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Lot 544

A large brass and glass coffee table, the square top with drop in glass plate on rectangular legs united by interlaced stretchers and glass shelf, 110cm wide x 42cm high x 110cm deep

Lot 546

An oak side table, the moulded rectangular top shaped apron raised on baluster turned legs united by stretcher, 63cm wide x 70cm high x 46cm deep

Lot 4

VERRE AUX ARMES DE LA FAMILLE SFORZA PROBABLEMENT COMMANDÉ PAR LUDOVIC LE MORE Murano, fin du XVe siècle MATÉRIAUX Verre et émaux polychromes Pied en argent du XIXe siècle probablement italien (poinçon non identifié) Dim. du verre seul : H. 14 cm, Diam. 12, 3 cm Dim. totale : 28,2 cm Pied d’époque postérieure Ce grand verre de forme conique est décoré d’émaux peints polychromes aux armes de la famille Sforza, Ducs de Milan. Il est tout à fait similaire à celui conservé au Castello Sforzesco de Milan qui appartenait probablement à un service de table commandé par Ludovic le More (1452 - 1508) à la fin du XVe siècle . Sur deux faces, il présente un écu aux bords chantournés montrant un aigle et un serpent noir en écartelé se détachant respectivement sur un fond jaune et blanc. Chacune de ces armoiries, ponctuée d’une couronne ouverte, est encadrée et surmontée d’un cordage entrelacé et de branchages. Ces armoiries manifestent la filiation de cette branche milanaise avec les Visconti en y associant l’Empire. Le col est souligné d’une double frise de perles blanches entourant des pastillons rouges et blancs inclus dans des alvéoles imitant des écailles. Ce verre repose sur un piètement bagué en argent du XIXe siècle (poinçon non identifié) décoré de perles et de feuilles d’acanthe dans la grande tradition de l’ornementation de la Renaissance. Il repose sur trois pieds en applique de style rocaille. L’œuvre conservée au Castello Sforzesco possède également un pied postérieur. Vers le milieu du XVe siècle, les verriers de Murano décident d’abandonner les productions d’usage courant pour se tourner vers la création d’objets de grand luxe. Qualité et élégance deviennent les seuls objectifs des verriers de l’île pour satisfaire une clientèle noble dans toute l’Europe. C’est à cette date qu’Angelo Barovier (vers 1405 - vers 1460) met au point le cristallo donnant au verre, débarrassé de toutes scories, une pureté et une transparence jusque là inégalées. À ce titre, il se fait inviter à la Cour de Francesco Sforza, Duc de Milan en 1455 où il rencontre le célèbre architecte milanais Antonio Averlino dit le Filarete. Preuve du grand intérêt que portaient les oligarques de Milan pour cette verrerie, l’architecte projeta de créer une cité idéale, la Sforzinda, où les murs et le trône de ce palais devaient être recouverts de verre. C’est dans la seconde moitié du XVe siècle que la verrerie s’agrémente d’émaux polychromes fusibles. Sous l’effet des commandes prestigieuses de la noblesse italienne et européenne, les verriers vont utiliser les armoiries de leurs commanditaires comme décor principal de leurs gourdes, verres et gobelets. Citons par exemple cette « gourde de pèlerin » conservée au Museo Civico de Bologne où l’on observe ce même emploi de pastilles de couleurs sur l’ensemble de la pièce décorée au centre de l’aigle de Sforza associé aux armes de la Famille d’Ippolita Bentiviglio avec laquelle Alexandre Sforza se maria en 1492. Au regard du verre conservé au Palais Sforzesco, on retrouve dans notre Å“uvre toute la qualité du célèbre vetro cristallo d’une incroyable légèreté, tant dans la richesse de la polychromie de l’émail que dans la pureté du matériau. Ludovic Sforza, dit le More, est le quatrième fils du grand condottiere Francesco Sforza et gouverna Milan à partir de 1480. Avec son épouse Isabelle d’Este, il tenta de faire de la Cour milanaise un des plus attractifs centres culturels pétris des idées de la Renaissance en s’entourant de Bramante ou de Leonard de Vinci. Chassé de son duché en 1499 par Louis XII, il est emmené en France où il décède en 1508. L’engouement suscité par ce type de verrerie fut tel que les oligarques de la ville de Venise incluaient lors des visites protocolaires un passage sur l’île de Murano. À ce titre, Béatrice d’Este, épouse de Ludovico Sforza, déclare à son époux en 1493 avoir vu Place Saint Marc « une telle abondance de verre que c’en était une merveille ». En parfait état, cet objet est un très rare témoignage de l’art du verre à Venise de la fi n du XVe siècle. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Collectif, Grandi Collezioni di Arte Decorative nel Castello Sforzesco, éd. Banco Popular di Milano, 1976 Attila Dorigatto, Le verre de Murano, éd. Citadelles et Mazenod, 2003

