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Edward Harvey Lloyd (early 19th century) A head and shoulders portrait of a gentleman wearing a black jacket and cravat, pencil and watercolour, together with a further watercolour head and shoulders portrait of a lady in the style of Margaret Carpenter, 28cm by 23cm and 10cm diameter (oval) (2)
Attributed to Joseph Urbain Melin (1814-1886) Portrait of a woman, signed and dated 1842, pencil heightened with white chalk, together with a further 19th century head and shoulders drawing of a gentleman, a drawing depicting bailiffs by Thomas Unwins, another 19th century drawing of figures in an interior, an etching of a Venetian Riva and a further etching of an academic drawing class, 28cm by 22.5cm and various other sizes (6)
Attributed to Sir William Beechey, RA (1753-1839), Portrait of a lady, bust length, wearing a red dress and lace veil, standing beside a sunlit door, oil on canvas, 73.5cm by 61cm In mostly good original condition. Un-lined covered in a layer of dirt and discoloured varnish. There is a v shaped area of damage within the background towards the upper right hand corner approx 0.5-1cm on each side (un visible on photos). A few very minor paint losses in bottom right hand corner. Fine cracquelure throughout. Area of over painting in background above her right hand shoulder. Not examined with a UV light. General knocks and losses to the frame, especially bottom right hand corner. In original early 19th century carved giltwood frame.
Attributed to William Robert Hay (mid 20th century) A head and shoulders portrait of a young gentleman, initialled W.R.H, pencil, together with a small late 19th century pencil study of a young lady reading a book, a pen and ink drawing of a market girl possibly by George Evans, a pencil drawing after Raphael and a collection of miscellaneous etchings, engravings and prints, 15cm by 12cm and various other sizes (qty)
KOMAPOB B **** (20TH CENTURY RUSSIAN) "Cebephas Buma", figures in a winter town landscape, oil, monogrammed "KB" lower right, WALTER WALLIS "Nanette", a head study in profile, oil on canvas laid on board, signed and dated '81 lower right CONDITION REPORTS Winter landscape approx. 52 x 38 cm, overall with general wear and dirt, surface is quite undulating, some scuffs and stains. Portrait with wear and dirt, and some scuffs and marks, size approx. 16 x 24 cm. Both frames in chipped condition and separating at joins. Portrait appears to be framed currently in an inner mount (outer frame missing).
EARLY 19TH CENTURY ENGLISH SCHOOL IN THE MANNER OF SIR THOMAS LAWRENCE "Walter Strickland of Cokethorpe", portrait study, half length, oil on panel, unsigned, titled to plaque on frame, bears old label verso " ... by R Davey, Colour Man to Artists, 83 Newman Street, London ..." CONDITION REPORTS Dimensions : 30 x 25 cm. Wear, scuffs and scratches. Some losses to surface and paint, particularly noticeable to background area. Dull/matt finish to surface. Appear to be some touched up / altered areas - eg around hairline.
Kazuma OBARA (1985-) Photojournaliste japonais, originaire d`Iwate Portrait d`Atsushi Endo, travailleur à la centrale de Fukushima Photographie, impression sur aluminium 42 x 60 cm Photographie certifiée par l`artiste lui-même Bibliographie: ouvrage “Beyond Fukushima , will the Nuclear Catastrophe bring humanity to Its
Kazuma OBARA (1985-) Photojournaliste japonais, originaire d`Iwate Portrait de Tadashi Kato, travailleur à la centrale de Fukushima Photographie, impression sur aluminium 42 x 60 cm Bibliographie: ouvrage “Beyond Fukushima , will the Nuclear Catastrophe bring humanity to Its Senses”, Lars Muller Publishers, 10 mars 2012
Kazuma OBARA (1985-) Photojournaliste japonais, originaire d`Iwate Portrait de Katsuhiro Akimoto Portrait de Tsutomu Tsuji Deux photographies, impressions sur aluminium 42 x 60 cm Photographies certifiées par l`artiste lui-même Bibliographie: ouvrage “Beyond Fukushima , will the Nuclear Catastrophe bring humanity to Its Senses”, Lars Muller Publishers, 10 mars 2012
