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MARIE LAURENCIN (1885 - 1956) Trois jeunes filles au jardinHuile sur toileSignée en haut à droite41 x 33 cm - 16 1/8 x 12 7/8 in. Provenance : Mme de La Chapelle (Galerie Bénézit), ParisHerman C. Goldsmith, New YorkHenry Salfeld, Etats UnisVente, New York, Sotheby`s, 14 mai 1997, reproduit sous le numéro 266Collection Fontaine Froide, BeauneBibliographie : Marie Laurencin, Catalogue raisonné de l`œuvre Volume II, Peintures Céramiques Œuvres sur papier, Daniel Marchesseau, Editions du Musée Marie Laurencin, Japon, 1999, décrit et reproduit sous le numéro 1621 page 248
ƒ ANDRE LHOTE (1885 - 1962) Les fiancés, 1908Huile sur toileDédicacée, titrée et datée "08" en bas à droite86 x 58 cm - 33 3/4 x 22 3/4 in. Note de Monsieur Jean Gouin, neveu d`André Lhote : Il s`agit de Gustave Tronche, ami d`enfance de Lhote, et de sa fiancée, Jeanne Hayet, dont Lhote épousera la sœur MargueriteProvenance : F.Legrand-Kapferer, Paris le 30 septembre 1991Expositions : "André Lhote", Musée de Valence, 2003, référencé dans le catalogue de l`exposition sous le numéro 8 "André Lhote" : Fondation MAPFRE, Madrid, du 23 janvier au 18 mars 2007Musée des Beaux- Arts de Bordeaux, du 4 avril au 26 août 2007, référencé page 307 du catalogue
A 14ct rose gold full hunter Gent’s Pocket Watch, by American Waltham Watch Co. no. 3021944 with keyless wind, the attractive chased case depicting a harbour, 1 1/2” (4cms), together with a small Elgin 14ct gold filled keyless full hunter Gents Pocket Watch (lacking ring suspender). (2)
A set of framed military medals, including WW1 service medal (1914-1918); the 1914-1915 star; the Victory medal; The Most Excellent Order of the British Empire (CBE); King George V’s coronation medal, 1911; a George VI defence medal,-the majority to Capt. William Bowden-Smith; and a bronze medal commemorating the coronation 1911 for Mayor Alderman, T. Scott Foster J.P. 1911. (a lot)
A large brass microscope, by S. Mawson and Thompson, 7-12 Aldersgate Street, London, EC, signed on the base, with an assortment of original fittings in various slots, including lenses, light glasses, lens covers, etc. 16.5” (42cms), in tall mahogany case with brass handle, and fitted drawer with numerous specimen slides, 20” (51cms)h x 9.5” (24cms). (1)
A very good pair of heavy brass mounted rouge marble urns and covers, 19th century in the manner of Matthew Bolton, each with a pineapple finial above a pierced rim, the urns with a band of overlaid brass scrolling foliage and supported by three ram’s masks with lion paw feet on a triform marble base, 18” (46cms)h. (2)
A part Mason’s Ironstone dinner service, early 19th century, comprising fourteen plates, 10.25” (26cms); five soup / pudding bowls, 10.25” (26cms); seven various graduating meat platters; a pair of sauce boats, a large soup tureen cover and stand; five small side plates; and a pair of sauce tureen stands. (38)
A part Mason’s Ironstone dinner service, early 19th century, comprising a large two handled tureen; a sauce tureen and cover; two large tureen covers; a large tureen stand; five heavy meat platters; 30 large dinner plates, 10.25” (26cms); twelve soup / pudding bowls, 10.25” (26mcs); and two smaller side plates, 9” (22cms). (55 in all)
An English stoneware soup tureen and cover, 19th century; another similar (lacking cover); a Copeland pierced fruit basket with two handles; a Mason’s Ironstone chamber pot in the Imari style; and a Chinese blue and white ginger jar (as is); and five Copeland saucer dishes, as is. (11)
A large marquetry chess top coffee / games occasional table, modern, the square simulated hide top with concave corners and a chess board centre above inlaid sides raised on four elephant modelled feet, 22” (56cms)h x 48” (122cms)w ; together with a set of large moulded composition chess men modelled as Henry VIII’s court, each 8” (20cms)h approx. (33)
AFTER GAY O’NEILL Tina, a limited edition print; another similar Gay O’Neill print; Lee Gallagher, a pen and ink sketch depicting an abstract figure; a limited edition lithograph by Martin Ryan entitled St. Mary’s; a lithograph depicting Noonan’s pub front; a watercolour by Jeremy Williams entitled The Market, Limerick; an oval portrait of a young girl; and three other miscellaneous pictures. (10)