Lot 26

TABLE À MÉCANISME Par Léonard BOUDIN (1735-1807) Reçu Maître le 4 mars 1761 Paris, vers 1775 MATÉRIAUX Bâti de chêne et de sapin, placage de bois de rose, satiné, sycomore teinté, filets de bois clair et bronzes dorés Estampillé BOUDIN H. 74 cm, L. 62 cm, P. 43,4 cm M ontée sur quatre hauts pieds fuselés en gaine, cette exceptionnelle table de forme rectiligne présente un astucieux mécanisme en son plateau qui coulisse pour permettre une plus grande ouverture du tiroir en ceinture découvrant trois compartiments dont deux à volet mobile faisant apparaître des casiers. Au centre, le volet basculant devient pupitre tandis qu’un second ouvre sur le casier. Ce meuble présente une marqueterie à toutes faces de grande qualité. Le plateau est orné d’une composition centrale faite d’objets à la chinoise, vases fl euris, porte-pinceaux ou boites, encadrée d’une large frise de quatre-feuilles dans un quadrillage losangé souligné d’une baguette de bronze doré. Ce décor n’est pas sans rappeler les créations de Charles Topino (1742- 1803) qui s’était fait une spécialité des compositions dites « aux ustensiles chinois », dont la source est à chercher auprès des panneaux de paravents chinois importés dès la fi n du XVIIe siècle et qui furent une grande source d’inspiration pour de nombreux ébénistes. Les volets découvrant les petits compartiments reprennent le même motif de vases fl euris et de quadrillage à quatre-feuilles. Une frise de postes à boutons de fl eurs court sur le pourtour de la ceinture rythmée aux angles de butées à rosace en bronze. Une baguette de bronze souligne la partie inférieure de la ceinture. Les pieds fuselés terminés par des sabots feuillagés, s’agrémentent sur ses quatre sections d’une très élégante chute de culots en dégradé surmontés de pastillons. Cette table, d’une très haute qualité d’exécution, est probablement une commande particulière portant la marque de Léonard Boudin, peut être en qualité de Marchand-mercier. Après avoir fourni au début de sa carrière des ébénistes comme Pierre IV Migeon en meubles marquetés ou vernis à l’imitation de la Chine, Léonard Boudin, par la qualité de ses réalisations s’émancipe de ses confrères et ouvre en 1772 son propre magasin dans le quartier du Palais Royal. Il fait alors appel à des artisans comme Charles Topino (Maître en 1773), Pierre Denizot (Maître en 1760) ou Maurice-Bernard Evalde (Maître en 1765). Cette seconde activité de Marchand-mercier prend le pas sur celle d’ébéniste et en 1791, il n’est plus mentionné dans l’Almanach du Commerce, qu’en qualité de marchand. L’estampille de Léonard Boudin est à considérer comme une marque commerciale. S’il n’est pas le créateur du meuble, les exigences de Boudin en matière de sous-traitance comptent tout autant que ses qualités d’artisan. Il peut être possible d’attribuer certains meubles à des ébénistes qui ont Å“uvré pour Léonard Boudin, ceux-ci révélant la personnalité stylistique de leur auteur. Ainsi, paysages et architectures en marqueterie rappellent les Å“uvres d’André-Louis Gilbert (Maître en 1774), certaines formes, comme le petit secrétaire à abattant conservé au Cleveland Museum of Art font penser à Roger Vandercruse, dit Lacroix (Maître en 1755), les marqueteries d’objets chinois renvoient indéniablement à Charles Topino. Ce dernier est d’ailleurs mentionné à de nombreuses reprises dans les livres-commandes de Boudin entre 1772 et 1775. Malgré des origines parfois imprécises, les meubles portant l’estampille de Léonard Boudin reflètent le « Goût Boudin », variés mais toujours de très haute technicité et d’exécution irréprochable.