Henri-Pierre DANLOUX (Paris 1753-1809) « Portrait d’une mère en robe blanche et de son jeune fils » Huile sur toile Signée et datée « H.P Danloux 1800 » au milieu vers la droite 76,9 x 62,5 cm Portraitiste à succès dans la société française post-révolutionnaire, Henri-Pierre Danloux fut contraint de s’exiler en Angleterre. Notre tableau est représentatif de la production de l’artiste lors de son séjour à Londres et en Écosse entre 1791 et 1801. On y retrouve notamment l’influence de Sir Henry Raeburn (1756-1823), grand portraitiste écossais dont la peinture à la fois réaliste et libre est annonciatrice du romantisme. La tendresse qui se dégage de ce portrait de famille l’éloigne toutefois de la rigidité qui caractérise souvent les œuvres anglaises. Bibliographie : - R. PORTALIS, Henry Pierre Danloux : peintre de portraits, et son journal durant l’émigration, Paris : E. Rahir, 1910. - O.MESLAY, « Henry-Pierre Danloux (1753-1809), sa carrière avant l’exil en Angleterre », in Bulletin de la Société d’Histoire de l’Art Français, Paris, 2007 (année 2006), pp. 209-244
Dans le goût de l’école toscane de la fin du XVe siècle Importante suite de vingt-et-un panneaux De résineux (sans cadre) à l’huile et tempera (manques et accidents) dont : - neuf portraits d’hommes en buste de profil (35 x 35 cm chaque) - neuf portraits de femmes de profil (35 x 35 cm chaque) - un portrait de face (35 x 35 cm) - un panneau représentant un personnage tenant une corne d’abondance et un blason au dragon (34 x 35 cm) - un panneau représentant un blason à décor de deux aigles (35,5 x 15 cm) L’ensemble
Alexis GRIMOU (Romont ca. 1678 – Paris 1733) « Portrait de la Comtesse d’Olonne » Pierre noire et sanguine Cachet J.P.H. (John Postle Heseltine-Lugt n° 1507) à gauche sur le montage et W surmonté d’une couronne (Earl of Warwick-Lugt n° 2600) en bas à droite. 31 x 20 cm Alexis Grimou, agréé à l’Académie royale à seulement vingt-sept ans, était surnommé par ses contemporains « le Rembrandt français ». On conserve peu de dessins de ce portraitiste influencé par l’école flamande, davantage connu pour ses portraits de buveurs, et pour les nombreuses anecdotes retraçant le pittoresque de son caractère. Alliant économie de moyen et puissance expressive, Grimou a figuré ici un portrait de la comtesse d’Olonne. Le regard mélancolique, elle est vêtue d’une élégante collerette, d’une robe richement ornée, et porte un chapeau à plume. Catherine-Henriette d’Angennes, comtesse d’Olonne (1634-1714), était célèbre pour ses qualités d’intrigante et de galante, mais aussi pour sa cruauté qui lui attira de vives critiques. « La plus belle fame de son tems, mais moins fameuse pour sa beauté que pour l’usage qu’elle en fit », écrivait à son égard Bussy-Rabutin, qui fut un temps son intime. On reconnaît également sa figure dans la septième édition des Caractères de la Bruyère, ou encore sous la plume peu amène de Saint-Simon. Bibliographie : - L. RÉAU, « Grimou » in Les peintres français du XVIIIe, dir. L. DIMIER, 1930, t. II, p. 213. - E. MAGNE, La comtesse d’Olonne, Paris : Trémois, 1928. - M. GUIRAUD, Catalogue de dessins de l’école française du XVIIIe siècle provenant de la collection Heseltine, galerie Georges Petit, mai-juin 1913. Provenance : - Collection Wildenstein (Connaissance des Arts, n° 148, juin 1964) - Collection Heseltine (racheté en 1912 par P. & D. Colnaghi et Obach ; exposé à la galerie Georges Petit, mai-juin 1913) - Collection Earl of Warwick (Vente Christie, Londres, 20 mai 1896, n° 168)
Martin DROLLING (Oberhergheim 1752 – Paris 1817) « Portrait de Mme Metman lisant dans un paysage » Huile sur sa toile d’origine (restaurations anciennes) 32,5 x 24,5 cm Beau cadre en stuc doré à palmettes, d’époque Empire. Porte une étiquette au verso du cadre : Mme Metman née Anne-Marie Olympe de Lamone (Soisson 10/12/1780 - Pomelles 16/11/1859) Annoté au verso à la plume sur la traverse du châssis : Portrait de Mme Metman peint par Drolling en 1798, mère de cinq enfants dont Henriette Metman épouse du colonel Ed. Fournier sœur d’Elisabeth de Lamone, mère du Cl Fournier. Martin Drölling, est un artiste d’origine alsacienne contemporain de David dont l’œuvre intime se compose essentiellement de portraits et de scènes de genre. À Paris il travailla un temps avec Elisabeth Vigée-Lebrun qui le chargea de peindre des accessoires pour certains de ses portraits. C’est peut-être par son intermédiaire qu’il rencontra Greuze, dont les scènes familiales l’influencèrent fortement. Il travailla également pour la manufacture de Sèvres où il peignit des scènes de genre jusqu’en 1813, et connut un certain succès comme portraitiste mondain. À la foi intime et délicat notre Portrait de femme lisant dans un paysage est typique de la production de l’artiste au tout début du XIXe siècle.