AFTER ANNIE TEMPEST Tottering on by Gentry, a limited edition print from the ‘Country Life’ Series, signed, inscribed “ The Future’s not what it used to be”, numbered 306/1000 and dated 1999; together with a framed limited edition print depicting a poppy flower; and a framed portrait of a Victorian lady seated, in attractive black glass mounts and gilt gesso frame. (3)
An oak monk’s bench, in the 17th century style, the carved rectangular back depicting 17th century genre scene and surmounted with two busts, head and shoulders, modelled as men in hats, above a hinged and carved seat and a conforming panel below with central lion mask issuing scrolling foliage, flanked with pilasters carved with fruit swags, 45” (115cms). (1)
A carved gilt wood wall mirror, 18th century, possibly Irish, crested with an eagle with outstretched wings, above a central shell flanked to each side with two S-scrolls, above a mirror plate, in a frame carved with ho-ho birds, floral swags and fruit, the apron with conforming central shell, 59.5” (151cms)h x 31” (79cms). (1)
HENRI MARTIN FILLETTE CUEILLANT DES FLEURS,1894 Huile sur toile, cadre en chêne peint en gris à décor de colonnettes et moulures probablement de Bellery -Desfontaines, signée et datée en bas à droite, avec une dédicace : à Mme Paul RIFF respectueux hommages.60 x 38 cm. … ma préoccupation du rendu de l’atmosphère s’augmentait après trois mois passés à la campagne, en tête-à-tête avec la nature. Poursuivant ses divers effets, je fus amené à peindre différemment. La pleine lumière, éclatante et diffuse, estompant les lignes des personnages et du paysage, m’obligea impérieusement à la traduire comme je pus, mais autrement que par des taches débordantes, par le pointillé, par la décomposition du ton. Je sais bien que mon procédé irrite bien des gens. Mais qu’importe la formule ! Je ne prétends pas en avoir découvert une décisive, une définitive ; chaque jour, je cherche dans tous les sens, voulant trouver mieux. Lettre à son ami Bernard Marcel (Directeur du dépôt des Marbres et critique d’art).
HENRI MARTIN CLÉMENCE ISAURE, 1895 Huile sur toile à vue légèrement cintrée, cadre en bois et stuc doré de style Louis XIV (accidents et manques au cadre), étiquette au dos : Dépôt des 12 -13 avril 1917, M. Riff rue de la Mairie Douai, signée et datée en bas à droite. 67 x 55 cm. BIBLIOGRAPHIE Art et Décoration, La Lyre et les Muses par Henri Martin, article de Léonce Bénédite, 1900, vol.VII, reproduit p.1. “ Toulouse ! ville antique où fleurissent encore, Pour les poètes, vos fleurs d’or, Clémence Isaure ” Charles Cros,1888. […] J’ai appris dernièrement que vous aviez offert à Bernheim d’acheter la Clémence Isaure. Ensuite que l’on prendrait une toile de chez Piettre. La Clémence Isaure que j’ai revue ces jours derniers chez l’amateur peu disposé à s’en séparer, pour le moment du moins, m’a fait assez bonne impression, elle m’a rappelé une époque où mes recherches d’idéal se méfiaient beaucoup de la vision directe, et malgré ce que je pense et poursuis aujourd’hui, j’ai plaisir à l’avoir peinte, et par conséquent j’approuvais votre choix, mais je ne crois pas que vous puissiez trouver l’équivalent chez Piettre […] Lettre à Henri Duhem, 1906 -1907, conservée au musée de la Chartreuse de Douai. Personnage médiéval légendaire de la ville de Toulouse, Clémence Isaure serait la fondatrice des Jeux Floraux de Toulouse, une des plus ancienne société littéraire en Occident qui fait référence aux jeux floraux de Rome. L’institution fut fondée en 1323 par plusieurs poètes qui formèrent le Consistoire du Gai Savoir afin de rétablir l’art lyrique après les croisades de l’Inquisition contre les albigeois au XIIIe siècle. La légendaire figure de Clémence Isaure fut alors inventée afin de faire financer cette société par la municipalité de Toulouse, et elle devint par la suite une figure tutélaire de la ville. Les nombreuses représentations qu’en fit Henri Martin sont un témoignage de son amour pour sa ville et son histoire. Ici la poétesse s’impose de face au spectateur, sa présence calme accentuée par un voile bleuté. Son visage est encadré de branches de laurier rose, symbole de gloire, mais aussi de l’amour fugace. Elle tient sa lyre devant elle, attribut d’Apollon, d’Orphée et des Muses, symbole des poètes et de l’harmonie cosmique. Art et Décoration,1900.