Lot 33

TABLE À ÉCRIRE Par Roger VANDERCRUSE, dit LACROIX (1728-1799) Reçu Maître en 1755 Paris, vers 1775-1780 MATÉRIAUX Bâti de chêne, placage de bois de rose, satiné et sycomore, cuir et bronzes dorés Estampillé R.V.L.C. et marque JME H. 72,5 cm, L. 86,7 cm, P. 50,8 cm De forme rectiligne, la table à écrire à trois tiroirs en façade, auxquels répondent trois faux tiroirs sur la face opposée, repose sur quatre pieds fuselés de section quadrangulaire. Le plateau est garni d’un maroquin doré au petit fer dans un encadrement de placage de sycomore. La ceinture est ornée d’une fine marqueterie de quatre-feuilles dans un quadrillage losangé à encadrements de bois de rose. Les butées d’angle sont revêtues de cannelures rudentées en bronze doré, motif repris entre les trois tiroirs dynamisant la façade. Les pieds sont ornés de pastillons de bronzes en leur sommet, de chutes de culots en dégradé sur les quatre faces et de sabots en gaine. À la sobriété et la pureté de la forme générale du meuble répond une très élégante et raffinée marqueterie géométrisante dont Roger Vandercruse dit Lacroix s’était fait une spécialité maîtrisant à la perfection le style Transition avec ses formes droites et élégantes, ses décors raffinés aussi bien sur des petits meubles que des plus imposants .

