lidéalisation flatteuse. Napoléon III finit par accepter la toile de Flandrin. Présentée à lExposition universelle de Londres en 1862 puis au Salon de 1863, elle rencontra un grand succès auprès du public.
DISDERI André-Adolphe-Eugène (1819-1889)« Portrait du Prince impérial en uniforme de grenadier de la Garde Impériale»Inscription au dos du cadre : « Photographie de Son Altesse le Prince Impérial (Napoléon IV) à lâge de trois ans. Disderi, photographe de la famille impériale (illisible). »Sous verre. Cadre en bois doréPhotographie : 6 x 6 cm. Cadre 18,5 x 18, 5 cm

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