HENRI MARTIN RÊVERIE AUTOMNALE,1900 Huile sur toile, cadre à vue cintrée en acajou sculpté à décor d`ombellifères de Bellery - Desfontaines (très petits accidents), étiquette au dos : Dépôt des 12-14 avril 1917 M.Riff rue de la Mairie Douai. signée et datée en bas à droite. 127 x 100 cm. Henri Bellery-Desfontaines naît à Paris en 1867. Élève de Jean-Paul Laurens, il se lie d’amitié avec Henri Martin. Peintre et illustrateur, il crée aussi des ensembles décoratifs Art Nouveau. La complicité entre les deux artistes illustre le rapprochement qui s’opère entre les Arts Décoratifs et les Beaux - Arts à la fin du XIXe siècle. Ses encadrements Art Nouveau sont en osmose avec les oeuvres d’Henri Martin. Les cadres en acajou sculpté d’ombelles, de pavots ou de motifs simples aux proportions élégantes, souvent à vue cintrée, sont un prolongement de la peinture et non pas une délimitation destinée à isoler celle - ci de son environnement. Les végétaux sculptés partagent ou complètent la symbolique des peintures qui étaient présentées, et parfois même conçues au sein d’un ensemble qui mêlait le décor à la peinture, à la sculpture et à l’ameublement, dans des programmes décoratifs cohérents. La figure de Rêverie Automnale semble se fondre dans la forêt qui l’entoure, absorbée dans ses pensées et abandonnée, son corps suivant la ligne des arbres, eux-mêmes se courbant sous son appui, créant une osmose entre figure humaine et paysage. Toutefois Henri Martin ne se contente pas d’une impression mélancolique, mais complète celle-ci par une exécution libre, dans des tons chauds et purs d’orangé, de jaune, de bleu et de vert, comme un dernier rayon de soleil frappant avant la nuit. Henri Bellery - Desfontaines.
HENRI MARTIN LES TROUBADOURS, CIRCA 1893 Huile sur toile, cadre en chêne patiné, non signée. 56 x 46 cm. HISTORIQUE Ce tableau est aussi intitulé : Les poètes du Bois Sacré ou Les poètes du Gay Savoir. Esquisse pour le décor de la salle des Illustres au Musée des Jacobins à Toulouse. Une gravure représentant le même sujet sous le titre Les Troubadours est reproduite dans l`Illustration, Salon de 1893, 29 avril 1893, p.8. EXPOSITION Galerie Georges Petit, Paris,1910, n°147. Une première fois, en 1893, trois troubadours en longues robes, la tête serrée dans le capulet pointu, devisent de choses de l’esprit dans l’étroite clairière d’un bois de pins, qui fait entendre à leurs oreilles charmées, à travers le froissement soyeux de leurs aiguilles sous la brise molle du soir, un murmure faible et mélodieux. Ce sont les Muses, esprits mystérieux des bois éclos, aux dernières ardeurs du jour, de l’imagination exaltée par la douceur de l’heure et la splendeur du spectacle, filles à la fois de la nature et de l’homme, qui font résonner dans les branches leurs lyres d’or. Léonce Bénédite, Art et Décoration,1900. Ce tableau s’intitule aussi Les poètes du Gai Savoir. En poésie, le Consistoire du Gai Savoir, société littéraire fondée en 1323, était composé de penseurs libres appelés troubadours qui défendaient l’amour courtois et l’art d’aimer. Trois muses caressant leurs lyres apportent ici l’inspiration aux trois troubadours. Catalogue galerie Georges Petit,1910.
A 19th Century Thomas Webb & Sons clear crystal glass powder bowl of compressed ovoid form with a domed cover, decorated with an applied rope knop and scroll feet with bands of Greek Key motif engraving, bears registration mark for 19th October 1867, width 17 cm, S/D.
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