Lot 44

TABLE TRAVAILLEUSE Par Jacques Laurent COSSON (1737 - 1812) Reçu Maître le 4 septembre 1765 Paris, vers 1780-1790 MATÉRIAUX Bâti de chêne, acajou et placage d’acajou, bronzes dorés et laiton Estampillé J.L. COSSON et marque JME H.72,5 cm, L. 59 cm, P. 30 cm Cette petite table légère en acajou et placage d’acajou présente un plateau à cuvette de section hexagonale àbordure et décrochements soulignés d’une baguette en bronze doré. Sa ceinture ouvre par trois petits tiroirs sur le pourtour à l’aide de boutons poussoirs et repose sur deux pieds lyre ajourée réunis par une entretoise ellipsoïdale. La terminaison du piètement ornée d’un fin encadrement de section carrée en bronze se sépare en deux patins. Maniable, mobile et léger, ce type de meuble servant d’appoint près d’un siège ou d’une table de salle à manger, fut très apprécié de la clientèle parisienne dans le troisième quart du XVIIIe siècle. Dans les inventaires d’époque, il y est fait mention de différentes tables, « table creuse », « table en auge », « table en crachoir », « table vide-poche » aux noms variés mais de conception identique. Nous pouvons citer par exemple, la « table chiffonnière en auge » signée Jean-Henri Riesener et livrée à Marie Antoinette en 1788 destinée à recevoir les ouvrages des dames, la « table tricoteuse » de R.V.L.C. conservée au Musée Carnavalet ou la « table vide-poche » non estampillée du Musée Jacquemart-André . Les différents termes utilisés pour désigner un même type de meuble à plateau creux destiné à recevoir des objets sans risque de les perdre fait pencher la critique pour une conception née d’un Marchand-mercier faisant appel à plusieurs ébénistes. Le nom de Dominique Daguerre a été avancé mais sans certitude. Toujours est-il que l’ébéniste concepteur de la table que nous présentons s’est inspiré des modèles vus chez ses confrères en adaptant la forme à un schéma plus géométrique. Installé à l’enseigne du « Grand Monarque », rue de Charonne, Jacques Laurent Cosson travailla pour les Marchands-merciers ainsi que pour certains de ses confrères, comme Pierre Migeon ou Louis Moreau. L’œuvre que nous présentons est caractéristique de sa production dans la grande tradition néoclassique du style Louis XVI. Commodes, bureaux plats, secrétaires et petites tables sont plaqués d’acajou soulignés de baguettes d’encadrement en bronze doré. Il conçut également avec habileté des ouvrages aux placages d’essences de bois variés aux motifs géométrisant. Notre table est la parfaite illustration de son Å’uvre où mesure et élégance du matériau est au service de la pureté des formes. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Anne Forray-Carlier, Le Mobilier du Musée Carnavalet, éd. Faton, Dijon, 2000 Bill G.B. Pallot, Nicolas Sainte Fare Garnot, Le Mobilier français du Musée Jacquemart-André, éd. Faton, Dijon, 2006 Marie-Noël de Gary (sous la Direction), Musée Nissim de Camondo, La demeure d’un collectionneur, éd. Les Arts décoratifs, Paris, 2007

Lot 53

TABLE LEGÈRE D’après un modèle de Jean-Henri RIESENER France, époque Napoléon III MATÉRIAUX Bâti de chêne, acajou, placage d’acajou et bronzes dorés H. 76 cm, L. 59,5 cm, P. 43,5 cm De forme rectangulaire, cette table volante en acajou et placage d’acajou ouvre par un tiroir en ceinture. Le plateau est ceint d’une galerie ouverte sur la façade de bronzes dorés ajourés à motif de feuilles d’acanthe soulignée d’une frise de rais-de coeur et de denticules faisant le lien avec la ceinture. Les quatre côtés de cette dernière sont ornés d’un encadrement de bronzes en rais-de-coeur, les petits côtés sont centrés d’une fi gure casquée sur fond de feuilles d’acanthe, la façade est quant à elle dotée d’une riche entrée de serrure à deux putti s’affrontant évoluant sur des nuées. Les butées d’angle offrent une très gracieuse chute de fl eurs et de guirlandes se prolongeant sur la frise de tores de laurier qui souligne la partie inférieure de la ceinture. Les pieds fuselés en gaine sont rythmés de viroles en bronze et terminés en sabots cannelés rudentés à roulette. Une tablette d’entrejambe concave ceinte d’une galerie croisillonnée lie le piètement. Ce meuble est une réplique conforme d’une table exécutée par Jean- Henri Riesener (1734-1806) vers 1780-1781 commandée par Pierre- Elisabeth de Fontanieu, Intendant général des Meubles de la Couronne de 1768 à 1784. À l’origine celle-ci présentait un plateau et une ceinture plaqués de cristaux de couleur. Très fragile, cette mosaïque fut remplacée dans les dernières années du XVIIIe siècle par un placage d’acajou. L’entrejambe semble avoir été ajouté plus tard. Elle fut présentée à Marie Antoinette en 1781 par Fontanieu qui en fut conquise. Rachetée par l’Impératrice Eugénie, elle fut installée en 1867 au Petit Trianon et fait aujourd’hui partie des collections du Musée du Louvre. La table que nous présentons reprend à l’identique les éléments modifiés depuis l’origine de sa création et semble donc avoir été réalisée après son entrée dans les collections impériales. Malgré l’absence de signature, le créateur est vraisemblablement un artiste de haut renom compte tenu de la qualité exceptionnelle d’exécution du meuble.