Jean-Baptiste PERRONNEAU (Paris 1715 – Amsterdam 1783) « Portrait de dame à la robe bleue en buste vue de face et portant un fichu de dentelle » Pastel sur papier marouflé sur toile (quelques usures et mouillures) Signé en haut à droite et daté 1744. 64 x 54,5 cm Beau cadre en bois sculpté et doré à décor de coquilles dans les écoinçons, queues de cochons et rinceaux de feuillage, d’époque Louis XV Formé auprès de Natoire, de Laurent Cars puis de Drouais, Perronneau fut agréé à l’Académie Royale en 1746, et reçu huit ans plus tard. Il s’illustra particulièrement dans l’art du pastel, maniant les couleurs et les matières avec raffinement, figurant des modèles aux poses souvent semblables, mais aux expressions naturelles et spontanées. Il a représenté ici à mi-corps une femme en corsage bleu, garni de soie jaune sur le devant, et agrémenté de nœuds de même couleur. L’encolure et les manches sont ornées de dentelles. Les mains croisées, la femme esquisse un léger sourire. Ses cheveux poudrés sont coiffés d’un bonnet de dentelle. On peut confronter notre œuvre aux pastels de Perronneau conservés au Musée des Beaux-arts d’Orléans, comme le Portrait d’Anne-Catherine Chevotet. Coiffée d’un bonnet similaire, elle arbore la même expression contenue ; le chatoiement de son corsage rappelle celui de notre œuvre. Nous remercions Madame Dominique d’Arnoult, spécialiste de l’artiste, de nous avoir confirmé l’authenticité de notre œuvre (après examen de visu) qui sera intégrée dans le catalogue raisonné en préparation. Provenance : - Vente après décès de M. Sigismond BARDAC, Galerie Georges Petit, 10 et 11 mai 1920, n° 28, « Portrait de femme », adjugé 40 000 francs (environ 37 425 €), repr. - Vente au Palais Galliera, 9 décembre 1970, n° 23, « La femme en bleu » Bibliographie : - L. VAILLAT et P. RATOUIS de LIMAY, J.B. Perronneau (1715 – 1783) : sa vie et son œuvre, Paris : G. van Oest, 1923, pp. 204 et 208. - N. JEIFFARES, Dictionnary of pastellists before 1800, Londres, 2006, p. 411, repr.
