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Priscilla Coleman (American, 20th century): three original courtroom sketches created for ITN (now ITV News), depicting scenes from The Birmingham Six trial, The Guildford Four trial, and The Guinness Trial, pastel on card, all framed and glazed, largest 49.5 by 60cm, framed, 69 by 78.5cm. (3)
Delphin Enjolras (1857-1945) FrenchAfter the BallSigned, pastel on coloured paper, 71cm by 52cm In an overall good state of preservation. Glazed in frame. Some buckling / rippling to corners in general most pronounced to upper left. Overall colour depth remains good. Not examined out of the frame.
David Greenwood (Northern British Contemporary): 'Byword - Prince of Wales's Stakes', pastel signed and dated 2010, 40cm x 30cm Notes: Byword, the British Thoroughbred Bay, won the Prince of Wales's Stakes in 2010 with a time of 2:05.35, ridden by Maxime Guyon, trained by André Fabre, and owned by Khalid Abdullah.Condition Report:Very good condition - ready to hang
Bernard Myers (1925-2007) - Everlasting flowers in a white pot, oil and pastel on paper, signed lower right, with New Grafton Gallery of 42 Old Bond Street, London, label verso stating exhibited 14.2.1980, 33 x 24cmFramed, mounted and glazed.With large areas of mould beneath glass to mount due to damp.Very slight rippling to paper.Colours appear good and original.
MICHAEL HEIZER (B. 1944)Offering no. 8 1988 signed, partially titled and dated 88 gouache, oil pastel, pencil and silkscreen on paper131 by 131 cm. 51 9/16 by 51 9/16 in. Footnotes:ProvenanceM. Knoedler & Co., Inc., New York Dr. Maury P. Leibovitz Collection, New York (acquired from the above in 1989) Private Collection, US Thence by descent to the present ownerThis lot is subject to the following lot symbols: ** VAT on imported items at a preferential rate of 5% on Hammer Price and the prevailing rate on Buyer's Premium.For further information on this lot please visit Bonhams.com
A box of miscellaneous designer fabrics, to include: psychedelic pastel design, blue with pink detail; Liberty woollen fabric; multi-coloured and pink floral patterned fabric etc. Also a collection of woollen dress/suit fabrics, to include: tartan in blue/green plaid, viyellas, paisleys and mauve leaf design.
Dorian Levine (British 20th Century) An abstract charcoal / pastel on paper portrait painting study of a female nude lady by the artist Dorian Levine and taken from a London gallery sale, circa early 2000's. The painting measures 48cm x 38cm Framed & glazed. Provenance; all works originally from the 'Dorian Levine Exhibition - 80 Years Accumulation Of Watercolours & Drawings' held at Lauderdale House, London, N6 in the early 2000s. Image of the event poster features in all lots for illustration purposes and is not included with any artwork.
Jean Étienne Liotard (1702-1789), Portrait de Madame d'Epinay, 1751-1752, pastel sur papier, 48,5x38 cm Bibliographie: Ruth Plaut-Weinreb, Eagle in a gauze cage: Louise d'Epinay femme de lettres, ed. AMS Press, New York, 1993, fig. 1, ill.; Ruth Plaut-Weinreb, Double vision : Jean-Etienne Liotard’s portraits of Louise d’Epinay, in The Past as Prologue, Essays to celebrate the twenty-fifth anniversary of ASECS, ed. by Carla H. Hay with Syndy M. Conger, publ. for the American society for eighteenth-century studies, 1995, p. 391, ill.; Neil Jeffares, Dictionary of pastellists before 1800, Unicorn Press, Londres, 2006, p. 345Provenance: Comte de Ségur (Collection Château de Méry-sur-Oise); Vente Palais Galliera, Paris, 11 mars 1975, no. 4; Famille d'Epinay, puis resté dans la famille jusqu'à ce jourExposition: Madame d’Épinay: 1726–1783, une femme au siècle des Lumières, Épinay-sur-Seine, hôtel de Ville, 1983, 19.xi.–4.xii.1983, cat. Pierre-Marie Tyl, no. 68Nous remercions Madame Renée Loche pour son aide dans la rédaction de cette notice Note: Ce pastel doit avoir été exécuté lors du séjour de l’artiste à Paris entre 1751-1752 et non pas à Genève comme le suggère Ruth Plaut-WeinrebCette Å“uvre du célèbre pastelliste genevois Jean Etienne Liotard est le portrait de Madame Louise La Live d’Epinay (1726-1783). Resté dans la famille depuis sa création au XVIIIe s. et connu uniquement d’une médiocre photographie dans les archives, ce dessin a pu être attribué grâce à nos recherches et au concours de l’experte référente. Nous aurons le plaisir de proposer cette Å“uvre inédite aux enchères le 15 mars prochain.Madame Louise La Live d’Epinay, née Pétronille de Tardieu d’Esclavelles en 1726 à Valenciennes, est une femme de lettres du XVIIIe siècle. Ecrivaine prolifique, qui laisse de surcroît derrière elle une abondante correspondance privée, elle fut en avance sur son temps et à l’origine de plusieurs salons littéraires.Après un mariage peu heureux, 2 enfants et une vie au château de la Chevrette près d’Epinay-sur-Seine, elle obtient la séparation des biens pour cause d’adultère avec son époux et rejoint Paris en 1749. Elle y fréquente les salons littéraires et y rencontre Jean-Jacques Rousseau avec lequel elle entretient des échanges intellectuels dynamiques qui mènent à une estime réciproque. Rousseau écrira d’elle dans ses confessions : « Elle était aimable, avait de l’esprit, des talents ; c'était assurément une bonne connaissance à faire. […] madame d'Épinay, à qui la nature avait donné, avec un tempérament très exigeant, des qualités excellentes […]»1. Devenue bienfaitrice de Rousseau, elle fait construire pour lui l’Ermitage dans la vallée de Montmorency où l’écrivain commence la rédaction de La Nouvelle Héloïse. En 1757, Mme d’Epinay et Rousseau se brouillent et ce dernier quitte définitivement l’Ermitage. Au cours de la même année, elle part à Genève pour se faire soigner par le célèbre docteur Théodore Tronchin. C’est ainsi que Mme d’Epinay commande son portrait à Liotard pour le remercier de ses soins, portrait qui se trouve actuellement au Musée d’Art et d’Histoire de Genève : il s’agit d’un pastel célèbre, sur lequel on voit Madame d’Epinay, l’air espiègle, un doigt sur le menton, tenir négligemment un livre de l’autre main. Les ressemblances physiques entre notre portrait et celui du MAH ont permis de confirmer l’identité du personnage représenté.Durant son séjour à Genève, Madame d’Epinay côtoie la haute société culturelle et sociale de la ville et fait apparaître notamment François Pierre Pictet (1728-1798) sous les traits de Moulineaux dans son conte en vers Le Cadran de l’amour 2 … A l’instar de Madame d’Epinay, Jean-Etienne Liotard évolue à la même période dans les mêmes cercles. Ainsi, on pourrait supposer que notre pastel a été exécuté durant cette période, à savoir entre 1757 et 1759. Toutefois, quelques années auparavant, l’artiste effectue également de nombreux séjours à Paris. Il est donc fort probable, au vu du jeune visage représenté, que le célèbre portraitiste genevois ait rencontré Madame d’Epinay à cette période et l’ait dessiné à Paris vers 1751-1752.1Jean Jacques Rousseau, Confessions, Charpentier, Paris, 1862, p. 3362 Archives de la famille Pictet en ligne, https://www.archivesfamillepictet.ch, consulté le 13 février 2023
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