Lot 98

AN EPNS TABLE SERVICE IN OAK CANTEEN

Lot 138

A SET OF FOUR VICTORIAN SILVER TABLE SPOONS, FIDDLE PATTERN, LONDON 1848, 10OZS

Lot 139

MISCELLANEOUS SILVER FLATWARE AND OTHER ARTICLES TO INCLUDE TWO GEORGE III TABLE SPOONS, 7OZS WEIGHABLE

Lot 147

TWO SETS OF THREE VICTORIAN SILVER TABLE SPOONS, BOTH FIDDLE PATTERN, BOTH LONDON, 1840 AND 1848, 14OZS 10DWTS

Lot 148

EIGHT GEORGE III SILVER TABLE SPOONS, OLD ENGLISH PATTERN, INCLUDING A PAIR, ALL LONDON, VARIOUS DATES, 15OZS 10DWTS

Lot 151

TWO GEORGE III SILVER TABLE SPOONS, LATER CHASED AND GILT AS A PAIR OF SERVING SPOONS, BOTH LONDON 1789, 3OZS 10DWTS

Lot 152

A SET OF TWELVE GEORGE III SILVER TABLE KNIVES, WITH REEDED HAFT, LONDON 1811

Lot 278A

MISCELLANEOUS CERAMICS AND GLASS AND PICTURES AND PRINTS AND DECORATIVE REPRODUCTION TABLE LAMP THE COMPOSITION BASE SET WITH FIGURES OF TWO CHILDREN

Lot 369

A GEISHA MAHOGANY STAINED WOOD TABLE GRAMOPHONE AND A QUANTITY OF 78RPM RECORDS, EARLY 20TH C

Lot 378

A QUANTITY OF VINTAGE TABLE LINEN

Lot 393

AN INDIAN CARVED AND INLAID OCCASIONAL TABLE ON THREE ELEPHANT HEAD SUPPORTS, VARIOUS PICTURES AND PRINTS AND A METAL GUN CABINET

Lot 464

AN OAK NEST OF THREE TABLES WITH PIERCED TRESTLES, AN OAK DROP LEAF TABLE AND A DESK

Lot 466

A PINE DROP LEAF TABLE ON TURNED LEGS

Lot 476

AN INLAID WALNUT TRIPOD TABLE AND A PAIR OF REGENCY STYLE MAHOGANY ARMCHAIRS

Lot 484

A LIGHT WOOD TREFOIL SHAPED OCCASIONAL TABLE, A SMALL OAK OCCASIONAL TABLE AND AN OAK BUREAU

Lot 488

A CARVED AND STAINED OAK TWO TIER OCCASIONAL TABLE

Lot 492

AN EDWARDIAN MAHOGANY OCCASIONAL TABLE ON SIX SCROLLING LEGS

Lot 507

A GRAINED ROSEWOOD DINING TABLE ON TRESTLES WITH PEGGED STRETCHER AND A SET OF SIX QUEEN ANNE STYLE MAHOGANY STAINED DINING CHAIRS

Lot 517

A REPRODUCTION CARVED OAK HUTCH WITH LINEN FOLD PANELS AND A SIMILAR OAK SIDE TABLE

Lot 519

A MAHOGANY AND CROSSBANDED SIDE TABLE ON CHAMFERED SQUARE LEGS

Lot 94

Unframed indistinctly signed oil on canvas, modern British school. Still life study of a vase of flowers and fruit on a table before window. 24" x 20".

Lot 618

Three plastic boxes containing plates, goblets, ashtray, table lighter, caret set, cutlery- trays etc.

Lot 693

A 19th Century oak side table, fitted with one long and two short drawers on square tapering supports.

Lot 744

A 19th Century mahogany Pembroke table with single fitted drawer, raised on turned supports...

Lot 746

A small 19th Century mahogany tilt top pedestal table on triform base, together with a mahogany side table, fitted with one drawer on square supports.