Bel ensemble de cinq dessins par Dominique-Vivant DENON, dit VIVANT-DENON (Givry 1747 – Paris 1826) Émigré à Venise, Vivant-Denon en fut chassé en 1793 après avoir été accusé d’espionnage pour le compte de la Convention. De retour en France, il fut réhabilité grâce à la protection de David. D’un réel intérêt documentaire, ces portraits de condamnés politiques ont été croqués par Vivant-Denon sur le vif, au moment de leur jugement, ou sur la charrette les menant à l’échafaud. Il a retravaillé plusieurs fois cet ensemble qu’il destinait probablement à la publication. Une série de portraits similaires fut dispersée à Londres en 1961 (coll. Lady Shelley-Rolls, Christie’s, 5 décembre 1961, n° 68-74) ; on les retrouve aujourd’hui au Metropolitan Museum et au Musée du Louvre. Un autre ensemble fut vendu par la galerie Arnoldi-Livie à Munich en 1997. Au milieu du XIXe, Jules Porreau grava pour Vignères, sur des planches individuelles, les portraits de Dantan, Gobel, Hébert, Fouquier-Tinville, Chaumette, Carrier et enfin Cadoudal. a. « Portraits de Gobel et Chaumette vus de profil gauche » Plume et lavis brun sur papier chamois Signé en bas à droite ‘V Denon’ 19 x 19 cm Annoté à la pierre noire en haut ‘Gobel. Archevêque de Paris’, en bas ‘Chaumette Procureur de la Commune - tous deux sur la charrette - Prairial an 2’ Cordeliers et procureur de la Commune, Pierre-Gaspard Chaumette (1763-1794) fut jugé aux côtés d’Hébert, et guillotiné le 12 avril 1794. Evêque constitutionnel de Paris à partir de 1791, Jean-Baptiste-Joseph Gobel (1727-1794) fut arrêté et guillotiné pour son implication aux côté d’Hébert et Chaumette. Une autre version de ces portraits est conservée au Metropolitan Museum. b. « Portrait de profil droit assis de Fouquier-Tinville » Pierre noire et rehauts de blanc (piqûres) sur papier préparé chamois à la pierre noire Annoté en bas ‘Fouquier-Tainville pendant son jugement’ 18,8 x 12,3 cm Antoine Fouquier-Tinville (1746-1795) fut l’un des plus charismatiques ‘accusateurs publics’ du Tribunal révolutionnaire. Après avoir requis la mort de plus de 2000 personnes (dont Danton, Hébert, mais aussi Marie-Antoinette ou Charlotte Corday), et au terme de quarante-cinq jours de procès, il fut exécuté le 7 mai 1795. L’annotation sur la version du Louvre présente la même particularité orthographique : ‘Tainville’, au lieu de ‘Tinville’. c. « Deux portraits de Carrier (l’un de profil droit et l’autre de face) » Plume, lavis brun et rehauts de blanc sur papier préparé chamois Annoté en bas à la pierre noire ‘Carrier pendant son procès’ 12,5 x 18,3 cm Impitoyable acteur de la Terreur à Nantes, le député du Cantal Jean-Baptiste Carrier proposait le 9 mars 1793 « l’établissement d’un tribunal révolutionnaire ». Il y fut lui-même jugé, puis guillotiné en place de Grève le 26 Frimaire an III (16 décembre 1794). La version conservée au Louvre présente également son portrait de face et de profil. d. « Deux portraits de Georges Cadoudal vu de trois-quarts » Plume et lavis brun, annoté en bas à la pierre noire ‘Georges Cadoudal’ 13 x 18 cm Fameux général chouan, Georges Cadoudal est ici associé aux figures des révolutionnaires. Après deux conspirations contre Bonaparte, il fut arrêté en mars 1804, et guillotiné le 12 juin de la même année. Vivant-Denon était alors directeur du Musée Napoléon. Il représente Cadoudal au Tribunal, puis sur la charrette. Absent de la série anglaise, Cadoudal était représenté dans celle qui fut vendue à Munich chez Arnoldi-Livie. e. « Portrait en buste de Danton vu de face et Hébert vu de profil » 18 x 12,3 cm Pierre noire et encre brune (piqûres) sur papier préparé chamois Annoté en bas à la pierre noire ‘Danton au tribunal révolutionnaire et Hébert ou le père Duchesne sur la charrette. Hébert pamphlétaire.’ « Soyons terrible pour dispenser le peuple de l’être », s’était exclamé Danton lors des débats entourant la création du Tribunal révolutionnaire. Le 16 germinal an II (5 avril 1794), un an après son instauration, Danton lui-même y était condamné à mort. Révolutionnaire autrement plus radical, Hébert animait le virulent journal du Père Duchesne. Il fut jugé entre le 21 et le 24 mars 1794, puis également guillotiné. La version du Louvre présente Danton, Hébert, et un troisième personnage, ‘inconnu sur la même charrette’. Beaux cadres en bois polychrome à décor de feuilles d’eau et perles de la fin du XVIIIe siècle Les cinq :Bibliographie : - P. ROSEMBERG, M.-A. DUPUY-VACHEY, Dominique-Vivant Denon : L’œil de Napoléon, cat. d’exposition, Paris : Musée du Louvre, 20 octobre 1999 – 17 janvier 2000, Paris, 1999. - M.-A. DUPUY-VACHEY, « Quelques têtes de révolutionnaires par Denon (1747-1825) » in Revue du Louvre, Paris, 2003, voir pour comparaison pp. 53-59

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