Lot 760

An eight piece Vienna Art Noveau dressing table set (A/F).

Lot 777

A Continental table ornament decorated with cherubs and flowers.

Lot 793

A reproduction oak draw leaf table together with a set of six ladder back dining chairs with rush seats.

Lot 838

A 19th Century mother of pearl and ivory inlaid Anglo Indian table. Height 22 1/2 inches.

Lot 849

A pair of Japanese decorative table lamps with shades.

Lot 17

After RAOUL DUFY, bears signature mixed media on paper, impressionist interior scene with various items on a table 15 1/2" x 11 1/4".

Lot 2002

WALNUT DINING ROOM SUITE comprising sideboard, table and chairs

Lot 2043

PAIR OF MAHOGANY DEMI LUNE DINING TABLE END SECTIONS on square tapered legs, 123.5cm diameter

Lot 2053

GOOD MAHOGANY DINING ROOM SUITE comprising ten Hepplewhite style dining chairs including two carvers, table and breakfront sideboard

Lot 2055

VICTORIAN WALNUT LOO/BREAKFAST TABLE the oval top inlaid with urn motifs and crossbanding, 132cm x 103cm

Lot 2057

EARLY 20TH CENTURY OAK BREAKFAST TABLE the rectangular top on baluster supports joined with stretchers, 184cm long, 92cm wide

Lot 2066

AMERICAN OAK MISSION CENTRE TABLE, c.1900 the circular top with undershelf and rectangular section supports joined with stretchers, 81cm diameter

Lot 1806

PAIR OF SILVER TABLE CANDLESTICKS with hexagonal stems and square bases, Birmingham marks, 23cm high

Lot 1839

SUITE OF CONTINENTAL SILVER CUTLERY IN A WOOD CANTEEN including table forks and silver handled table knives, table spoons, fish knives and forks, the total weight (excluding silver handled knives) 2915g

Lot 1844

PAIR OF SILVER TWO BRANCH TABLE CANDELABRA with cylindrical nozzles on serpentine shaped stems to a hexagonal base, Birmingham marks, 18cm wide

Lot 1927

PAIR OF 19TH CENTURY CELESTIAL AND TERRESTRIAL TABLE GLOBES by Kirkwood`s, of traditional design with brass meridian rings, on cast iron and wood tripod stands, one maker`s cartouche inscribed "Kirkwood`s New Terrestrial Globe with the very latest discoveries", the other "Kirkwood`s New Celestial Globe", the globes each 15cm diameter, each 36cm high overall

Lot 2020

LATE 19TH CENTURY INLAID MAHOGANY TEA TABLE the hinged turnover top inlaid with a starburst design, on square legs, 111cm wide

Lot 2021

EARLY 20TH CENTURY OAK CREDENCE TABLE the hinged turnover top on stretchered supports, 77cm wide

Lot 2031

ART NOUVEAU OAK SIDE TABLE bow fronted and on square legs, 132cm wide

Lot 167

A Chinese Carved Jade Table Lamp. h: 21 x w: 6.25 in. Note condition: chips and losses.

Lot 168

A Chinese Carved Jade Table Lamp. h: 19.50 x w: 8.50 in. Note condition: chips and losses.

Lot 175

A Venetian Clear Glass Flower Form Table Lamp. h: 17.25 x w: 14.50 x d: 12.50 in. Note condition: repair to flower stem.

Lot 178

An American Slag Glass Table Lamp, Early 20th Century. In working order with illuminated base. h: 24 x w: 21 in. Note condition: cracks in brass support near base.

Lot 184

A Rorimer and Brooks Carved Oak Refectory Table, Early 20th Century. h: 30 x w: 75 x d: 36 in. Note condition: surface scratches and wear throughout.

Lot 192

A Biedermeier Style Maple Console Table, 20th Century. h: 28 x w: 17 x d: 9 in.

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